Lizz Wright est une chanteuse de jazz américaine née le 22 janvier 1980 à Hahira, une petite ville de l'État de Géorgie aux États-Unis.

Les femmes et les hommes sont des enseignants et des prédicateurs dans ma famille, et un peu des deux sont tombés sur moi.

J'ai commencé à réaliser, en vieillissant, que l'on m'a appris à opter pour un certain type de silence pour faire avancer les choses. J'ai raté ça dans ma vie. J'ai adoré la propriété de ma grand-mère, en Géorgie du Sud juste au-dessus de la ligne de Floride, alors j'ai pensé que je trouverais une propriété où je pouvais le ressentir à nouveau.

Nous n'avions pas de télévision et je n'ai entendu la radio que lorsque mes parents sont allés dans un groupe d'étude biblique. Ils aimaient une maison calme et méditative.

Ce que j'aime n'est pas un genre particulier, c'est la narration. Il y a beaucoup de grandes narration dans le jazz, dans le folk et dans la musique country.

Je vis juste au-dessus d'un ruisseau, et c'est toujours très actif. Cela ressemble presque à l'océan. C'est constant, et il y a beaucoup de gros rochers, donc c'est un super son. C'est l'une de mes choses préférées.

J'avais été formé au choral, à l'Évangile et un peu d'opéra.

L'abandon travaille avec ce qui se passe.

Il est difficile de savoir qui vous êtes jusqu'à ce que vous soyez un peu ouvert.

Je me considère comme un chanteur interprétatif et un auteur-compositeur.

Faire un disque et être un artiste en tournée, c'est la coopération entre l'esprit, l'artisanat, l'émotion et la concentration.

Peu importe ce qui se passe, je peux retourner aux montagnes. J'ai la nature et mes merveilleux amis et voisins. J'obtiens tellement de choses en étant là.

Le jazz a beaucoup à voir avec le fait d'être très présent. Vous connaissez la structure, puis vous le traverse.

C'est très difficile pour moi de me placer aux côtés d'un autre artiste. Tout le monde a quelque chose d'unique à exprimer.

Je veux enregistrer, visiter et vivre la vie.

L'Église est une institution de musique et de production et de performance, et elle a à voir avec l'emmener les gens dans des endroits en eux-mêmes et leur donner l'occasion de s'asseoir profondément dans leurs propres sentiments, et d'être ensemble et profondément seul en même temps et pour traiter les choses.

Mon père était très strict, un parent très militant, parce qu'il voulait que nous soyons des enfants très concentrés. Il a vendu les téléviseurs, donc nous n'avons pas regardé la télévision. Et il ne voulait pas de musique qui n'était pas gospel ou de musique inspirante. En fait, il n'aimait même pas beaucoup d'Évangile parce qu'il pensait que c'était trop bluesy.

Tous ceux que je joue et que je tourne les uns pour les autres; Nous nous assurons de rester en bonne santé.

Tant de grands chanteurs que nous connaissons sont venus de l'église.

Je ne suis pas en colère. Je ne peux pas chanter aussi fort aussi longtemps, je vais commencer à tousser - je n'ai pas l'instrument pour ça. Je ne ressens pas ça émotif. Je suis en paix.

En tant que femme du sud, nous nous définissons souvent par qui nous sommes. Mais je voulais que ma vie soit construite différemment.

Si je peux faire quelque chose de réel et qu'il est apprécié et accessible aux autres, je suis heureux.

À 16 ans, j'allais à l'église et jouais de la musique pour l'église, et papa ne paierait que pour des cours de piano pour que je puisse jouer à l'église.

Je viens d'une famille qui a cultivé leur propre nourriture de bien dans les moments de l'esclavage, fournis pour eux-mêmes et les gens autour d'eux. J'ai donc trouvé, à travers des conversations sur la terre et sur la maison avec mes voisins, beaucoup de terrain commun.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lizz_Wright

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