Elle est née dans une ferme, a été baptisée dans un champ, puis élevée parmi les hippies de Palo Alto. Lisa Brennan-Jobs a vécu une enfance hors norme, entre son père, Steve Jobs, créateur génial et froid de la firme Apple, et sa mère, Chrisann Brennan, artiste au tempérament bohème.

Petite Chose est le récit de ce va-et-vient entre deux mondes : pauvreté et ultra-richesse, précarité et pouvoir. C'est l'histoire d'une famille unique, mais qui ressemble à celle de tous les

enfants vivant entre deux foyers. 

Chronique d'un amour malhabile entre un père et sa fille, Petite Chose est aussi un témoignage unique sur Steve Jobs, mort d'un cancer à l'âge de 56 ans, alors qu'il était à la tête de l'une des plus incroyables entreprises de notre époque et sur le chemin de renouer avec sa fille.

« Enchanteur... Brennan-Jobs est une écrivaine extrêmement douée. » The New York Times

« Des souvenirs d'une grâce, d'une maturité et d'une élégance peu communes. » San Francisco Chronicle 

« Un récit d'initiation tranchant et épique. Il est rare de trouver chez une enfant de star un talent égal - ou supérieur - à celui du génie paternel. » Kirkus Reviews

Petite chose - Mémoires

Elle est née dans une ferme, a été baptisée dans un champ, puis élevée parmi les hippies de Palo Alto. Lisa Brennan-Jobs a vécu une enfance hors norme, entre son père, Steve Jobs, créateur génial et froid de la firme Apple, et sa mère, Chrisann Brennan, artiste au tempérament bohème. Petite Chose est le récit de ce va-et-vient entre deux mondes : pauvreté et ultra-richesse, précarité et pouvoir. C'est l'histoire d'une famille unique, mais qui ressemble à celle de tous les enfants vivant entre deux foyers. Chronique d'un amour malhabile entre un père et sa fille, Petite Chose est aussi un témoignage unique sur Steve Jobs, mort d'un cancer à l'âge de 56 ans, alors qu'il était à la tête de l'une des plus incroyables entreprises de notre époque et sur le chemin de renouer avec sa fille.

Lisa Nicole Brennan-Jobs, née Lisa Nicole Brennan, le 17 mai 1978 à Portland (Oregon), est une écrivaine américaine. Elle est la fille de Steve Jobs et de Chrisann Brennan. De la naissance de Lisa à son enfance, Steve Jobs nie énergiquement cette paternité, ce qui donne lieu à différentes actions en justice et une importante couverture médiatique. Finalement, ces derniers se réconcilient et Steve Jobs la reconnaît légalement. Elle travaille par la suite en tant que journaliste et écrivaine dans divers magazines.
En 1983, l'un des premiers ordinateurs d'Apple Computer, Inc., le Lisa, est nommé en son honneur, bien que Steve Jobs va le nier dans un premier temps. L'histoire de cette relation père-fille est relatée dans de nombreuses œuvres littéraires et cinématographiques comme Les Pirates de la Silicon Valley (1999), Steve Jobs (2011), Jobs (2013), et Steve Jobs (2015). Sa tante, Mona Simpson, s'inspire d'elle pour développer le personnage principal de son livre intitulé A Regular Guy (1996).

Je n'avais pas les vêtements qu'un enfant avec un père célèbre et riche aurait. Je n'avais pas la maison. Je n'avais pas les manières. Je n'avais pas le sentiment de droit. Et je ne veux pas dire cela dans le mauvais sens: je ne l'avons pas eu - nous n'avions pas les trucs.

Dans la littérature, il y avait toujours une épiphanie - un moment de picotement, parfois enterré - la perle autour duquel tout le travail s'est formé.

L'argent peut être préjudiciable aux enfants.

Trois mois avant sa mort, j'ai commencé à voler les choses de la maison de mon père. Je me promenais pieds nus et glissai des objets dans mes poches. J'ai fait un fard à joues, un dentifrice, deux bols de doigts ébréchés en bleu de céladon, une bouteille de vernis à ongles, une paire de pantoufles de ballet en cuir breveté usées et quatre taies d'oreiller blanches fanées la couleur des vieilles dents.

Mon père était riche et renommé, et plus tard - comme je le connaissais, a fait des vacances avec lui, puis j'ai vécu avec lui pendant quelques années - j'en ai vu un autre monde plus glamour.

Jusqu'à l'âge de deux ans, ma mère a complété ses prestations sociales en nettoyant les maisons et la serveuse. Mon père n'a pas aidé.

Le prosciutto doit être mince et laisser passer la lumière comme des vitraux. Même moi, je le sais.

Quand j'étais à l'école primaire, j'ai regardé «Cinema Paradiso» 22 fois et mémorisé le dialogue. Dans le film, tout le monde avait une place, même les fesses qui pensaient qu'il possédait la Piazza. Les excentricités ont été célébrées et personne n'a été isolé.

Ce n'est pas une chose amusante d'être la personne créée en opposition au travail que tout le monde aime.

Ma mère est artiste, mon père un entrepreneur.

Je sais que les fermes biologiques peuvent être industrielles et aussi grandes et impersonnelles que les fermes conventionnelles. Parfois, les poulets en plein air ne sont même pas autorisés à l'extérieur, et ils ont donc été emballés serrés dans une grange éclairée. Mais les fermes biologiques utilisent moins de produits chimiques.

L'Italie était l'endroit où l'âme allait trouver calme et amour, et je voulais en tenir le meilleur dans la paume de ma main.

Je vois mon mari et la façon dont il est avec ses filles, réactive, vivante et sensible d'une manière que mon père aurait aimé être. Mon père aurait adoré être un homme comme ça, et il s'est entouré d'hommes comme ça, mais il ne pouvait pas l'être.

Vous pouvez avoir un système de valeurs et être incapable de le vivre totalement.

À l'âge de sept ans, ma mère et moi avions déménagé 13 fois.

Parfois, c'est bien pour quelqu'un de vous dire à quoi vous sentez.

Parfois, si je me sentais mal à propos de moi-même, je pourrais retirer sournoisement que j'ai ce célèbre père.

Je crois que les gens ont le droit de raconter leur propre histoire aussi honnêtement et précisément qu'ils le peuvent.

En Californie, ma mère m'avait élevé principalement seul. Nous n'avions pas beaucoup de choses, mais elle est chaleureuse et nous étions heureux. Nous avons beaucoup bougé. Nous avons loué.

Quand je grandissais en Californie, être végétariens différenciait ma mère et moi de la normale, nous éloignait des masses.

À Harvard, je me suis spécialisé en littérature anglaise.

Je n'aime pas me rattraper dans le miroir parce que c'est comme: "Oh, moi."

Au printemps 1978, alors que mes parents avaient 23 ans, ma mère m'a donné naissance dans la ferme de leur ami Robert en Oregon avec l'aide de deux sages-femmes. Le travail et l'accouchement ont pris trois heures, ont commencé à terminer.

La scène sociale du Harvard que je connaissais était en dehors des règles de la littérature. C'était moins poignant.

Nous avons tous une complexité dans nos vies.

J'ai essayé de trouver une niche sociale à Harvard - un groupe, mon groupe - mais je n'ai pas réussi.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lisa_Brennan-Jobs

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