Fifty-One Tales is a collection of fantasy short stories by Irish writer Lord Dunsany, considered a major influence on the work of J. R. R. Tolkien, H. P. Lovecraft, Ursula LeGuin and others. The first editions, in hardcover, were published simultaneously in London and New York by Elkin Mathews and Mitchell Kennerly, respectively, in April, 1915. The British and American editions differ in that they arrange the material slightly differently and that each includes a story the other omits; "The Poet Speaks with Earth" in the British version, and "The Mist" in the American version.

The collection's significance in the history of fantasy literature was recognized by its republication (as The Food of Death: Fifty-One Tales) by the Newcastle Publishing Company as the third volume of the celebrated Newcastle Forgotten Fantasy Library in September, 1974. The Newcastle edition used the American version of the text.

The book collects fifty-one short stories by the author.

Fifty-Ones Tales

Jorkens Remembers Africa, the second collection of Dunsany's Jorkens tales to be published, is a collection of fantasy short stories, narrated by Mr. Joseph Jorkens. The book collects twenty-one short pieces by Dunsany.
The Jorkens stories are set in the London gentleman's or adventurer's club of which the title character is a member. They usually open with another member mentioning an interesting experience he has had; this rouses Jorkens, who in return for a whisky-and-soda (merely to "moisten his throat," you understand!) goes the other member one better with an extraordinary tall tale, supposedly from his own past. His stories often tip well over the boundaries of the plausible, into the realms of fantasy, horror, or even science fiction, and his auditors can never be quite sure what proportion of what he relates was truly experienced and to what degree he might have embellished.

Mr Jorkens Remembers Africa

An old woman who spends her days scrubbing the floors might be an unlikely damsel in distress, but Lord Dunsany proves once again his mastery of the fantastical. The Charwoman's Shadow is a beautiful tale of a sorcerer's apprentice who discovers his master's nefarious usage of stolen shadows, and vows to save the charwoman from her slavery.

The Charwoman's Shadow

Sont ici réunies trois grandes figures de la littérature irlandaise du XXe siècle. Tout le monde ne connaît pas l'anecdote, restée célèbre, dont le poète Padraig Colum se servit pour clôturer sa préface à l'édition américaine des Contes d'un rêveur : "Dans le comté de Meath, au temps jadis, il y avait deux grands barons voleurs sur la route de Drogheda : Dunsany et Fingall. Et si vous échappiez aux mains de Fingall, vous tombiez inévitablement dans celles de Dunsany". Le grand baron avait du nez, et même du flair - on comprendra pourquoi en lisant le texte ici traduit - c'est lui qui dénicha - et même déterra - Mary Lavin avec la sûreté d'un épagneul déterrant un os exceptionnel, et préfaça son premier livre de nouvelles. Car les Irlandais, qui ont le génie des Pâques sanglantes, ont aussi celui des nouvelles, ces "romans rapides" selon l'heureuse expression de Natacha Michel. "Une histoire courte, nous dit Sean O'Faolain, si elle est réussie, est comme un cerf-volant d'enfant, une petite merveille, un moment lumineux". L'avant-propos, écrit en français, s'il vous plaît, est signé George Moore, qui rencontra Villiers de l'Isle-Adam au Rat mort, fut l'ami de Degas, de Manet, et fréquenta assidûment les Mardis de Mallarmé. "On s'instruirait à moins" , écrivait Pierre Leyris. P. R.

Les vieux soldats ne meurent jamais

"Je souhaite à ce livre d'entrer en la possession de ceux qui ont eu mes autres œuvres en sympathie, et de ne pas décevoir ces lecteurs", telle est la recommandation, aussi brève que tendre, avec laquelle le célèbre fabuliste irlandais Lord Dunsany envoie les Contes d'un rêveur dans l'inconnu des librairies.Vous qui avez aimé L'Epée de Welleran, Le Livre des Merveilles, Les Dieux de Pegana, revenez sans tarder à Dunsany, et vous plonger dans les beautés des Contes d'un rêveur - plus délicates encore, et plus mélancoliques, et plus inquiètes, que celles qui précèdent. Le Dunsany des Contes d'un rêveur a tant de voix à vous faire entendre ! Celle de la mer invisible, dépeuplant les royaumes de Toldees, Mondath et Arizim ; celle de la corde qui pendit un homme, et du cheval de bois qui vainquit Saladin ; celle de l'aventureux capitaine de L'Oiseau du Fleuve, quitté sur le rivage ("Longtemps nous nous sommes regardés, sachant que nous ne nous reverrons pas, car ma fantaisie faiblit au cours des ans, et je ne vais presque plus jamais en Terre de rêve..."). Celle aussi - la plus profonde, la plus intime - du rêveur lui-même, prisonnier effaré du temps qui fuit, explorateur des régions brumeuses du sommeil et de la mort. Ces pays d'outre-monde n'ont pas meilleur guide que Lord Dunsany... Avec ce huitième volume, les éditions Terre de Brume poursuivent de façon raisonnée la publication des œuvres de l'un des plus grands auteurs de fantasy de la première moitié du XXe siècle.

Contes d'un rêveur

Où les rois fatigués cherchent leur passé dans la poussière, où trois esprits du mal se font passer pour divins et transforment des babouins en hommes, où les dieux se moquent de leurs mal heureuses créatures - et des autres dieux -, où Famine a les yeux verts et Sécheresse la fourrure grise... Avec Le Temps et les Dieux, Lord Dunsani poursuit l'ironique chronique commencée avec Les Dieux de Pegana. Chronique de mondes et de contrées sortis " de ses rêves ", Yarnith, Averon et Zarkandhu, aux fragiles cités sans cesse menacées par l'humeur, et l'humour, bien particuliers des dieux... Et qui d'autre que ce géant encore trop méconnu de la littérature anglo-saxonne peut mêler avec autant de talent, autant de virtuosité, la fausse simplicité du style, la beauté du chant, la richesse de l'évocation, l'inquiétude de la quête - hommes et dieux sans relâche cherchent le temps disparu, la foi impossible - et sa grinçante vanité ? La voix qui parle dans Le Temps et les Dieux, jamais nommée, pourrait être celle de Job, de l'Ecclésiaste ou de Zarathoustra... mais sa séduction est unique. Il faut séance tenante la suivre dans le dédale brumeux de Pegana et de ses mondes, une fois de plus mis en images par le complice attitré de Lord Dunsany, le grand illustrateur anglais Sydney Sime.

Le Temps Et Les Dieux

Vent du Nord

Merveilles et démons ; contes fantastiques

Edward John Moreton Drax Plunkett, 18e baron de Dunsany, est un écrivain irlandais né le 24 juillet 1878 à Londres et mort le 25 octobre 1957 à Dublin. Ses œuvres sont publiées sous le nom de Lord Dunsany. Auteur de nouvelles, romans, pièces de théâtre, poèmes et essais, il est considéré comme l'un des fondateurs de la fantasy moderne.

Et vous qui avez cherché à la magie dans votre jeunesse mais qui ne le désirez pas dans votre âge, sachez qu'il y a une cécité d'esprit qui vient de l'âge, plus noir que la cécité de l'œil, faisant une obscurité sur vous à travers laquelle rien ne peut être vu, ou ressenti, ou connu, ou de quelque manière que ce soit appréhendé.

Les poètes modernes sont des cloches de plomb. Ils devraient tinter mélodieusement mais généralement ils ne font que klunk.

Un homme est une toute petite chose, et la nuit est très grande et pleine de merveilles.

Une fois, j'ai découvert le secret de l'univers. J'ai oublié ce que c'était, mais je sais que le créateur ne prend pas la création au sérieux, car je me souviens qu'il était assis dans l'espace avec tout son travail devant lui et rit.

Je pense que les voyages proviennent d'une profonde envie de voir le monde, comme l'envie qui soulève un ver dans une tourbière irlandaise pour voir la lune quand elle est pleine.

Ensuite, j'ai perçu, ce que je n'avais jamais pensé, que toutes ces maisons fixes ne se ressemblaient pas, mais différentes des autres, parce qu'elles détenaient différents rêves.

C'était l'heure où les insectes à ailes de gaze naissent qui ne vivent qu'une journée.

L'avenir de chacun est, en réalité, incertain et plein de trésors inconnus dont tous peuvent attirer des prix inutiles.

J'ai vécu pour voir qu'être dix-sept n'est pas une protection contre le fait de devenir soixante-dix, mais de savoir que cela a besoin de l'expérience d'une vie, car aucune imagination s'en fasse.

Et il ne savait pas grand-chose des choses que l'encre peut faire, comment elle peut marquer la pensée d'un homme mort pour l'émerveillement des années à venir, et raconter des événements qui sont partis proprement, et être une voix pour nous hors de l'obscurité du temps, et sauve bien des choses fragiles du martèlement des âges lourds; ou porter jusqu'à nous, au cours des siècles roulants, même une chanson de lèvres mortes depuis longtemps sur des collines oubliées.

Il m'a toujours frappé que l'un des moyens les plus lectures d'estimer le respect d'un pays pour le droit est de remarquer les armes que les officiers de la loi portent: en Angleterre, il s'agit de petites matraques, dans les épées de France, dans de nombreux pays revolvers et en Russie La police avait l'habitude d'avoir de l'artillerie.

Il est très rare que le même homme connaît une grande partie de la science et des choses qui étaient connues avant la science.

Comme les rêves sont beaux! Dans les rêves, les morts peuvent vivre, même les morts longs et les très silencieux.

Et à ce moment-là, un vent sortit du nord-ouest, pénétra dans les bois et dénuda les branches dorées, et dansa sur les collines, et mena une compagnie de feuilles écarlates et dorées, qui avaient redouté ce jour mais qui dansaient maintenant qu'il était venu ; et loin avec une émeute de danse et de gloire de couleur, haut dans la lumière du soleil qui s'était couché de la vue des champs, le vent et les feuilles s'en allèrent ensemble.

Prise en trop grande quantité, la logique, comme le whisky, perd sa vertu bénéfique.

Pourtant, dans le sang de l'homme, il y a une marée, un vieux courant de mer, plutôt, qui s'apparente en quelque sorte au crépuscule, qui lui apporte des rumeurs de beauté aussi loin, car la dérive est trouvée en mer des îles pas encore découvert; Et ce marée du printemps ou le courant qui visite le sang de l'homme vient du fabuleux quart de sa lignée, du légendaire, d'ancien; Cela le emmène dans les bois, vers les collines; Il écoute l'ancienne chanson.

De pure poésie, il y a deux sortes, ce qui reflète la beauté du monde dans lequel sont nos corps, et ce qui construit les royaumes les plus mystérieux où la géographie se termine et le pays de fée commence, avec des dieux et des héros en guerre, et les sirènes chantant encore, Et Alph descend dans l'obscurité de Xanadu.

Si celui qui regardait d'une tour pour une nouvelle étoile, regardant pendant des années la même partie du ciel, l'a soudainement vue (tout à fait par hasard en pensant à d'autres choses), et le savait pour l'étoile pour laquelle il avait espéré, combien beaucoup Des millions d'hommes ne s'en soucieraient jamais?

Et elle ne retiendrait pas ses membres quand son cœur serait parti dans les bois, car c'est toujours la manière des sorcières avec deux choses de s'occuper de la plus mystérieuse des deux.

La logique, comme le whisky, perd son effet bénéfique lorsqu'il est pris en trop grandes quantités.

L'humanité, disons, est comme des gens emballés dans une automobile qui se déplace en descente sans lumières à une vitesse formidable et conduite par un enfant de quatre ans. Les panneaux de signalisation en cours de route sont tous des "progrès" marqués.

Le contraste est la méthode du dramaturge.

Venez avec moi, mesdames et messieurs qui sont dans une sage lourde de Londres: venez avec moi: et ceux qui se lèvent dans tout le monde que nous connaissons: car nous avons de nouveaux mondes ici.

Il n'y a pas de beauté, de romance ou de mystère dans la mer à l'exception des hommes qui naviguent à l'étranger et de ceux qui restent à la maison et en rêvent.

Les briques sans paille sont plus facilement faites que l'imagination sans souvenirs.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lord_Dunsany

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