Nous sommes à Ranchipur, Etat semi-indépendant des Indes à l'époque de l'Empire britannique. Autour de ses dirigeants locaux, toute une galerie de personnages se croise et s'agite. Certains sont des excentriques comme Thomas Ransome qui noie ses souvenirs dans l'alcool ou le riche Lord Esketh et son épouse la belle Edwina, d'autres sont émouvants tels les filles d'un couple de missionnaires protestants rigoureux et leurs voisins Mr. et Mrs. Smiley. Les points de vue s'affrontent tandis que la saison des pluies se fait attendre. Ici le luxe côtoie la misère et la modernité l'archaïsme. Lorsque la mousson arrive enfin, elle va tout dévaster et les relations entre les personnages s'en trouver bouleversées. Au terme de la catastrophe, ceux qui croient en l'Inde vont travailler à son réveil dont cette immense fresque évoque les prémices. Adapté à deux reprises à l'écran (Lana Turner et Richard Burton dominent la version de Jean Negulesco en 1955), ce grand roman reste l'oeuvre maîtresse de l'un des raconteurs d'histoires américains les plus talentueux de sa génération.

La Mousson - Roman sur les Indes modernes

Mariée très jeune. an dernier rejeton d'une vieille dynastie de 
la Nouvelle- Angleterre. Olivia ne sait pas encore quel enfer se 
cache derrière la façade de respectabilité et de puritanisme de 
sa nouvelle famille. Les alliances, parfois. scellent dans la 
douleur le destin de jeunes femmes écrasées par le poids du 
devoir et des violences qui en découlent. Le retour vingt ans 
plus tard d'une amie de jeunesse partie épouser celui quelle 
aimait, va bouleverser l'existence de celle devenue une épouse 
tranquille. Tirée de sa léthargie par ces retrouvailles, Olivia 
n'acceptera peut-être pas pour sa fille ce qu'elle a supporté des 
année durant d'un homme qui ne l'a jamais aimée.

Précoce automne

L'année 1936 fut une tragédie pour l'État du Ranchipur : un tremblement de terre et des pluies
diluviennes provoquèrent inondations, incendies, typhus et choléra. Très vite, ses habitants se trouvèrent prisonniers d'une ville dévastée et coupée du monde. Au milieu des maisons effondrées, des cadavres charriés par les flots déchaînés, des femmes et des hommes vont se révéler à eux-mêmes : Tom Ransome, un aventurier séduisant, rongé par l'alcool ;
Edwina Esketh, une mondaine cynique et sensuelle ; Fern, jeune fille rebelle d'une famille de missionnaires.
Audacieux et parfois héroïques, Indiens et Européens
s'unissent pour sauver des vies et reconstruire cette
principauté des Indes anglaises. Fresque colorée, puissante, animée de personnages passionnants qui aiment, haïssent, luttent et souffrent, La Mousson est, parmi l'œuvre très riche de Louis Bromfield, son plus grand succès.

La mousson

Un parc de fleurs, d'arbres et de statues baignant dans une atmosphère de fumées, de suie, dans le bruit infernal des hauts-fourneaux. Planté au milieu des glycines, des pivoines et de la lavande, le château de Shane, une grande maison carrée, mi-géorgienne, mi-gothique, avec sa façade de pierres blanches et ses pignons. Voilà, quelque part entre Cleveland, Chicago et Detroit, la Colline aux Cyprès, au début du XIXe siècle. Il n'y a pas de cyprès, seulement des cèdres. Mais John Shane les avait appelés cyprès et il en fut ainsi car John Shane était le chef de famille. Il était mort vers 1890 ; il resta alors sa femme Julia, ses filles Irène et Lily, leur tante Hattie Tolliver, une famille disséminée entre Paris, Londres et l'Amérique. L'histoire de la Colline aux Cyprès, celle du château de Shane, se confond avec les secrets, les rêves, les drames de Lily et d'Irène, après la mort de John Shane, puis celle de Julia, leur mère. La toile de fond, c'est la violence : la guerre hispano-américaine, la grande grève des aciéries, la guerre des Balkans, la guerre de 1914. La Colline aux Cyprès est un peu le roman d'une liberté perdue en Amérique et retrouvée à Paris, comme un grand rêve, comme une vieille nostalgie. Document psychologique et social sur la vie américaine à l'aube du XXe siècle, la fin du monde des pionniers, le mythe de l'«Américaine à Paris». Louis Bromfield (1896-1956) a réussi là ce qu'on l'appelle un vrai roman.

La Colline Aux Cypres

Un parc de fleurs, d'arbres et de statues baignant dans une atmosphère de fumées, de suie, dans le bruit infernal des hauts-fourneaux. Planté au milieu des glycines, des pivoines et de la lavande, le château de Shane, une grande maison carrée, mi-géorgienne, mi-gothique, avec sa façade de pierres blanches et ses pignons. Voilà, quelque part entre Cleveland, Chicago et Detroit, la Colline aux Cyprès, au début du XIXe siècle.Il n'y a pas de cyprès, seulement des cèdres. Mais John Shane les avait appelés cyprès et il en fut ainsi car John Shane était le chef de famille. Il était mort vers 1890 ; il resta alors sa femme Julia, ses filles Irène et Lily, leur tante Hattie Tolliver, une famille disséminée entre Paris, Londres et l'Amérique. L'histoire de la Colline aux Cyprès, celle du château de Shane, se confond avec les secrets, les rêves, les drames de Lily et d'Irène, après la mort de John Shane, puis celle de Julia, leur mère.La toile de fond, c'est la violence : la guerre hispano-américaine, la grande grève des aciéries, la guerre des Balkans, la guerre de 1914. La Colline aux Cyprès est un peu le roman d'une liberté perdue en Amérique et retrouvée à Paris, comme un grand rêve, comme une vieille nostalgie. Document psychologique et social sur la vie américaine à l'aube du XXe siècle, la fin du monde des pionniers, le mythe de l'«Américaine à Paris».Louis Bromfield (1896-1956) a réussi là ce qu'on l'appelle un vrai roman.

La Colline aux Cyprès

Bromfield takes a close look at the Pentlands- a fictional rich family in New England- exposing the hypocrisy and ignorance behind their luxurious facade. Bromfield's eloquence when describing both his characters and their surroundings is breathtaking, and his accuracy in describing the characters' complicated emotions makes it apparent that he knows human nature very well. A fascinating study on the struggle of one woman to escape the stifling influence of her husband and in-laws.

Louis Bromfield (27 décembre 1896 à Mansfield † 18 mars 1956 à Columbus) est un écrivain américain. Le prix Pulitzer lui a été décerné en 1927 pour son troisième roman, Précoce Automne.

Elle avait tourné le dos à tous et aucun sort terrible l'avait dépassé; Au lieu de cela, elle avait fermement pris la vie et en faisait un succès fin, voire scintillant; Et c'est une chose qui n'est pas facilement pardonné.

Les maisons, comme les gens, ont des personnalités et, comme les personnalités des gens, elles sont partiellement moulées par tout ce qui leur est arrivé.

Le bonheur est une chose bizarre. Les gens qui ne l'ont jamais connu ne sont peut-être pas réellement malheureux.

...elle avait compris depuis longtemps que la solitude était la malédiction de ceux qui étaient libres, même de tous ceux qui s'élevaient un peu au-dessus du niveau de l'humanité ordinaire.

Ne jamais perdre le contact avec les menues réalités quotidiennes, c'est là un principe qui permet de beaucoup endurer.

Que nous échouions ou non, nous ne serons pas empêchés de poursuivre notre mission par ceux qui prétendent que cela ne peut pas être fait. ... En effet, l'ensemble de la science agricole et du bétail et même de la médecine humaine, si le son, n'est que l'activité de découvrir certains modèles naturels déjà en existence, de mettre en place les différentes pièces et de découvrir leur relation avec l'univers entier; En effet, un tel processus est la science elle-même

C'est le devoir de chaque citoyen, pour son propre bien-être, si ce n'est pour aucune autre raison patriotique, de soutenir et de se battre pour et éventuellement des mesures liées à la conservation du sol, de l'eau et des forêts.

Ce fut un après-midi de gril de la mi-août à Brinoe et tous ceux qui étaient quelqu'un avait longtemps quitté ses trottoirs brûlants et ses palais froids pour les montagnes ou la mer.

Il y a un rythme dans la vie, une certaine beauté qui fonctionne par une variation des lumières et des ombres, le bonheur alternant avec le chagrin, le contenu de mécontentement, la distillation dans ce processus de contraste un sentiment de satisfaction, de richesse qui peut être capturé et épinglé uniquement par ceux qui possèdent le don de la conscience.

Cette autre guerre, la guerre à la destruction des actifs naturels est celle qui ne sera jamais terminée. Notre faiblesse dans cette vaste guerre est en grande partie l'ignorance, que la plupart de nos citoyens ne réalisent pas ce qui se passe sous leurs pieds.

Le pain est le roi de la table et tout le reste n'est que la cour qui entoure le roi. Les pays sont la soupe, la viande, les légumes, la salade, mais le pain est roi.

Au fur et à mesure que les sols s'épuisent, la santé, la vitalité et l'intelligence humaines vont avec.

C'est simplement que dans toute la vie sur terre, comme dans toute la bonne agriculture, il n'y a pas de raccourcis qui contournent la nature et la nature de l'homme lui-même et des animaux, des arbres, des rochers et des ruisseaux. Chaque tentative de formule, une courte coup, une panacée, se termine toujours par une négation et une destruction.

L'expérience est une source de richesses infinies qu'il faut savoir dominer et maîtriser, sinon elle peut fort bien se changer en un fleuve dévastateur.

L'histoire n'est pas faite de victoires ou de défaites momentanées, mais bien des grands mouvements qui entraînent des peuples entiers vers la gloire ou la destruction.

Si ce que nous savons déjà était simplement appliqué à toutes les terres agricoles du monde et que le problème de la distribution appropriée a été pris en considération, le monde pourrait bien se nourrir.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Bromfield

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