'Dans la Sexta, nous les zapatistes hommes et femmes, nous répétons notre refus de toute tentative d'hégémonie, c'est-à-dire de tout avant-gardisme, qu'il nous touche par l'avant ou qu'il nous aligne, comme au long de ces derniers siècles, à l'arrière-garde. Si avec la Sexta nous cherchons nos semblables dans les douleurs et les luttes, sans nous arrêter aux calendriers et aux géographies qui nous séparent, c'est parce que nous savons bien que le Commandeur, on ne le vainc pas avec une seule pensée, une seule force, une seule direction (aussi révolutionnaire, conséquente, radicale, puissante, ingénieuse, nombreuse et autres que soit cette direction). C'est l'enseignement de nos morts que la diversité et la différence ne sont pas une faiblesse pour ceux d'en bas, mais une force pour accoucher, sur les cendres de l'ancien, du nouveau monde que nous voulons, qu'il nous faut, que nous méritons. Nous savons bien que ce monde n'est pas imaginé seulement par nous. Mais dans notre rêve, ce monde-là n'est pas un, mais beaucoup, différents, divers. Et c'est de sa diversité qu'il tient sa richesse.'

Eux et nous

67 poèmes insurgés de Marlene Feeley, disant les espérances des gens du quotidien pour leurs justes droits à l'éducation, au logement et à la santé. Évocations d'enfances au Chili (Valparaiso) et de situations sociales accablant les populations laborieuses défavorisées et les gens du peuple autochtone Mapuche en Araucanie.

Marichiweu ! dix et mille fois nous vaincrons, poèmes insurgés

Depuis les montagnes du sud-est du mexique t.1

Marcos est notamment un prénom et un nom de famille courant de la péninsule Ibérique.

J'aime tous les joueurs argentins de la Premier League. Ils sont tous bons, bien sûr, parce qu'ils sont d'Argentine!

On m'a dit à plusieurs reprises que j'avais un style de combat mexicain et j'espère développer cela davantage pendant que je m'entraîne au Mexique.

Broner est un très bon perforateur. C'est un très bon boxeur, très bon pointeur.

J'ai cette puissance KO à un coup entre les deux mains, mais je n'irai pas seulement pour la tête. La plupart des adversaires de Floyd l'ont fait, mais sa défense est si bonne.

J'ai été un outsider toute ma vie. J'étais l'opprimé contre Adrien Broner et Victor Ortiz, et vous avez vu ce qui s'est passé. J'ai gagné.

Je suis surpris d'avoir eu le match revanche, car Floyd ne l'a fait qu'une autre fois de sa carrière.

La plupart du temps, j'ai eu des KO dans mes combats amateurs.

J'adore le football et j'ai joué quand j'étais un petit enfant. J'étais bon mais je ne suis pas sûr d'être assez bon pour être professionnel.

Je ne sous-estime personne et je pense que Morales est capable de faire un bon combat.

Je n'ai pas vraiment regardé de combattants parce que nous n'avions pas de télévision. Bien sûr, je connaissais Carlos Monzon parce qu'il est une icône tellement énorme dans ma province et dans mon état, mais je peux honnêtement dire que je n'obtiens aucun instinct des autres combattants.

Je me sens à l'aise avec le peuple mexicain. Je me sens accepté par eux et si je casse Morales, comme je le sais, je espérons que les fans mexicains m'adopteront comme les leurs.

J'ai beaucoup de souvenirs de grandir dans une ferme quand j'étais jeune. Je monte toujours des chevaux et j'aimerais posséder mon propre terrain un jour.

Si je frappe Khan, il descend. Si le coup de poing est au bon endroit, il ne se lèvera pas. Je peux l'assommer avec une main droite.

Je mérite cette revanche. Je tiens à remercier Floyd Mayweather de m'avoir donné cette opportunité.

Il semble que je sois né avec le don de faire sortir les gens.

Floyd peut dire ce qu'il veut de moi. Il sait que je lui ai donné le combat le plus difficile de sa vie.

J'ai frappé très fort et chaque fois que j'attire un coup de poing, je blesse mon adversaire.

J'ai déjà prouvé que je m'en fiche si l'homme que j'ai devant moi est le meilleur champion de livre pour livre.

Je me sens beaucoup, beaucoup mieux maintenant que je travaille avec Robert Garcia.

Je dis cela respectueusement, mais il semble toujours y avoir une raison pour des gars comme Robert Guerrero, Victor Ortiz et quelques autres pour m'éviter.

J'ai croisé les lions. Je continue à avancer et je le laisse entre les mains de Dieu.

Je sais que beaucoup de gens ne me considèrent pas comme un facteur dans la division des poids welter, mais ils ont le droit de penser de cette façon. Je veux seulement ma chance de prouver ce que je peux faire sur le ring.

J'ai commencé la boxe à l'âge de 15 ans lorsqu'un homme local, Ricardo Linari, a ouvert un club de boxe à Margarita. Je semblait juste pouvoir assommer les gens et ce pouvoir est resté avec moi.

La division de 147 livres est l'endroit où je me sens le mieux. Je ne me sentais pas de cette façon à 140. Maintenant, je suis libre et je peux manger plus.

Peut-être que des juges comme des combattants qui courent.

J'aime vraiment Carlos Tevez. Je suis comme lui. Je suis petit et agressif aussi. J'aime me battre!

La défense de Floyd est très bonne, et parfois il est difficile de le frapper. C'est pourquoi je veux l'assommer.

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