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Marguerite de Valois

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Marguerite de Valois est le nom donné à plusieurs princesses françaises issues de différentes branches (« capétiens directs » et « Valois ») de la dynastie capétienne : Marguerite de Valois (1295-1342), fille de Charles de Valois (1270-1325), comte de Valois, et de Marguerite d'Anjou (1273-1299) ; mariée en 1310 à Guy Ier de Blois-Châtillon, comte de Blois, mère de Louis Ier de Blois-Châtillon, comte de Blois et de Dunois, et de Charles de Blois, duc de Bretagne ; Marguerite de Valois (1407-ap. 1448), fille illégitime du roi de France Charles VI et d'Odette de Champdivers.Dans les cas suivants, les princesses ont également droit à la dénomination « de France » : Marguerite de Valois-Angoulême (1492-1549), sœur de François Ier, femme de lettres, plus connue sous le nom de Marguerite de Navarre ; Marguerite de France ou « Marguerite de Valois » (1523-1574), fille du roi de France François Ier et de Claude de France, mariée en 1559 à Emmanuel-Philibert de Savoie ; Marguerite de France (1553-1615), dite dans les siècles suivants « Marguerite de Valois » ou « la reine Margot », duchesse de Valois, fille du roi de France Henri II et de Catherine de Médicis ; elle épouse en 1572 le roi de Navarre, Henri, futur Henri IV (Henri III est son frère et sera le dernier des Valois à régner en France) ; son mariage avec Henri de Navarre est annulé en 1599.

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Compte non officiel

Poésies

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    Marguerite de Valois

    @margueriteDeValois

    Nos deux corps sont en toi Nos deux corps sont en toi, Je le sais plus que d'ombre. Nos amis sont à toi, Je ne sais que de nombre. Et puisque tu es tout Et que je ne suis rien, Je n'ai rien ne t'ayant Ou j'ai tout, au contraire, Avoir et tout et tien, Comment se peut-il faire ?… C'est que j'ai tous les maux Et je n'ai point de biens. Je vis par et pour toi Ainsi que pour moi-même. Tu vis par et pour moi Ainsi que pour toi-même. Le soleil de mes yeux, Si je n'ai ta lumière, Une aveugle nuée Ennuie ma paupière. Comme une pluie de pleurs Découle de mes yeux, Les éclairs de l'amour, Les éclats de la foudre Entrefendent mes nuits Et m'écrasent en poudre. Quand j'entonne les cris, Lors, j'étonne les cieux.

    en cours de vérification

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