Fils d'immigrants italiens, louis Zamperini est né en 1917. Après une jeunesse délinquante, il arrache le record du monde étudiant du mile. Séléctionné pour courir aux jeux olympiques de Berlin, il est présenté à Hitler et Goebbels. En 1941, il s'engage comme pilote de bombardier dans l'US Air Force.
Le 23 mai 1943, son B-24 est abattu au-dessus du pacifique. Avec deux camarades, il dérive durant 47 jours sur un radeau, survit miraculeusement avant d'être fait prisonnier par les Japonais. A Yokohama, il doit supporter pendant plus de deux ans la faim, les brutalités, les humiliations et le sadisme du sergent Watanabe.
Libéré en 1945, il est accueilli en héros chez lui mais se réadapte mal à la vie civile, malgré le soutien de son épouse Cynthia et la naissance de leurs deux enfants. Une rencontre avec Billy Graham, le célèbre prêcheur, l'aide à retrouver la foi et à mettre un terme à sa vie désordonnée. En 1950, il accepte de repartir à Tokyo en tant que missionnaire, afin de faire la paix avec ses anciens bourreaux.

La mort est ma compagne

Fils d'immigrants italiens, Louis Zamperini est né en 1917. Après une jeunesse délinquante, il arrache le record du monde étudiant du mile. Sélectionné pour courir aux jeux olympiques de Berlin, il est présenté à Hitler et Goebbels. En 1941, il s’engage comme pilote de bombardier dans l'US Air Force.Sa vie bascule le 23 mai 1943 lorsque son B-24 est abattu au-dessus du Pacifique. Avec deux camarades, il dérive durant 47 jours sur un radeau, survit miraculeusement avant d'être fait prisonnier par les Japonais. A Yokohama, il doit supporter pendant plus de deux ans la faim, les brutalités, les humiliations et le sadisme du sergent Watanabe.Libéré en 1945, il est accueilli en héros chez lui mais se réadapte mal à la vie civile, malgré le soutien de son épouse Cynthia et la naissance de leurs deux enfants. Une rencontre avec Billy Graham, le célèbre prêcheur, l'aide à retrouver la foi et à mettre un terme à sa vie désordonnée. En 1950, il accepte de repartir à Tokyo en tant que missionnaire, afin de faire la paix avec ses anciens bourreaux.

Même à mon âge, j'essaie de m'améliorer. N'abandonnez jamais, quoi qu'il arrive. Même si vous obtenez la dernière place - terminer.

Je pense que la chose la plus difficile dans la vie est de pardonner. La haine est auto-destructrice. Si vous détestez quelqu'un, vous ne blessez pas la personne que vous détestez, vous vous faites du mal. C'est une guérison, en fait, c'est une véritable guérison ... pardon.

Les gens disent que, sur le radeau, vous devez avoir halluciné. Balivernes. Nous étions plus nets après 47 jours que le jour où nous avons commencé parce que nos esprits étaient vides de toute la guerre et de la contamination; Nous avions des esprits propres à remplir de bonnes pensées. Chaque jour, nous exerions nos esprits.

Je dois dire que c'est - l'émotion la plus élevée de l'expérience humaine est de descendre dans un avion en sachant que vous allez mourir!

Pourtant, une partie de vous croit toujours que vous pouvez combattre et survivre, peu importe ce que votre esprit sait. Ce n'est pas si étrange. Là où il y a de la vie morte, il y a encore de l'espoir. Ce qui se passe est à Dieu.

C'est une chose que vous apprenez dans le sport. Vous n'abandonnez pas; Vous vous battez jusqu'à l'arrivée.

Les gens me disent: "Vous êtes tellement optimiste". Suis-je optimiste? Un optimiste dit que le verre est à moitié plein. Un pessimiste dit que le verre est à moitié vide. Un survivaliste est pratique. Il dit: "Appelez ça ce que vous voulez, mais remplissez simplement le verre." Je crois qu'il faut remplir le verre.

Le monde, nous l'avons découvert, ne vous aime pas comme votre famille vous aime.

Je ne pouvais pas parler anglais. Je suis à la maternelle, et la seule raison pour laquelle j'ai réussi en première année est parce que j'ai triché.

J'ai toujours été appelé Lucky Louie. Ce n'est pas un mystère pourquoi.

La douleur est ce dernier quart de mile. Vous le ressentez, mais lorsque vous êtes en cours de course, tout votre corps se sent simplement ravi. Donc, la douleur en vaut la peine.

Chaque soldat devrait apprendre la survie sur terre, en mer et dans les airs.

Le grand commandement est que nous prêchons l'Évangile à chaque créature, mais ni Dieu ni la Bible ne disent quoi que ce soit sur le forcer la gorge des gens.

Je me suis retrouvé dans l'armée aérienne du Pacifique, opérant à partir du champ Ayuka à Hawaï.

La haine est autodestructrice. Si vous détestez quelqu'un, vous ne blessez pas la personne que vous détestez. Vous vous blessez. Et c'est une guérison. En fait, c'est une véritable guérison, le pardon.

J'ai été élevé pour relever tout défi.

Dieu m'a tellement donné. Il attend tellement de moi.

J'étais un enfant pourri. Mon excitation est venue de voir ce que je pouvais m'en tirer.

Le film de course avait confirmé une chaleur morte. C'était génial. Mais encore mieux, la plupart de la presse de New York a finalement appris à épeler mon nom correctement.

Lorsque vous êtes sur un radeau, vous priez comme dans un trou de renard.

Tout ce que je savais, c'est que la haine était aussi mortelle que n'importe quel poison et ne faisait de bien à personne. Vous deviez le contrôler et l'éliminer, si vous le pouviez.

Si vous pouvez le prendre, vous pouvez le faire.

Persévérer, je pense, est important pour tout le monde. N'abandonnez pas, ne cédez pas. Il y a toujours une réponse à tout.

Si vous détestez quelqu'un, c'est comme un boomerang qui manque sa cible et revient et vous frappe dans la tête. Celui qui déteste est celui qui fait mal.

J'avais fait jusqu'à présent et refusé d'abandonner parce que toute ma vie, j'avais toujours terminé la course.

Tout ce que je faisais, c'était prier Dieu, tous les jours. Dans le camp de prisonniers, la principale prière était : « Ramène-moi vivant à la maison, Dieu, et je te chercherai et te servirai. Je suis rentré à la maison, j'ai été absorbé par la célébration et j'ai oublié les centaines de promesses que j'avais faites à Dieu.

Quelqu'un qui ne fait pas l'équipe (olympique) pourrait pleurer et s'effondrer. À ma journée, personne n'est tombé sur la piste et a pleuré comme un bébé. Nous avons perdu gracieusement. Et quand quelqu'un a gagné, il n'a pas agi comme s'il venait de devenir roi du monde non plus. Les athlètes de mon temps étaient tout simplement humbles dans notre victoire. Je crois que nous étions plus matures alors ... peut-être que les médias mettent tellement de pression sur les athlètes; C'est peut-être aussi l'argent. À mon époque, nous avons concouru pour l'amour du sport ... à mon époque, nous avons tapoté le gars qui nous a battus dans le dos, lui a bien souhaité, et c'était tout.

Tout ce que je veux dire aux jeunes, c'est que vous ne serez rien dans la vie si vous n'apprenez pas à vous engager dans un objectif. Vous devez aller au plus profond de vous-même pour voir si vous êtes prêt à faire des sacrifices.

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