Luca Guadagnino est un réalisateur, scénariste et producteur italien, né le 10 août 1971 à Palerme en Sicile.

Je suis réalisateur et je travaille avec un langage visuel, avec un support visuel. Et j'essaie de faire la vertu de l'utilisation de ce support visuel. Et j'essaie de m'assurer que ce que je fais parle de la langue du cinéma.

Je suis intéressé par la forme, par la forme des choses. Et en engagement dans le degré de ne jamais laisser aller la quête du sens des choses. Cela peut être de beauté et de style, mais ce n'est pas là que je commence.

Vous savez quand ils disent que vous devez mettre des gens qui vont bien ensemble? Je préfère de loin mettre des gens qui se battent à table. Ensuite, vous avez une sorte d'éclat au dîner!

Je n'aime pas le post-modernisme. C'est cynique et ne prend aucune discipline - vous ne faites que copier. Cela ne permet pas à un film d'être ouvert à la réalité.

Tout ce qui va en dehors des règles du cinéma italien a toujours été maudit.

Si vous désirez quelque chose, vous ne l'avez pas. C'est plus intéressant que le plaisir, car le plaisir efface les mystères et la vision du désir. Le désir ouvre les possibilités mais n'atteint jamais rien, alors que le plaisir n'est que la réalisation brutale de quelque chose - et après cela, c'est fait.

Je pense que nous ne devrions pas être timides de penser que nous pouvons interpréter le texte comme un film à nouveau, selon le point de vue et ce que nous en faisons plus que toute autre chose. Bien sûr, beaucoup de remakes de films importants, en particulier des films d'horreur, ils sont nuls.

Personnellement, je ne pense pas que les liens de sang devraient être quelque chose qui signifie bien plus que toute autre chose. Je comprends parfaitement quand quelqu'un quitte sa famille pour de bon.

Les meubles fonctionnels de rechange, à mon avis, sont le génie de la conception du 20e siècle.

J'ai un certain nombre de projets que je rêve de faire depuis que je suis enfant. Mais je suis également très ouvert aux chances de la vie et aux chances de ma profession.

Je ne jette que les acteurs et les actrices dont je tombe amoureux - ayant vraiment une émotion pour eux, une anticipation et un enthousiasme en les voyant - et je crois que ma confiance émotionnelle en eux se fonde en chimie. Cela a toujours été comme ça, et j'espère que je ne me tromperai pas à l'avenir.

Je suis une personne très éclectique et j'apprécie plusieurs goûts; Je suis comme une abeille qui saute de fleur en fleur. Avant de mourir, je dois faire un film de guerre, un western et un film comme Mike Nichols, parce que je l'aime.

Je n'aime pas beaucoup le post-modernisme, car le post-moderniste est devenu le panier dans lequel chaque personne médiocre peut mélanger les choses et faire semblant de faire quelque chose de significatif, et nous pourrions également mentionner qui utilise le post-modernisme de cette manière - peut-être que nous ne devrions pas 'T.

La création de cinéma est une affaire sale et fatigante. La joie vient de la possibilité d'être libre sur le plateau et de vraiment se déchaîner.

Le fait est que le cinéma est un effort de collaboration; Il ne s'agit pas d'imposer votre vision à d'autres personnes. Il s'agit de parler, tu sais?

Je fais partie de ces réalisateurs qui lisent des critiques, même si elles sont mauvaises, car j'ai commencé en tant que critique de cinéma en tant qu'étudiant en cinéma. Je me livre à l'art de la critique en général.

Je déteste le concept de beauté pour le bien. Il est surfait.

Je suis un Hitchcockian - je crois toujours que «psycho» établit la norme pour les relations mère / fils.

Quand les gens pensent que la mode n'est que la surface des choses, je ne suis pas d'accord très poliment.

Je pense que faire un film n'est pas seulement de faire le film - il s'agit également d'avoir des idées réfléchies et d'embrasser tous les aspects de son lancement.

Mon père est enseignant; Ma mère était un employé des télécommunications. Je viens de Palerme; J'ai été élevé en Éthiopie. Je suis homosexuel. Je ne suis pas allé à l'école de cinéma.

Lorsque vous avez de grands interprètes et que vous avez mis votre film dans la bonne direction, c'est un beau privilège de laisser la caméra regarder l'action se dérouler sans paroles.

En 1993, mon premier documentaire concernait la guerre civile en Algérie. C'était en français et en arabe. Un autre court métrage que j'ai fait était silencieux. Ce que j'essaie de dire, c'est que, oui, je suis italien, et oui, je fais des films avec de l'argent italien, mais personnellement, j'ai toujours été investi dans le monde plus large de la réalisation de films.

J'adore raconter des histoires, mais la fabrication est moins confortable. J'aime être privé, et être au milieu d'une équipe de tournage avec le moins d'intimité est l'inconfort de tourner un film. Pour moi, le montage est le grand moment où je peux ramener des idées et réaliser le film pour la dernière fois avant de le remettre au public.

Le concept de muse est étranger pour moi. Pour parler d'une muse implique qu'il y a un couple dans lequel une personne est l'élément passif objectivé - là-bas pour aider la partie créative, active et souvent masculine du duo à créer. Une muse est très passive. Qui veut une muse? Je ne veux pas de muse.

Je viens d'une famille Bourgeois Petit, et j'ai toujours été attiré par les artistes et les gens qui choisissent leur propre mode de vie au lieu d'être choisi par les vies que les gens veulent pour eux.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Luca_Guadagnino

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