Lydia Frances Polgreen (née en 1975) est une journaliste américaine.

Je pense que le véritable moment de décision pour moi était le président Donald Trump électoral la nuit et réalisant simplement qu'il se passait quelque chose dans le pays et dans le monde qui avait une relation très profonde avec la nature du paysage médiatique actuel et que cette opportunité que était devant moi pouvait être un endroit pour essayer de travailler là-dessus. Pour essayer de réparer ce qui ne va pas et, ou du moins, tentez.

Nous avons traditionnellement pensé aux médias sur ce spectre traditionnel gauche / droit et la plupart des médias se sont regroupés au centre et je pense que les gens ont traditionnellement considéré le huffpost comme étant ce genre de voix libérale et progressive et c'est, vous savez que je pense qu'ils ' RE sont de bonnes raisons de penser cela. Je veux dire que cela a commencé après que George W. Bush a été réélu et a été une réponse au rapport de rideau.

Je pense que les faits et la vérité sont essentiels au journalisme, mais vous devez compter avec l'émotion. Vous devez faire face à ce que les gens ressentent, sinon vous manquez l'histoire.

Quand je me suis inscrit pour un compte Twitter pour la première fois - je devais dire que c'était en 2007, les gens vont penser que c'est une chose d'auto-promotion étrange ou ça se passe, mais avec le temps, j'ai été appelé à essayer de persuader d'autres correspondants étrangers et Les journalistes pour arriver sur Twitter et en voir l'utilité qui est un peu ironique. Je pense que les journalistes qui dirigent la charge numérique du Times ont, tous ont tous les antécédents en tant que correspondant étranger, ce qui, je pense, n'est pas accidentel.

Je ne sais même plus ce que signifie être gauche. Je pense que le spectre gauche / droit a été si fondamentalement brouillé principalement par la politique autour de la mondialisation - et vous l'avez vu au Brexit, vous l'avez vu aux élections françaises, vous le voyez lors de nos élections, cela se produit partout.

Le niveau de dépendance à l'égard du gouvernement parmi les populations ruraux est en fait extraordinaire. Ils souffrent encore plus lorsque cette assistance est enlevée car ils n'ont pas accès au dynamisme économique des villes. Donc, s'il existe des moyens de raconter des histoires qui aident les gens dans les zones rurales à voir leur genre de besoin mutuel, c'est pour moi le genre de chose que je veux que le HuffPost essaie de faire.

J'ai toujours été une sorte de personne curieuse et agitée. J'ai toujours lutté avec l'ambition.

Je pense que tout le monde parle comme des faits et de la vérité et vous savez comme ça «nous sommes ici pour vérifier les faits» et tout cela, c'est le matériel de base du journalisme. Vous ne pouvez pas avoir de journalisme sans faits ni vérité. Mais si les faits et la vérité étaient ce que vous connaissez réellement en quelque sorte la vie des gens et déplacé leur prise de décision comme les élections auraient eu un résultat différent.

Pour moi, le genre de comme, l'éthique, si vous voulez, comme un tabloïd, c'est comme un quotidien dans les années 1970. C'est une organisation de presse qui pense à sa mission de parler directement à des personnes qui sont en quelque sorte, les personnes qui sont en quelque sorte le fondement de la main-d'œuvre américaine ou à un moment donné. Ce que j'aime dans cette conception du tabloïd, c'est qu'en réalité tout le monde l'a lu.

Les grands tabloïds étaient toujours motivés par un sentiment d'indignation, un sentiment d'indignation juste ... et avait cette sensibilité, comme, il y a des gens qui essaient de vous baiser - et nous allons les exposer pour cela.

Pour moi, la sensibilité au tabloïd, dans le meilleur sens du terme, et je pense que les gens comme des tabloïds ont reculé comme une sorte de force dans les médias, les gens ont commencé à associer le mot "tabloïd" comme un enquirer national et des trucs comme ça.

Deux des quatre derniers éditeurs exécutifs du New York Times étaient les chefs du bureau de Johannesburg à un moment donné, Bill Keller et Joe Lelyveld. C'est un post très prestigieux et je m'étais comme je ne connaissais pas 28 ans, ce qui, au moment, est très jeune, j'avais la témérité de mettre la main à ce travail. Je ne pense pas avoir dormi une seule nuit de ces six semaines que j'ai passées à Johannesburg. Ce fut une expérience incroyable, et je pense que je l'ai bien fait.

Je pense que nous tous dans la poursuite d'une version plus parfaite de la vérité et de l'histoire doivent compter avec ce que nous apportons à l'histoire, et je pense que je confronte cela d'une manière très réelle tous les jours. Je suis extrêmement fier de qui je suis et c'est agréable de le voir célébré, mais si quelqu'un me demandait de lister dans l'ordre, vous savez que le journaliste passe en premier.

La possibilité d'avoir ce genre de boucle de rétroaction avec vos lecteurs m'a semblé incroyablement puissante.

Une fois que je suis sorti à l'université, j'ai toujours été sorti et au travail avec à peu près tout le monde. Ma femme et moi travaillons tous les deux en tant que journalistes, car elle est photographe et qui travaillait souvent ensemble, devrait en quelque sorte naviguer dans ce monde étrange. Lorsque vous essayez de développer des sources, lorsque vous essayez de vous savoir établir des liens personnels avec les gens, vous voulez inévitablement partager des choses sur vous-même et cela peut être vraiment délicat.

L'idéologie pour moi est fondamentalement une poursuite d'élite. Je veux dire que la plupart des gens ne sont pas tout ce qui n'est pas intéressé par le payeur célibataire par rapport au gouvernement ... ils sont très intéressés par vous savez: «Attendez, il y aura des panneaux de mort». Mais c'est une création de ceci comme un environnement de médias et de politique. Alors peut-être que si l'humanisme est une idéologie, c'est idéologique, mais je ne vois pas cela comme étant sur le spectre traditionnel gauche / droit.

L'Inde est notoirement difficile. Sa routine de visa est notoirement difficile d'obtenir un permis de résidence et tout ça, ce qui a lancé toutes sortes de barrières compliquées pour nous. Je me souviens d'une fois dû aller rencontrer le responsable du ministère des Affaires étrangères et dire: «Vous savez, regardez que j'ai un vrai problème ici. Cette personne est-elle vraiment importante pour vous? Et je pensais juste «mon Dieu». Vous connaissez ma femme et moi sommes ensemble depuis l'université. Vous savez que c'est 20 ans.

Mes parents étaient des adhérents de la foi baha'i, ce qui est en quelque sorte, je ne peux pas penser à la meilleure façon de le décrire, mais cela a en quelque sorte la même relation avec l'islam que le christianisme a le judaïsme, et c'est une sorte de Un credo et des missionnaires universalistes ne sont pas payés. Vous vous attendez essentiellement à sortir et à trouver un emploi et à faire votre propre truc, et pendant votre temps libre, répand la foi, et c'était donc la force motrice de nous allongés à l'étranger.

Jim Rich est de nombreuses choses différentes, mais il a une grande combinaison d'une sorte de journaliste de tabloïd à l'ancienne et de rédacteur pour ce qui est une grande histoire, mais il est également incroyablement passionné par la justice sociale. Je pense que Shaun King l'a appelé le rédacteur le plus réveillé d'Amérique, si c'est un compliment.

Je pense que nous devons compter de manière très sérieuse avec le contenu émotionnel des nouvelles et la façon dont les gens perçoivent les faits et leur perception de leur situation et pour moi, je pense que le tabloïd est comme fondamentalement une forme émotionnelle de journalisme et ce genre d'émotionnel La valence est ce qui le distingue de la large feuille.

Mon père était vraiment un enfant du mouvement de contre-culture et a été attiré par l'idée de réduire la pauvreté dans le monde en développement, aidant les agriculteurs à diversifier leurs cultures et leurs trucs comme ça.

Je pense que je suis ce genre d'étranger perpétuel, j'ai grandi la majeure partie de ma vie dans des pays qui n'étaient ni là où je suis né ni d'où l'un de mes parents venait. Je faisais partie d'une religion étrange dont personne n'avait entendu parler.

Pour moi, c'est le fait fondamental de mon identité, c'est que je suis journaliste et qu'il est donc difficile d'imaginer mettre autre chose en premier.

Pour nous, ce que nous essayons de faire, c'est trouver le bon équilibre de création d'un espace d'émotion qui mène à un sentiment d'empathie et de solidarité plutôt que d'un sentiment de division. Dans mes moments les plus grandiulaires, je pense que le HuffPost comme une plate-forme qui rend la solidarité possible, que la réflexion vraiment sur le contenu émotionnel des histoires est un moyen d'aider les gens qui pensent, ou qui ont été manipulés pour penser, que leurs intérêts sont opposés les uns aux autres, qu'ils sont en fait alignés de manière fondamentale et qu'ils sont en fait dans le même bateau.

J'ai ce peu comme une idée hétérodoxale de ce qu'est une éducation, ce qui sous-tend l'identité. Je ne pense pas que je sois très facilement étouffé au pigeon dans l'une de ces boîtes, donc je suis confronté à cela. J'ai un personnel plein de jeunes qui sont venus dans une tradition très différente et qui se sentent très excité dans les grandes batailles d'identité. J'écoute et j'essaie de les naviguer, mais je ne les trouve pas mappant sur ma vie d'une manière personnelle qui est difficile.

Le New York Times, je pense, est vraiment l'étalon-or d'un certain type de journalisme et à certains égards, c'est le type de journalisme le plus important, cette chronique des histoires les plus grandes et les plus importantes de notre temps couvert d'un niveau de rigueur et de sérieux qui est vraiment sans précédent.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lydia_Polgreen

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