Here, in one eBook volume, are the first four books in the hugely acclaimed Martin Beck series - novels that shaped the future of Scandinavian crime fiction and influenced writers from Stieg Larsson to Jo Nesbo, Henning Mankell to Lars Kepplar.

 The first four novels in the Martin Beck series, available in one eBook volume.

 'Roseanna': On a July afternoon, the body of a young woman is dredged from a lake in southern Sweden. Raped and murdered, she is naked, unmarked and carries no sign of her identity. As Detective Inspector Martin Beck slowly begins to make the connections that will bring her identity to light, he uncovers a series of crimes further reaching than he ever would have imagined and a killer far more dangerous. How much will Beck be prepared to risk to catch him?

 'The Man Who Went Up in Smoke': A Swedish journalist has vanished without a trace in Budapest. When Detective Inspector Martin Beck arrives in the city to investigate, he is drawn to an Eastern European underworld in search of a man nobody knows. With the aid of the coolly efficient local police, he reveals a web of crime, stretching back across Europe - a discovery that will put his own life at risk.

 'The Man on the Balcony': Someone is killing young girls in the once-peaceful parks of Stockholm - killing them after having his own way with them. The people of Stockholm are tense and fearful. Police Superintendent Martin Beck has two witnesses: a cold-blooded mugger who won't say much and a three-year-old boy who can't say much. The dedicated work of the police seems to be leading nowhere, and with each passing day the likelihood of another murder grows. But then Beck remembers someone - or something - he overheard.

 'The Laughing Policeman': On a cold and rainy Stockholm night, nine bus riders are gunned down by an unknown assassin. The press, anxious for an explanation for the seemingly random crime, quickly dubs him a madman. But Martin Beck of the Homicide Squad suspects otherwise: this apparently motiveless killer has managed to target one of Beck's best detectives - and he, surely, would not have been riding that lethal bus without a reason.

The Martin Beck Series: Books 1–4

Martin Beck est appelé à témoigner au procès d'une jeune femme soupçonnée de braquage, puis doit s'occuper du meurtre d'un magnat du porno. La justice suédoise, prétendument exemplaire, se révèle partiale et d'une effrayante médiocrité. Parallèlement, Beck est chargé de la protection d'un impopulaire sénateur américain en visite à Stockholm ; mais Gunvald Larsson, de retour d'un traumatisant voyage en Amérique latine, est convaincu qu'un groupe de terroristes est décidé à saisir cette occasion pour commettre un attentat spectaculaire... Ce dernier volume du Roman d'un crime est aussi le livre le plus politique de Sjöwall et Wahlöö. Outre la dénonciation citoyenne des institutions, les auteurs s'attaquent à la social-démocratie suédoise, hypocrite, manipulatrice et profiteuse.

Les terroristes

Martin Beck est appelé à témoigner au procès d'une jeune femme soupçonnée de braquage, puis doit s'occuper du meurtre d'un magnat du porno.
La justice suédoise, prétendument exemplaire, se révèle partiale et d'une effrayante médiocrité. Parallèlement, Beck est chargé de la protection d'un impopulaire sénateur américain en visite à Stockholm ; mais Gunvald Larsson, de retour d'un traumatisant voyage en Amérique Latine, est convaincu qu'un groupe de terroristes est décidé à saisir cette occasion pour commettre un attentat spectaculaire. Ce dernier volume du Roman d'un crime, à certains égards tragiquement visionnaire est aussi le livre le plus politique de Sjöwall et Wahlöö.
Outre la dénonciation " citoyenne " des institutions, les auteurs s'attaquent à la social-démocratie suédoise, hypocrite, manipulatrice et profiteuse.

Une femme commet un braquage au cours duquel un homme est tué accidentellement. Dans le même temps, deux dangereux pilleurs de banques écument Stockholm, et mettent la police sur les dents. Martin Beck quant à lui, reprenant le travail après une longue convalescence, se heurte à une affaire bizarre : un vieil invalide nécessiteux est retrouvé mort dans une pièce sordide soigneusement fermée de l'intérieur. Il a une balle dans le ventre. La police veut conclure à un suicide, mais dans ce cas où est passé le pistolet ? Un pistolet qui, justement, semble avoir servi au braquage... A partir d'un classique mystère de chambre close se dessine progressivement une affaire complexe, à la résolution parfaitement amorale.

La chambre close

Gunvald Larsson est en train de surveiller un immeuble déshérité lorsque le bâtiment explose. Il se porte aussitôt au secours des résidents. A première vue, l'incendie paraît accidentel : il suffit d'un malheureux concours de circonstances, une substance inflammable, de l'essence. D'ailleurs l'un des habitants se serait suicidé au gaz, transformant son appartement en véritable bombe. Affaire classée. Sauf que Larsson ne l'entend pas de cette oreille ; le feu était trop violent, il s'est propagé trop vite. C'est alors, qu'une révélation stupéfiante va rendre l'affaire totalement incompréhensible.

La voiture de pompiers disparue

Stockholm, écrasé de chaleur, s'engourdit dans un long été monotone. Un homme d'apparence ordinaire fume, seul, sur son balcon, observant la rue. Sa voisine appelle la police, mais quel mal y a-t-il à fumer sur son balcon ? Dans une Suède conformiste et prospère qui se regarde volontiers en paradis terrestre, Martin Beck traque un violeur meurtrier de petites filles, alors que son couple commence à se désagréger sous l'effet de la routine, du désabusement et de son hyperactivité au travail. L'enquête, faut d'indices, se révèle très difficile, d'autant que les réactions de la population deviennent vite inquiétantes.

L'homme au balcon (Martin Beck, #3)

Par une pluvieuse soirée de novembre, tous les passagers d'un autobus sont massacrés au fusil mitrailleur. Jamais la Suède n'avait connu pareille tuerie, et l'opinion publique s'affole. Parmi les neuf victimes, un flic que Beck connaissait. Que faisait-il dans ce bus, à cette heure ? D'après sa compagne, il était surchargé de travail, mais Beck sait bien, lui, qu'il était pratiquement en congé... L'identification des victimes, puis l'étude minutieuse de leur passé, apportent peu à peu des indices. Et comme souvent, derrière la façade lisse des apparences, ce sont des réalités sordides qui émergent.Maj Sjöwall et Per Wahlöö ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette oeuvre, influencée par Ed McBain et qui a marqué la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.Ce livre a été adapté au cinéma par Stuart Rosenberg en 1973 sous le titre : The Laughing Policeman (Le Flic ricanant).

Le policier qui rit

Le reporter suédois Alf Matsson a disparu en Hongrie. Le magazine qui l'emploie a bien l'intention d'exploiter le scoop, mais le ministère des affaires étrangères, qui ne veut pas d'histoires avec le bloc de l'Est, ne l'entend pas de cette oreille. Pour le retrouver sans faire de vagues, Martin Beck est envoyé d'urgence en hongrie. Malgré toute sa ténacité, son enquête bute très vite sur des obstacles infranchissables, chacune de ses avancées rendant le mystère de plus en plus épais...
Maj Sjöwall et Per Wahlöö, ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette oeuvre, influencée par Ed Mcbain, et qui a marqué de son empreinte la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.

L'homme qui partit en fumée

Vous devenez dur lorsque vous grandissez mal aimé. Les gens m'ont décrit comme une fille enfantine - plutôt timide, mais je ne l'ai pas montré. J'avais une attitude. J'étais plutôt sauvage. J'ai beaucoup menti parce que je savais que l'alternative devait être punie. En vieillissant, j'ai réalisé que je n'avais plus à mentir et c'était une sensation agréable. Je pourrais être moi-même.

Les gens lisent plus de mystères qu'ils ne font des brochures politiques.

Oui, pensez à ce que beaucoup de non-sens peut comprendre avec beaucoup de temps. La couvaison est la mère de l'inefficacité.

Il y avait beaucoup de films réalisés pour le cinéma et la télévision, et en général, je ne les connecte pas beaucoup à nos livres. J'ai un favori: «L'homme sur le toit» par le réalisateur Bo Widerberg, qui était basé sur «l'homme abominable.

La Suède est un petit pays et un écrivain suédois peut à peine gagner sa vie en tant qu'auteur. Nous n'avons pu quitter nos emplois en tant que journalistes qu'après avoir été traduit en allemand, entre autres.

Quand j'avais 11 ans, j'ai réalisé que je n'avais pas à vivre la vie que ma mère avait: l'école, le mariage, les enfants, l'appartement, la maison d'été.

Nous avons toujours eu des problèmes d'argent. Parfois, je me suis éveillé la nuit en me demandant comment payer le loyer.

Nous voulions décrire la société de notre point de vue gauche. Per avait écrit des livres politiques, mais ils n'avaient vendu que 300 exemplaires. Nous avons réalisé que les gens lisent le crime et à travers les histoires, nous pourrions montrer au lecteur que sous l'image officielle de la Suède de l'État-providence, il y avait une autre couche de pauvreté, de criminalité et de brutalité.

Il y avait beaucoup de films réalisés pour le cinéma et la télévision, et en général, je ne les connecte pas beaucoup à nos livres. J'ai un favori: «L'homme sur le toit» par le réalisateur Bo Widerberg, qui était basé sur «l'homme abominable».

J'aime Jo Nesbo et Hakan Nesser. Il y a tellement de bons livres dans le monde. Je ne veux pas passer du temps à lire des romans de mauvais crimes.

Ses oeuvres

Ses derniers livres