Un soir, à New York, lors d'un match de tennis improvisé, Willy rencontre Eric. Elle est joueuse professionnelle, battante et accrocheuse, il est tennisman dilettante mais étonnamment doué. Entre eux, c'est le coup de foudre. Ils se marient. Et les difficultés commencent.
Car la douceur des débuts dans l'Upper West Side fait bientôt place à une rivalité professionnelle et amoureuse acharnée, jusqu'à l'ultime balle de match...

Double faute

Dans quelle mesure les choses qu'on possède finissent-elles par nous posséder ? En douze nouvelles grinçantes, Lionel Shriver dresse l'état des lieux de la condition propriétaire. Comment récupérer un cadeau de mariage, quand l'ami auquel on l'a offert nous a rayé de sa vie ? De quoi ce sycomore, dans le jardin du voisin, est-il le symbole ? Comment virer, passés trente ans, son fils de chez soi ? Avarice, jalousie, obsessions et luttes de territoire... Propriétés privées : prière d'entrer...

Propriétés privées

Ne dit-on pas que les choses que l'on possède finissent toujours par nous posséder ?
Alors que son meilleur ami décide de l'exclure de sa vie, une artiste tente de récupérer le cadeau démesuré qu'elle lui avait offert.
Un couple entreprend de bouter hors de chez lui son fils de trente ans qui, en bon millenial, va mettre en scène cet " abandon " sur les réseaux sociaux et devenir une star du net.
Un businessman détourne l'argent de son entreprise et s'envole pour une vie dorée au soleil, avant de se voir rongé par la culpabilité.
Une femme s'acharne à posséder une maison qui ne veut pas d'elle...

Portées par la verve sarcastique, l'esprit d'analyse, la provocation d'une Shriver au meilleur de sa forme, douze histoires sur un sujet aussi inattendu que central : la propriété. Celle que nous nous octroyons sur les autres, sur les objets, celle qui définit notre statut social, celle qui nous aliène aussi.
Critique acerbe de nos sociétés malades, miroir peu flatteur de notre course effrénée à la possession, une ouvre d'une brûlante actualité, salutaire et éclairante.

'A gutsy, heartfelt novel' Sunday Times

 '[Shriver's] best novel yet' Independent on Sunday

 'A surprising sledgehammer of a novel' The Times

 'Shriver is brilliant on the novel shock that is hunger. glorious, fearless, almost fanatically hard-working prose' Guardian

 'Lionel Shriver's Big Brother has the muscle to overpower its readers. It is a conversation piece of impressive heft' New York Times

 'Shriver is wonderful at the things she is always wonderful at. Pace and plot.

Big Brother

Après le choc d'Il faut qu'on parle de Kevin, la nouvelle bombe de Lionel Shriver. Toute sa rage, son audace et son humour au vitriol pour une radioscopie féroce et incisive du couple, de la famille, de la maladie et du rôle de l'argent dans notre vie. Un brûlot dévastateur. Parfois, le soir, dans les embouteillages, Shep Knacker laisse son esprit divaguer : fuir les humiliations au travail, échapper aux jérémiades de son artiste de soeur, aux caprices des enfants, aux discours stériles de son meilleur ami. Quitter tout ça, partir sur cette île au large de Zanzibar, dormir, pêcher son poisson, lire, réfléchir... Vivre, tout simplement. Un fantasme qu'il touche du doigt le jour où il vend sa société et touche un petit pactole. Sa décision est prise. C'est alors que Glynis, son épouse, va briser net ce doux rêve : elle est atteinte d'une maladie rare, à un stade déjà avancé, et doit commencer au plus vite un traitement expérimental coûteux. Comment faire face à ce qui nous fait peur ? Comment affronter ce que l'on passe notre existence à fuir ? Combien vaut une vie ?

Tout ça pour quoi

Après Il faut qu'on parle de Kevin et La Double Vie d'Irma, Lionel Shriver passe à nouveau le couple au vitriol de sa plume impitoyable. Un roman magistral sur le pouvoir, l'ambition et le mariage, une brillante déconstruction du sentiment amoureux, pour une réinterprétation virtuose de la guerre des sexes. Un soir, à New York, lors d'un match de tennis improvisé, Willy rencontre Eric. Elle est joueuse professionnelle, battante et accrocheuse, il est tennisman dilettante mais étonnamment doué. Entre eux, c'est le coup de foudre. Ils se marient. Et les difficultés commencent. Car la douceur des débuts dans Ripper West Side fait bientôt place à la compétition. Une rivalité professionnelle et amoureuse acharnée, jusqu'à l'ultime balle de match, ce moment décisif où aucune faute n'est plus permise et où Willy aura à faire un choix crucial.

Etats-Unis, années quatre-vingt dix. Lors d'une partie de tennis improvisée sur les courts de Riverside Park, à New York, Wilhelma, surnommée Willy, joueuse professionnelle de vingt-trois ans, fait la connaissance d'Eric. Mathématicien, brillant diplômé de Princeton, il vient de décider d'interrompre sa carrière pour se consacrer lui aussi au tennis. Entre eux, c'est le coup de foudre. Ils se marient. Eric est aussi nonchalant, dilettante et inspiré au jeu que Willy est battante, travailleuse et accrocheuse. Et la douceur des premiers mois de vie conjugale fait bientôt place à la compétition, amoureuse, amicale et professionnelle.

The new novel from the Orange Prize winning author of 'We Need to Talk About Kevin'.

The Post-Birthday World

Lionel Shriver [ˈlaɪənl ˈʃɹaɪvə], née Margaret Ann Shriver le 18 mai 1957 à Gastonia en Caroline du Nord, est une femme de lettres et journaliste américaine.

D'ailleurs, j'avais entendu trop de contes Karen Carpenter lors des réunions de Gladstone PTA, et ils prenaient souvent la forme de vantardises. Le prestigieux diagnostic d'anorexie semblait très convoité non seulement par les étudiants, mais par leur mère, qui rivaliserait sur la fille qui mangeait moins. Pas étonnant que les pauvres filles soient en désordre.

Les secrets se lient et se séparent en stricte avec qui y est.

J'ai des seaux de sympathie pour les obèses, souvent soumis à la cruauté, au ridicule, à la dénonciation et au mépris.

Mais qu'est-ce qui est si génial d'être un perfectionniste? ... Vous faites tout ce travail, et puis ce que vous avez fait vous fait chier.

Edith Wharton était un conteur naturel. Comme les parcelles le font dans la vraie vie, les siennes coulent directement du caractère. Sa prose est si élégante sans effort que vous êtes rarement conscient car ils se perlaient que les phrases sont si jolies. Plus préoccupé par ce qui est mis que la façon dont il est mis, elle a également compris que vous ne dites rien du tout que lorsque vous le dites bien.

Dans le habitant en particulier la tawdry. Dans le conceptuel habite le grand, le transcendant, l'éternité. Les pays terrestres et les garçons malins célibataires peuvent aller en enfer; L'idée des pays et l'idée de triomphe des fils pour l'éternité.

La plupart des femmes ne travaillent pas de désir de réaliser mais aspirent à payer l'hypothèque.

Nous devons reconnaître que le ralentissement de la croissance démographique est l'un des moyens les plus rentables et les plus fiables de soulager la pression sur notre environnement et d'obtenir un avenir durable pour nous tous

L'émotion la plus sous-estimée de la vie est l'apitoiement sur soi.

On me demande parfois si je m'ennuie de parler de «Kevin» et bien sûr, la réponse courte est oui. Néanmoins, après un long slog dans les tranchées littéraires, je ne prends jamais un seul lecteur pour acquis et je me rappelle toujours que pour les nouveaux lecteurs, l'histoire en cours est fraîche.

Je semble que je me souviens même de quand j'étais très jeune que lorsque vous aimiez quelqu'un, vous les détestiez aussi pour vous faire l'aimer, car aimer quelqu'un est incroyablement humiliant.

Mais garder les secrets est une discipline. Je n'ai jamais l'habitude de me considérer comme un bon menteur, mais après avoir eu une certaine pratique, j'avais adopté le credo du prevaricator que l'on ne fabrique pas tant de mensonge que de le marier. Un mensonge réussi ne peut pas être amené dans ce monde et capricieusement abandonné; Comme toute relation engagée, elle doit être maintenue, et avec beaucoup plus de dévotion que la vérité, qui se poursuit sans aucune aide. En revanche, mon mensonge avait besoin de moi autant que j'en avais besoin, et a ainsi exigé la constance du mariage: jusqu'à ce que la mort nous sépare.

En fait, il est devenu politiquement important d'offenser les gens, parce que nous devons nous battre contre cette notion qu'être offensant devrait être contre la loi ou quelque chose, et que tout le monde mérite le "respect" pour ses opinions souvent de la do être.

Pas que le bonheur soit terne. Seulement que cela ne le dit pas bien. Et de nos détournements consommateurs à mesure que nous vieillissons, c'est réciter, non seulement pour les autres, mais pour nous-mêmes, notre propre histoire.

À l'ère de Vénus Williams, la fillette et le goo ne sont pas le chemin du cœur de chaque femme. Pourtant, les éditeurs supposent que les femmes n'achètent qu'un livre qui a l'air douce et qui semble être une question de femmes, même si ce n'est pas le cas. Pourtant, les femmes, contrairement aux hommes, achètent des livres par les deux sexes et sur les deux sexes.

Nous donnons probablement aux chroniqueurs des journaux trop de poids.

En fin de compte, Hillary et Obama sont du même côté.

La notoriété est bon marché. Il est tout simplement plus facile de se faire remarquer en faisant quelque chose de mal.

Seul un pays qui se sent invulnérable peut permettre des troubles politiques comme divertissement.

Pendant la lutte à dents et nails prolongées entre Barack Obama et Hillary Clinton dans les primaires démocrates de 2008, j'étais l'un de ces partisans féroces désespérés pour le premier candidat noir avec un grave tir à la Maison Blanche pour remporter la nomination.

Trump ne peut pas enchaîner une seule phrase grammaticale ensemble, et sur le podium, il est grumeleux et maladroit.

Je pensais à l'époque que je ne pouvais plus être horrifié ou blessé. Je suppose que c'est une vanité commune, que vous avez déjà été si endommagé que les dégâts eux-mêmes, dans sa totalité, vous rendent en sécurité.

Ce que fait un bon romancier avec un jetable qui ne sert aucun objectif fictif, c'est le jeter.

Pour les conteurs, les financiers font des voyous idéaux. La façon la plus simple de rendre les personnages peu attrayants est de les rendre riches - sténographie pour gâter, pointilleux, supérieur et au cœur froid.

Le fait que mes vêtements aient été visuellement accessibles à d'autres personnes que je ne trouve pas bouleversantes. Le corps est une autre affaire. C'est à moi; Je l'ai trouvé utile; Mais c'est un avatar.

Ce garçon n'avait guère besoin d'un masque lorsque son visage nu était déjà impénétrable.

Il est toujours difficile d'impressionner l'ignorant.

Le bonheur n'est pas une position. C'est une trajectoire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lionel_Shriver

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