Gagner une Coupe Stanley pour Toronto, c'est le plus grand rêve et le plus grand but.

L'honnêteté est la plus grande chose que j'admire, que je respecte et que je cherche. Et c'est quelque chose qui disparaît en quelque sorte chez certaines personnes.

C'était difficile à regarder, le côté commercial est si grand dans le jeu.

Avec les fans et l'organisation Toronto Maple Leafs, la façon dont j'ai été traitée ici a été géniale.

Je pense que les gens veulent du succès, vous savez, et je suis le capitaine.

Je suis très fier de porter le "C" pour les Maple Leafs. Ça met un sourire sur mon visage tous les jours

Et je suis, que je le veuille ou non, une figure frontale pour l'équipe, un gars qui parle de la façon dont l'équipe va et représente l'équipe.

Pour voir ma statue dévoilée aux côtés de Borje Salming, le joueur que j'ai grandi en idolâtrage en Suède, sera très spécial pour ma famille et moi.

Vous pouvez voir toutes sortes de matchs au sein de ces équipes, mais je pense que cela va se résumer à qui joue le mieux en tant qu'équipe et est patient.

Si je traverse une partie difficile de ma vie, je pense simplement au fait que je vis un rêve. Beaucoup de gens ne sont pas aussi chanceux d'avoir leur passe-temps - ce qu'ils aiment faire le plus dans leur travail. J'y pense juste et je me sens mieux.

J'ai 31 ans et je veux faire partie d'une équipe de championnat avant la fin de ma carrière.

J'ai été autour de la course depuis assez longtemps, mais en ce qui concerne les problèmes importants, je suis heureux de laisser les autres prendre les grandes décisions.

À ce niveau, vous mettez beaucoup de pression sur vous-même en tant que joueur pour jouer et bien faire.

Depuis que je suis venu ici, j'ai été traité génial, dans tous les aspects. J'aime vraiment jouer ici.

Voir quelqu'un d'autre jouer et me laisser être le critique pour une fois ... ce n'est pas une mauvaise chose.

Toute chance que vous ayez à vous asseoir et à être celle qui regarde est géniale.

Ce sont tous des trotteurs en Suède, donc c'est ce qui a toujours attiré mon attention.

Je pense que vous êtes un peu plus fragile quand vous êtes plus jeune.

Je mets beaucoup de pression sur moi-même, plus que quiconque.

Les joueurs vont et viennent, de bons amis, des joueurs qui ont bien performé. Vous ne pouvez pas contrôler cela.

Bryan Fogarty pouvait patiner plus vite, tirer plus fort et passer Crisper ivre que le reste d'entre nous ne pouvait sobre.

J'ai toujours pensé que Ray Bourque était un grand concurrent.

Quand j'étais jeune, j'allais aux courses et c'était un sentiment incroyable quand vous les regardiez courir.

Tout le monde est ravi de jouer, donc je pense qui joue avec qui est une chose mineure à ce stade.

Il y a plus d'objectifs à court terme en ce moment que je le vois, qui, je pense, sont plus importants en ce moment que peut-être les 1 000 points.

Je suis sûr qu'une fois ma carrière terminée, quand je regarde en arrière quand je suis plus âgé, je peux peut-être l'apprécier un peu plus.

Et quand les choses ne vont pas bien à Toronto, vous allez en entendre parler. Et vous allez dire que ça ne va pas du tout, là où c'est vraiment pas mal.

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