Lois Greenfield
@loisGreenfield
Mon intérêt pour la photographie n'est pas de capturer une image que je vois ou même dans mon esprit, mais d'explorer le potentiel des moments que je ne peux que commencer à imaginer.
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Mon intérêt pour la photographie n'est pas de capturer une image que je vois ou même dans mon esprit, mais d'explorer le potentiel des moments que je ne peux que commencer à imaginer.
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Je tire un moment à la fois ... ces moments sont sous le seuil de perception.
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Si je savais à quoi allait ressembler la photo, je ne prendrais pas la peine de le prendre. C'est le voyage de la découverte qui me fascine.
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Mon inspiration a toujours été la capacité de la photographie à arrêter le temps et à révéler ce que l'œil nu ne peut pas voir.
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Travaillant de manière impliquant dans mon studio avec des danseurs, c'est complètement différent. Nous n'avons aucun point de départ; Nous n'avons pas de point final. Nous n'avons rien que nous essayons de montrer ou de faire. L'image évolue de nulle part.
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Je ne manipule pas mes images numériquement, car je m'intéresse à l'acte spontané de créer des images sans prévision. Je sais que de nombreux artistes commencent par une idée à l'esprit, puis ils l'ont mis sur papier. Je ne travaille pas de cette façon.
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Mon intérêt pour la photographie n'est pas de capturer une image que je vois ou même dans mon esprit, mais d'explorer le potentiel des moments que je ne peux que commencer à imaginer.
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J'ai réalisé que l'une des différences entre la photographie d'actualités et la photographie de danse était que le premier devait raconter une histoire spécifique, alors que toute une photographie de danse devait être visuellement intéressante.
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Être appelé photographe de danse me fait une poignée. Vous pourriez dire que la danse est mon paysage. La racine de mon intérêt est le mouvement ou, plutôt, comment le mouvement peut être interprété photographiquement, et la danse offre une opportunité parfaite à cela.
@loisGreenfield
Le sujet ostensible de mes photographies peut être un mouvement, mais le sous-texte est le temps. Les mouvements d'un danseur illustrent le passage du temps, lui donnant une substance, une matérialité et un espace. Sur mes photos, le temps est arrêté, une fraction de seconde devient une éternité et un moment éphémère est solide comme sculpture.
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J'ai réalisé que l'une des différences entre la photographie d'actualités et la photographie de danse était que le premier devait raconter une histoire spécifique, alors que toute une photographie de danse devait être visuellement intéressante.
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Ce qui m'intrigue, c'est de faire des images qui confondent et confondent le spectateur, mais que le spectateur sait, ou suspects, s'est vraiment produit.