Consuelo Ramos, dite Connie, a tout perdu : son compagnon, sa fille, sa liberté. Internée de force pour la deuxième fois, elle a l'impression de toucher le fond. C'est pourtant ce moment que choisit Luciente, voyageur temporel venant d'un futur qui semble impossible, pour contacter Connie. Si elle ne l'aide pas, le futur utopique dont sa communauté et lui sont si fiers ne pourra voir le jour, et tous tomberont dans l'oubli. Dans Une Femme au bord du temps, Marge Piercy pioche dans ses années de militantisme les éléments qui font de Mattapoisett une utopie sociale et écologique, un monde où l'humain est remis au centre des préoccupations. En touchant aux thèmes du racisme, des violences médicales et du droit aux femmes à disposer de leur corps, ce roman situé dans le New York de la fin des années 1970 résonne avec l'actualité d'aujourd'hui.

Une femme au bord du temps

Under her mother's constant scrutiny and lost in the shadow of her famous senator father, Melissa is the third child in the politically prominent Dickenson family, where ambition comes first and Melissa often comes last. In college, she meets Blake, a man of mixed race and apparently unknown parentage. His adoptive parents are lawyers whose defense of death-row cases in the past brought them head-to-head with Melissa's father when he was the governor of Pennsylvania. While Melissa and Blake's attraction is immediate and fiery, a dangerous secret lurks beneath their relationship -- one that could destroy them ... and their families. Provocative and beautifully written, and dealing with themes of love, honesty, identity, and the consequences of ambition, The Third Child is a remarkable page-turner.

The Third Child - A Novel

Ce n'est pas le sexe qui donne le plaisir, mais l'amant.

L'écriture est une tentative futile de préserver ce qui disparaît à l'instant. Tout ce qui reste de ma mère, c'est ce dont je me souviens et ce que j'ai écrit pour elle et à propos d'elle. Finalement, c'est tout ce qui restera de [mon mari] et moi. L'écriture est parfois frivole et parfois sacrée, mais la mémoire est l'une de mes muses les plus fortes. Je la sert avec mes mots. Tant que les gens lisent, ceux que nous aimons survivent aussi évanesment. Comme nous, les écrivains, disons avec le travail de notre vie, rappelez-vous. Souviens-toi de nous. Souviens-toi de moi.

Parfois, quand un personnage d'un roman est difficile pour moi d'entrer, je poursuive quelque chose en moi ou dans ma propre vie en tant que porte dans l'esprit et les émotions de ce personnage.

Nous devons briller d'espoir, des vitraux qui façonnent la lumière en icônes, brillent comme des lanternes portées avant une procession. Qui peut porter espoir dans le monde sauf nous.

L'espoir dort dans nos os comme un ours en attendant que le printemps se lève et marche.

Le travail du monde est commun en tant que boue.

L'art de la fiction est celui de la séduction constante. Vous devez persuader le lecteur à la page 1 pour commencer à lire - à la page 50, ou page 150 et oui, à la page 850.

Ne doutez jamais que vous puissiez changer l'histoire. Tu as déjà.

Quand elle l'embrassa, il a fondu comme un morceau de chocolat au lait.

Nous vivons dans une soupe médiatique et sommes constamment programmés ou combattre cette programmation. Ainsi, tout récit véridique d'une vie, chaque partie d'une vie, concerne la société ainsi qu'un individu.

Je pleure en gris, gris comme le vent gigogne les nuances de saignement du crépuscule, du moulet, des cuirassés, de la peinture industrielle.

Les connexions sont établies lentement, parfois elles poussent sous terre.

La volonté d'être totalement rationnelle est la volonté d'être fabriquée en verre et en acier: et pour en utiliser les autres comme s'ils étaient en verre et en acier.

Vivez comme si vous vous aimez, et cela peut arriver.

Je ne m'excuse pas d'être sexuellement aventureux. Pourquoi pas? C'était souvent amusant. Quand ce n'était pas le cas - je n'ai pas continué ce qui n'était pas agréable.

Si vous voulez être écouté, vous devriez mettre du temps à écouter.

Je ne savais pas toujours que je serais écrivain. Jusqu'à ce que j'avais ma propre chambre, je n'ai pas du tout écrit - pas plus que tout autre enfant qui a lu beaucoup de livres. J'ai commencé à écrire de la fiction et de la poésie quand j'ai eu une pièce qui était vraiment la mienne avec une porte qui a fermé et une certaine mesure, aussi fragile, d'intimité.

Les portes sont sacrées pour les femmes car nous sommes les portes de la vie et nous devons choisir ce qui arrive et ce qui sort.

La classe dirigeante n'est pas insatisfaite: ils sont en bonne santé, bien nourris, vivent dans la beauté, profitent de leur propre importance: des cannibales amusants.

Je suis un écrivain motivé. Je me sens coupable si je n'écris pas, pas auto-indulgent si je le fais.

Mon idée de l'enfer est d'être à nouveau jeune.

L'histoire est un jeu joué à l'envers seulement.

J'ai dit, j'aime ma vie. Si je le rend pour le rendre, s'ils le mettent de moi, laissez-moi seulement sentir que j'ai gaspillé, laissez Menot sentir que j'ai oublié d'aimer quiconque voulait aimer, que j'ai oublié ce que je tenais entre mes mains, que j'ai oublié d'en faire Petite-pièce du travail qui voulait passer.

Je ne pense pas que les écrivains changent plus le passé que les autres, sauf dans la mesure où nous pouvons exploiter nos vies et changer les choses pour une utilisation fictive.

Nous ne pouvons que savoir ce que nous pouvons vraiment imaginer. Enfin, ce que nous voyons vient de nous-mêmes.

Avec mes poèmes, j'ai finalement gagné même ma mère. La plus longue courtise de ma vie.

Ses oeuvres

Ses derniers livres