Li Na (1981-), escrimeuse chinoise ;
Li Na (1982-), joueuse de tennis chinoise ;
Li Na (1982-), cycliste chinoise championne du monde de keirin ;
Li Na (1984-), plongeuse chinoise médaillée olympique ;
Li Na (en), la fille de Mao Zedong et de sa 4e épouse, Jiang Qing.

Je ne pense vraiment pas à "Oh, en ce moment, je dois défendre ces points et ce titre." Je veux vraiment aimer jouer sur le terrain, devant les fans.

Bien sûr, vous êtes nerveux à entrer dans une finale.

Je continue de me battre et d'essayer d'être le dernier debout.

Je n'ai pas à m'inquiéter d'être idolâtré.

Le tennis est le meilleur de trois sets, donc même si je perds le premier set, j'ai encore une chance.

La tournée de la femme est très difficile pour tous les joueurs.

Ce que j'ai accompli pour moi est au-delà de mes rêves les plus fous. Ce que j'ai accompli pour mon pays est l'une de mes réalisations les plus fières.

J'ai toujours eu un service puissant. C'est l'un des meilleurs du tennis féminin. C'est très bien d'avoir une arme comme ça.

L'écriture est comme une masturbation mentale pour moi.

Je pense que parce que j'étais le premier joueur chinois à gagner un grand chelem, les gens pensaient: "Elle n'est pas comme des gens normaux."

Je ne sais pas combien d'années je peux encore jouer. Je dois écouter mon corps et voir ce que ça fait.

Je préférerais avoir d'autre argent que d'avoir une belle famille et de bons amis.

Les gens en Chine disent: «Si vous aimez vos enfants, envoyez-les à New York. Si vous détestez vos enfants, envoyez-les également à New York.

Après quatre chirurgies du genou et des centaines de coups injectés dans mon genou chaque semaine pour soulager l'enflure et la douleur, mon corps me supplie d'arrêter le martèlement.

La première fois que j'ai montré le tatouage, c'était une grande nouvelle dans le journal. «Elle a un tatouage avec un serpent. Ce n'est pas un serpent!

Bien sûr, après ma retraite, je veux vraiment être la femme au foyer.

C'est toujours difficile lorsque vous vous battez avec votre mari sur le terrain.

Je n'ai jamais pensé que je pourrais gagner l'Open de France.

J'ai besoin de temps pour récupérer. Je ne suis pas une machine.

Je pense que les joueurs changent d'entraîneurs sont normaux.

Si je n'ai pas bien fait à Wimbledon, les Chinois m'oublieront peut-être.

Si j'ai des enfants, après l'école, ils ressentiront toujours une énergie heureuse à la maison.

Je me sentais triste parce que chaque jour, je devais me réveiller tôt pour m'entraîner avant d'aller à l'école. Après l'école, j'ai dû retourner au tennis, puis après le tennis, j'avais des devoirs. Je n'ai pas eu le temps de jouer.

Quand je suis entré dans le sport, j'étais si gros que mon manager a dit qu'il devrait m'envoyer au camp d'entraînement pour perdre du poids!

Je me sens comme toute ma vie seulement le tennis.

Ses oeuvres