Marc Forster, né le 30 novembre 1969 à Illertissen (Bavière), est un réalisateur, scénariste et producteur de cinéma germano-suisse.
Il est notamment connu pour deux succès au box-office mondial : Quantum of Solace (2008) et World War Z (2013).

Lorsque vous parlez avec un concepteur de jeu, le dialogue est plus centré sur les emplacements, le design d'intérieur, ce que j'aime et ce qui ne fonctionne pas. Il y a un certain goût sur lequel je suis attiré et que je me sens inspiré, et trouver cette inspiration est ce qui fait avancer la conversation.

Quantum of Solace" a été un peu différent de beaucoup de mes autres films parce qu'il s'agit d'une franchise et que, dans ce film particulier, nous avons affaire à un scénario issu de la grève des scénaristes, ce qui a été difficile à gérer parce qu'on n'a jamais eu le temps de vraiment développer un scénario fini.

J'ai toujours voulu faire un film d'action, pas particulièrement «Bond».

Contrairement au nouveau modèle de distribution, nous avons tiré la main de Dieu en utilisant le format traditionnel du film. J'utilise moi-même très peu d'applications et j'ai tendance à ne pas s'engager dans les médias sociaux. J'utilise Instagram sous le nom de ma société de production, mais c'est tout.

Ce qui est intéressant, c'est que lorsque vous commencez, les gens n'ont aucun jugement et ils vous voient jeunes et frais en tant que cinéaste - et parce que vous n'avez pas encore d'expérience, vous êtes beaucoup plus naïf et pensez que tout est possible.

Vous faites beaucoup de presse, mais vous parler et discuter des films avec vos pairs est la partie la meilleure et la plus épanouissante.

J'essaie toujours de rester objectif et de me retirer du processus et de revoir le film.

J'ai toujours voulu faire un film d'action, pas particulièrement Bond.

Sur «Stranger Than Fiction», le script était si bon que je suis resté à chaque ligne parce que c'était juste une écriture si brillante de Zach Helm que j'avais l'impression de vouloir vraiment tirer la page.

Je pense toujours qu'il est intéressant de changer de genres, car si je lis un script et que je sais exactement comment manifester une histoire, je ne veux plus vraiment le faire, parce que je l'ai déjà fait dans ma tête. Cela devient moins intéressant. Si je lis quelque chose qui est difficile, je suis vraiment passionné et j'en tombe généralement amoureux, parce que je pense que je dois le faire. J'ai besoin de raconter l'histoire; J'ai besoin de trouver un moyen d'y arriver.

L'objectif est de s'aligner sur votre cœur de base de collaborateurs, qui comprennent votre vision et votre esthétique. Je leur montre généralement un matériau visuel de ce que j'ai en tête, ainsi qu'un spectre de couleurs des tableaux d'humeur.

Même avec mon père et mon frère en train de mourir, je n'ai pas tout à fait traité le chagrin.

J'ai l'impression que chaque fois que je prends un film, il est important que la possibilité d'échec existe et de l'inconnu, car c'est un défi de faire quelque chose que je n'ai jamais fait auparavant et quelque chose que je dois essayer de travailler.

L'une des principales raisons pour lesquelles je voulais travailler sur la «Guerre mondiale» était parce que je suis un grand fan du livre, et j'adore l'idée de prendre une histoire non linéaire et de créer une structure en trois actes.

Lorsque vous le résumez, c'est une expression visuelle. Dans un sens, nous sommes tous des conteurs à travers ce que nous portons, qui nous voulons être, comment nous voulons que les gens nous perçoivent. La vie, les gens et les histoires qu'ils racontent consciemment ou inconsciemment m'inspirent tous les jours.

Je pense que les gens, malheureusement, vivent dans une peur constante. Je pense que le gouvernement - et les gens en général - créent des scénarios que les gens craignent, car en fin de compte, par la peur, vous pouvez contrôler les gens. Je souhaite que nous puissions vivre dans un monde où il n'y aurait pas de peur, mais c'est un moteur dans de nombreuses décisions que les gens prennent ces jours-ci, que ce soit personnel, économique ou même lié à l'emploi. Beaucoup de gens restent sans peur dans un travail qu'ils détestent.

L'essentiel est que vous commencez chaque film à partir d'une sorte de page vierge, presque comme si vous le découvrez comme un enfant découvre un nouveau monde.

Sur Stranger Than Fiction, le script était si bon que je suis resté à chaque ligne parce que c'était juste une écriture si brillante de Zach Helm que j'avais l'impression de vouloir vraiment tirer la page.

Vous pouvez faire un film mondial, qui affecte tant de pays et affecte une sorte de cette épidémie mondiale, mais elle a, les zombies sont de grandes métaphores pour les moments où nous vivons aujourd'hui et c'est ce que je trouve toujours fascinant à leur sujet, mais c'est comme le Walking Dead, vous savez, l'inconscient et les métaphores pour eux sont vraiment quelque chose qui m'a inspiré.

Je pense que les gens, malheureusement, vivent dans une peur constante.

Ce qui me passionne, c'est de raconter des histoires qui signifient quelque chose pour moi.

Je ne me considère pas comme ayant fait la transition. Je vise à être plus transitoire que la transition. La vie est en constante évolution, maintenant à un rythme plus rapide que jamais, donc être dans un état transitoire est le meilleur moyen de suivre le rythme.

J'ai réalisé que beaucoup de grands réalisateurs que j'admire de [Ingmar] Bergman à [Fredrico] Fellini tirent toujours, puis en entrant dans la salle d'édition et en tirant à nouveau.

Je pense toujours qu'il est intéressant de changer de genres, car si je lis un script et que je sais exactement comment manifester une histoire, je ne veux plus vraiment le faire, parce que je l'ai déjà fait dans ma tête.

Pour moi, «The Kite Runner» est devenu un gars qui s'est émotionnellement fermé parce qu'il n'a pas confronté son passé.

Pour moi, le Kite Runner est devenu un gars qui est émotionnellement fermé parce qu'il n'a pas confronté son passé.

Je ne pense pas que les gens comprennent ce qu'il faut pour faire un film à moins qu'ils ne l'aient vécu eux-mêmes ou que ce soit autour. C'est un miracle à chaque fois que vous faites un film et un miracle plus important si cela se passe bien.

Tous les mouvements commencent et finissent, et tous ont été inspirés par d'autres qui les ont précédés. Ils évoluent puis se déconstruisent à nouveau. Il y a très peu de designers dont l'esthétique m'attire personnellement. Cependant, c'est différent de la manière dont j'habille les personnages de mes films.

Il est important de suivre la technologie, de se déplacer constamment avec. S'efforcer de le faire me maintient alerte et crée un sentiment de fluidité mais en même temps, j'aime m'en éloigner. Il est essentiel que mon processus essaie de rester en dehors de la bulle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Forster

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