Dieu soit remercié pour ce cadeau bon et parfait, le cadeau indicible: sa vie, son amour, son moi même en Jésus-Christ.

Votre amour a une aile cassée si elle ne peut pas voler à travers la mer.

Le monde est l'atelier de Dieu; Les matières premières sont les siennes; Les idéaux et les modèles sont les siens; Nos mains sont «les membres du Christ», notre récompense sa reconnaissance. Blacksmith ou banquier, dessinateur ou médecin, peintre ou prédicateur, serviteur ou homme d'État, doit travailler comme le Seigneur, non seulement gagner sa vie, mais consacrer une vie. Cela rend la vie sacramentelle, transformant son eau en vin. C'est deux fois béni, bénissant à la fois le travailleur et le travail.

Le salut ne met pas un homme au paradis mais met le ciel dans un homme.

L'adoration exige les distances lointaines de Dieu; Il proteste contre le petit, le proche, le matériau. Il doit aimer mais il doit lever les yeux. Il ne peut pas vivre sans la note de la spiritualité et de l'universalité, sinon mystère. L'ascension, le passage du Christ dans le voile, répond à ce besoin. Il en va de même pour un christianisme en robe à crampons à la définition de la connaissance de la sensibilisation de l'imagination et de la maison.

Oserons-nous laisser les enfants grandir sans contact vital avec le Sauveur, jamais intentionnellement et consciemment mis dans ses bras? Ne pas les amener à lui, ne pas leur apprendre à se diriger vers lui, dès qu'ils peuvent marcher vers n'importe qui, c'est du tort d'un enfant au-delà des mots. Le terrible acte d'accusation prononcé par le Seigneur, "Ceux qui entraient dans vous ont gêné", et l'avertissement de la pierre de moulin pour les petits offensifs, s'apparentent aux déserts de ceux qui ruinent toute la journée de vie d'un homme en ne faisant pas tort de ses heures du matin. Ne pas aider un enfant à connaître le pouvoir de sauvegarde du Christ, c'est retenir un homme du salut.

Être fort! Nous ne sommes pas là pour jouer, rêver, dériver; Nous avons un travail acharné à faire et des charges à soulever; Évitez pas la lutte à la lutte; «C'est le cadeau de Dieu.

Si un ami est celui qui nous invoque à notre mieux, alors Jésus-Christ n'est-il pas notre meilleur ami, et ne devrions-nous pas considérer la communion comme l'un de ses principaux appels à nous pour être notre meilleur? Le souper du Seigneur ne remonte pas à notre passé avec un œil critique, mais à notre avenir, avec un espoir. Le maître fait appel de ce que nous avons été à ce que nous pouvons être. Il nous offre de venir, non pas parce que nous sommes meilleurs que nous, mais parce qu'il veut que nous l'ayons. Rester à l'écart parce que nos cœurs sont froids, c'est refuser d'aller au feu jusqu'à ce que nous soyons chauds.

Si Dieu n'a fait aucune réponse sauf pour perfectionner la foi, qui pourrait espérer de l'aide? Mais Dieu a le respect des débuts, et son œil perçoit la grandeur dans le germe. La main de la femme dans la foule tremblait alors qu'elle était étendue vers Jésus, et la foi en arrière était superstitieusement respectueuse, qui avait confiance dans la vertu de la robe, plutôt que dans celui qui le portait; pourtant l'authenticité de cette foi; Même si c'était faible, triomphé dans la vue aimante de Dieu. La vraie confiance est un réel pouvoir, bien que le cœur et la main soient faibles.

Être fort! Peu importe à quel point le mal a mal enragé, à quel point la bataille va, le jour combien de temps, pas faible, combattez! Demain vient la chanson.

Si vous pouvez aider quelqu'un même un peu, soyez heureux; En haut des étapes de l'utilité et de la gentillesse, Dieu vous mènera au bonheur et à l'amitié.

Le succès est généralement dû à la maintenance et à l'échec de lâcher prise.

Je suis d'accord avec vous que la communion avec les saints invisibles doit être plus un rêve qu'une réalité. Mais nous avons le droit de rêver des rêves, s'ils ne sont pas contredits par les lois évidentes de la parole de Dieu ou du monde de Dieu.

Les bonnes habitudes ne sont pas faites les anniversaires, ni le caractère chrétien à la nouvelle année. La vision peut aube, le rêve peut se réveiller, le cœur peut sauter avec une nouvelle inspiration sur un peu de montagne, mais le test, le triomphe, est au pied de la montagne, sur la plaine. L'atelier de caractère est la vie de tous les jours. L'heure sans incident et banale est l'endroit où la bataille est gagnée ou perdue.

Un jour se lève, tout comme les autres jours ; en elle vient une seule heure, tout à fait comme les autres heures ; mais ce jour-là et à cette heure-là, la chance d'une vie nous attend.

Mieux vaut perdre le compte tout en nommant vos bénédictions que de perdre vos bénédictions pour compter vos problèmes.

Portez peu d'attention au découragement que possible. Faire avancer comme un bateau à vapeur, rugueux ou lisse - pluie ou brillance. Porter votre cargaison et faire votre port est le point.

Si nous montrons la mort du Seigneur à la communion, nous devons montrer la vie du Seigneur dans le monde. S'il s'agit d'une eucharistie dimanche, elle doit prouver lundi qu'il était aussi un sacrement.

Bien qu'il n'y ait rien de si mauvais pour la conscience que des bagatelles, il n'y a rien de si bon pour la conscience que des bagatelles. Sa certaine discipline et son développement sont liés aux plus petites choses. La conscience, comme la gravitation, s'empare des atomes. Rien n'est moralement indifférent. La conscience doit régner dans les mœurs comme dans les mœurs, dans les divertissements comme dans le travail. Seul celui qui est "fidèle à ce qui est le plus petit" est digne de confiance dans le monde entier.

Soyez fort: nous ne sommes pas là pour jouer, rêver, dériver, nous avons un travail difficile à faire et des charges à soulever, éviter pas la lutte, affronter, «son don de Dieu. Soyez fort: dites pas que les jours sont mauvais - qui est à blâmer! Et pliez vos mains et acquiescez - O honte! Tenez-vous, parlez et courageusement au nom de Dieu. Être fort! Peu importe à quel point le tort a mal enragé. À quel point la bataille va du mal, la journée, combien de temps! Peu de temps, combattez-vous! Demain vient la chanson.

Vous n'êtes pas responsable de la disposition avec laquelle vous êtes né, mais vous êtes responsable de celui avec qui vous mourez.

Il sera difficile pour vous de ne pas vous demander pourquoi cela doit être. Dieu sait pourquoi, et cela peut être aussi bon pour nous que si nous connaissions mille raisons. Je prie Dieu pour vous garder silencieux et patient et sans vous plaindre, et vous aider à supporter le poids de ce chagrin apparemment inintelligible. J'espère que vous vous souviendrez que c'est le seul monde dans lequel un chrétien peut souffrir et souffrir patiemment et doucement. Nous ne pouvons pas souffrir et par. Dieu nous aide à le glorifier maintenant, quand nous le pouvons.

N'est-ce pas cette constance à marquer, à faire, le caractère de votre vie? N'est-ce pas la volonté de Dieu que nous devrions appuyer régulièrement à notre objectif en obéissance à lui, dans les canaux de son choix, que ce soit au soleil ou à l'ombre, dans la joie du printemps ou dans le froid de l'hiver, ni détenu par le plaisir ni dissuadé par douleur?

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