Winner of the New England Book Award for FictionGardiner Amory's life is reeling - Nixon is being impeached, his wife is leaving him and his worldview is rapidly becoming outdated. His daughter, Daley, has spent her life negotiating her parents' conflicting worlds: the liberal realm of her mother and the conservative, liquor-soaked life of her father. But when the pair divorces, Gardiner's basest impulses are unleashed in a deluge, and the chasm between all of them widens. As she reaches adulthood, Daley rejects her father's prejudices and embarks on her own life - until Gardiner hits rock bottom. Returning home to help her father get sober, Daley risks everything she's found beyond him, including a chance at love, in an attempt to repair a trust that was broken long ago .

Father of the Rain

A New York Times Notable BookYoung, inexperienced and fleeing a terrible personal loss, Rosie travels to France to become an au pair to the Tivot family. Nicole, the cool, distant and beautifully polished mother of the three children she cares for is impossible to connect with - there is something about the woman that both fascinates and unnerves Rosie. The same is true of the rest of the Tivot clan. Nicole's husband, Marc, and their children all seem to be caught in an unending struggle against each other for love and acceptance. Only when Rosie is sent to care for Nicole's now-elderly guardian - the storyteller of the family's secrets - does she finally discover the truth. There, Rosie will learn of a past darkened by war, duplicity and a tragedy that still resonates in the Tivot's lives. The Pleasing Hour, Lily King's debut novel, is a story of family, betrayal and the naivety of youth.

The Pleasing Hour

Funny and heartbreaking, Writers & Lovers by Lily King is the bitingly clever story of Casey, a young writer who has lost her direction in life, until two men step into her world and offer her two very different futures. The New York Times Bestseller'Captivating, potent, incisive, and wise' - Madeline Miller, author of Circe'Extremely funny' - Sunday TimesRecently out of a devastating love affair and mourning the loss of her beloved mum, Casey is lost. The novel she has been writing for six years isn't going anywhere, her debt is soaring, and at thirty-one, with all her friends getting married and having kids, she feels too old for things to be this way. Then she meets Silas. He is kind, handsome, interested. But only a few weeks later, Oscar - older, fascinating, troubled - walks into her life, his two boys in tow. Suddenly Casey finds herself at the point of a love triangle, torn between two very different relationships that promise two very different futures. And she's still got to write that book .

Writers & Lovers

En 1933, trois jeunes et brillants anthropologues se rencontrent sur les berges du fleuve Sepik, dans le Territoire de Nouvelle-Guinée, alors sous domination anglaise. Inspiré par la vie de Margaret Mead, la célèbre anthropologue américaine qui sut donner du souffle à cette science encore si récente dans les années 30, Euphoria est un roman passionnant où il est question d'anthropologie, de tribus indigènes, d'ethnocentrisme et de guerres mondiales, mais aussi et surtout de nature, de désir et de possession... « Énergique, spirituel, férocement intelligent. [...] Un triangle amoureux inattendu. » The New York Times Book Review « Poétique, saisissant. Lily King appréhende la substance du désir d'un homme pour une femme qui a radicalement changé le regard que nous portons sur nous-mêmes. » The Washington Post Sélection des 10 meilleurs livres de l'année 2014 de la New York Times Book Review.
Illustration de couverture : Artwork: Geviert, Graphics & Typography Andrea Janas © shutterstock/Norph

Euphoria

Nouvelle-Angleterre, dans les années 70. A onze ans, Daley ne connaît qu’un héros : son père, Gardiner. Il est différent des autres, il chante à tue-tête, il plonge dans leur piscine pendant les barbecues, court déshabillé dans le jardin et, surtout, il la fait rire. Ce que Daley ne comprend pas encore, c’est que son père adoré est alcoolique. Bientôt, sa mère demande le divorce, et chacun refait sa vie de son côté.Des années plus tard, Daley sort de l’université, diplôme en poche, bague de fiançailles au doigt. Son frère l’appelle, affolé : leur père a été victime d’un accident cardio-vasculaire, elle doit revenir de toute urgence pour s’occuper de lui. La cohabitation entre Daley et son père est tumultueuse. La jeune fille comprend qu’elle est prisonnière de cette relation abusive et que, si elle veut construire sa propre vie, elle devra trouver le courage de mettre un terme au chantage affectif que lui impose ce père qui fut son idole.

La Pluie et le Beau Temps

Nouvelle-Angleterre, dans les années 70. A onze ans, Daley ne connaît qu’un héros : son père, Gardiner. Il est différent des autres, il chante à tue-tête, il plonge dans leur piscine pendant les barbecues, court déshabillé dans le jardin et, surtout, il la fait rire. Ce que Daley ne comprend pas encore, c’est que son père adoré est alcoolique. Bientôt, sa mère demande le divorce, et chacun refait sa vie de son côté. 
Des années plus tard, Daley sort de l’université, diplôme en poche, bague de fiançailles au doigt. Son frère l’appelle, affolé : leur père a été victime d’un accident cardio-vasculaire, elle doit revenir de toute urgence pour s’occuper de lui. La cohabitation entre Daley et son père est tumultueuse. La jeune fille comprend qu’elle est prisonnière de cette relation abusive et que, si elle veut construire sa propre vie, elle devra trouver le courage de mettre un terme au chantage affectif que lui impose ce père qui fut son idole.

La pluie et le beau temps

Lily King, née en 1963, est une écrivaine américaine.

Vous écrivez les faits tels que vous les voyez, et il n'y a pas d'accalmie avec beaucoup de description. Pas étonnant que les gens aiment écrire sur les mystères du meurtre et les cadavres!

Les anthropologues sont excellents dans les observations romanesques. Je serais ravi que ce roman encourage les anthropologues à écrire ce qu'ils voient sous forme fictive.

J'ai adoré les langues et j'ai adoré l'apprentissage des langues. C'était fantastique. Mais j'étais seul là-bas. Je me souviens de cette époque comme un vrai temps de Virginia Woolf. Plus que n'importe quelle langue, c'est sa langue qui m'a influencé.

Je suis toujours intéressé par une situation claustrophobe où les gens pourraient être impuissants à faire les choses. Mes trois premiers romans étaient des familles. Des choses qui se produisent dans une maison au sein d'une famille, parce que vous êtes un enfant ou parce que vous voulez garder la famille ensemble, vous souffrez de choses que vous n'avez peut-être pas dû souffrir si vous n'étiez pas dans cette situation.

Lorsque j'ai terminé ses études supérieures, le premier George Bush était président et je voulais vraiment sortir du pays. Nous venions de passer par la première guerre du Golfe.

Vous ne réalisez pas comment la langue interfère réellement avec la communication jusqu'à ce que vous ne l'ayez pas, comment cela gêne comme un sens surdomique. Vous devez accorder beaucoup plus d'attention à tout le reste lorsque vous ne pouvez pas comprendre les mots. Une fois que la compréhension arrive, tant d'autres tombent. Vous comptez alors sur leurs mots, et les mots ne sont pas toujours la chose la plus fiable.

Je n'écris pas parce que je pense que j'ai quelque chose à dire. J'écris parce que si je ne le fais pas, tout se sent encore pire.

J'avais vécu en France avant les études supérieures, mais à cause de l'Espagne, j'ai eu beaucoup de personnages à passer un bon temps en Espagne.

J'ai tendance à allonger les phrases pendant que j'écris et que j'édite, et il y a juste quelque chose dans le sentiment d'écrire à la main que j'aime vraiment.

J'ai toujours pensé à écrire comme une sorte de communication active.

J'adore lire la fiction sur les gens qui se connectent intellectuellement. Je trouve ça exaltant.

J'ai toujours eu cette famille dans un ensemble, et je me suis toujours identifié comme l'étranger. Et c'est une position où je me sens le plus à l'aise, et pourtant je ressens un désir incroyable d'appartenir. C'est vraiment un sentiment fort de mon enfance - un désir de faire partie d'un groupe.

Il y a certaines tribus au milieu du Sepik qui mangent une chauve-souris crue. Un certain type de chauve-souris brute est une délicatesse.

Le travail anthropologique sur le terrain ressemble tellement à écrire un roman. Certes, vous n'avez pas la perturbation physique et la désorientation, mais écrire un roman, c'est comme entrer dans une nouvelle culture. Vous ne savez pas ce qui se passe. Et chaque jour, vous avez l'impression d'avoir rien, vous n'allez nulle part. Ou vous sentez que d'abord, cela va quelque part, mais vous entrez dans cette horrible partie médiane.

Je ne me suis pas spécialisé en anthropologie au collège, mais je pense que j'ai eu une éducation dans différentes cultures très tôt. Mes parents ont divorcé quand j'avais onze ans, et mon père a immédiatement épousé une femme avec trois enfants et était avec elle pendant cinq ans. Quand ils ont divorcé, il a immédiatement épousé une femme avec quatre enfants. En attendant, ma mère a épousé un homme qui a eu sept enfants. J'allais donc d'une famille à l'autre entre onze et dix-huit ans.

J'ai trois équipes raffinées ainsi que ma famille d'origine. J'ai dû m'y adapter et faire des allers-retours parmi eux. Je suis devenu un observateur de la nature humaine parce que lorsque vous êtes dans ces situations, vous devez être.

Je n'aime pas les histoires où on me donne des pages et des pages de détails.

J'ai aussi fait des choses qui m'ont mis dans des situations étranges.

Cela me signale également, lorsque je prends un crayon, qu'il s'agit d'un brouillon. Cela ne va nulle part, et personne ne le verra. Vous avez la permission de commettre toutes les erreurs que vous souhaitez. Cela me signale la liberté, et cela signale des erreurs.

L'anthropologie est séparée de la lecture de masse, et c'est quelque chose qui a dérangé Margaret Mead. Elle a toujours dit qu'elle écrivait tout pour sa grand-mère, de manière à ce que sa grand-mère puisse comprendre ce qu'elle disait.

Je pense vraiment que mon cerveau fonctionne différemment et que les mots sortent différemment, si j'ai un crayon dans ma main, plutôt que si j'ai un clavier.

Je suis toujours intéressé par une situation claustrophobe où les gens pourraient être impuissants à faire les choses.

Elle a l'air gênée, assise sur ce tabouret, pour être qui elle est maintenant. Elle semble peinée par tous les compliments que les collègues de Muriel lui donnent. Le succès repose plus facilement sur les hommes.

Quand je prends un crayon, c'est un brouillon rugueux. Cela ne va nulle part, et personne ne le verra. Vous avez la permission de commettre toutes les erreurs que vous souhaitez. Cela me signale la liberté, et cela signale des erreurs. Ensuite, quand je l'ai mis sur l'ordinateur, une autre partie de mon cerveau entre en jeu et j'évalue vraiment chaque mot et chaque phrase et prends des décisions. J'aime cette étape de polissage pendant que je réécrit le tout, pas seulement la coupe et le collage. Vraiment mettre chaque mot et prendre une décision: est-ce quelque chose que je peux supporter?

Était-il possible dans une relation de ne pas décevoir, de faire rien de plus que brièvement raviver l'illusion fatale initiale?

Depuis le lycée, j'écris dans un cahier en spirale, au crayon. Tout semble trop poli sur un ordinateur lorsque vous commencez à écrire, et je ne peux pas vraiment le voir. J'ai l'impression que les mots sont beaucoup plus nus au crayon, sur un cahier.

Peut-être que toute la science est simplement l'auto-investigation.

Depuis le lycée, j'écris dans un cahier en spirale, au crayon. Tout semble trop poli sur un ordinateur lorsque vous commencez à écrire, et je ne peux pas vraiment le voir. J'ai l'impression que les mots sont beaucoup plus nus au crayon, sur un cahier. Je pense que mon cerveau fonctionne différemment et que les mots sortent différemment, si j'ai un crayon dans ma main, plutôt que si j'ai un clavier. J'ai tendance à en ajouter plus dans les marges. J'ai tendance à allonger les phrases pendant que j'écris et que j'édite, et il y a juste quelque chose dans le sentiment d'écrire à la main que j'aime vraiment.

Ses oeuvres

Ses derniers livres