Devenu lord Astor, Geoffrey est en quête de respectabilité. Puisque l'ancien vicomte a laissé ses trois filles dans le dénuement, il propose d'épouser l'une d'entre elles. Peu importe laquelle, du moment qu'elle est bien élevée. Pour la gaudriole, il a sa maîtresse attitrée. Et c'est ainsi qu'il convole avec la toute jeune Arabella, qui a beaucoup de complexes et fort peu d'exigences. Geoffrey est satisfait. Sa vie conjugale sera un long fleuve tranquille. 
Mais le jour où Arabella apprend son infidélité, Geoffrey découvre que sa docile petite épouse est finalement une femme de caractère...

Quand Arabella s'entête

Joséphine n'a pas pipé mot quand son père lui a fièrement annoncé qu'il avait arrangé son mariage avec le duc de Mitford. Comment refuser un si beau parti ? Mais, lorsqu'elle apprend que son fiancé est un bellâtre pétri d'arrogance qui passe son temps à courtiser les femmes, elle s'affole. La veille de leur rencontre officielle, elle s'enfuit du domaine familial, et les ennuis commencent. Agressée dans une auberge, elle doit son salut à un certain M. Paul Villiers qui, malgré son physique ordinaire, a une âme chevaleresque. Joséphine l'entraîne dans une série de catastrophes, sans se douter que son bon Samaritain ne lui a peut-être pas dit toute la vérité...

Miss Catastrophe

Cette année, Noël enchante Colin Handrich, qui participe aux festivités chez les Westcott. Lui aussi aimerait fonder une famille unie et joyeuse. D'ailleurs, la maisonnée ne manque pas de ravissantes débutantes qui convoitent ce jeune célibataire riche et titré. Or Colin n'a d'yeux que pour l'exquise lady Overfield, dont la beauté sereine le trouble bien plus que l'exubérance de ces oies blanches. Pour lui, Elizabeth incarne l'idéal féminin. Hélas, neuf années les séparent. Un obstacle insurmontable dans la haute société londonienne de l'époque. À moins que l'amour et la passion ne soient plus forts que la raison.

La saga des Westcott Tome 5

Harcelée par son tuteur, Fleur Bradshaw s'est réfugiée dans les bas-fonds de Londres. Affamée, désespérée, elle s'offre un soir à un inconnu défiguré par une cicatrice en échange d'un repas et de quelques pièces. La chance semble enfin lui sourire lorsqu'elle est engagée comme gouvernante chez le duc de Ridgeway. À sa grande stupeur, son employeur n'est autre que le sinistre balafré qui a pris sa virginité...

La perle cachée

C'est un coup de tonnerre qui vient d'ébranler la famille Westcott : feu le comte était bigame, ce qui annule son mariage officiel. Et Anna, sa fille aînée qui végétait dans un orphelinat et que tout le monde prenait pour une obscure bâtarde, devient lady Anastasia Wescott, l'unique héritière d'une fortune colossale !Évidemment, elle n'est pas taillée pour le rôle. Il faut l'aider, décide Avery, duc de Netherby dont la légendaire froideur va très vite fondre lorsqu'il entreprend de transformer Anna...

Celui qui m'aimera (Westcott, #1)

Au domaine de Penderris, on soigne les corps et les âmes blessés. C'est ici qu'on accueille les valeureux officiers rescapés des guerres napoléoniennes. Et si lord Trentham, récemment anobli pour ses faits d'armes, a la chance d'être valide, son traumatisme n'en est pas moins profond. Désormais, il a un titre à transmettre, et doit donc se marier. Or quelle femme voudrait de lui alors qu'il se déteste lui-même ? Peut-être cette jeune veuve, lady Muir. Elle aussi a eu son lot de souffrances, mais c'est une lady raffinée, tandis que lui n'est qu'un rustre. Et il a beau être fou d'elle, un monde les sépare.

Le club des survivants (Tome 1) - Une demande en mariage

Alors qu'elle se rend à Londres pour ses débuts dans le monde, lady Angeline Dudley est accostée par un rustre, dans la salle commune d'une auberge. Heureusement, un gentleman vole à sa rescousse. Il s'agit du comte de Heyward. Beau, viril, galant, il incarne l'homme parfait, et il n'en faut pas plus pour que la délicieuse Angeline voie en lui son futur époux. Un baiser au clair de lune enflamme ses espoirs... Pourtant, quand le comte demande sa main, Angeline se rend compte qu'il agit uniquement par devoir, parce qu'il estime l'avoir compromise. D'amour, il n'est pas question. Désespérée, elle décide de le séduire comme le ferait une maîtresse...

La maîtresse cachée

Blessé à la bataille de Waterloo, Alleyne Bedwyn reprend conscience dans un bordel de Bruxelles, incapable de se rappeler qui il est. Il tombe sous le charme de celle à qui il doit la vie, Rachel, une jeune Anglaise en perdition recueillie par quatre prostituées au grand coeur. Or celles-ci viennent de se faire dérober toutes leurs économies. Pour leur venir en aide, Rachel est prête à utiliser sa fortune personnelle. Seul souci : son oncle ne la lui remettra que si elle se marie. Alleyne lui propose donc de se faire passer pour son époux. Et les voici en route pour Londres, accompagnés de quatre belles de nuit déguisées en dames du monde...

La saga des Bedwyn Tome 5

Je ne sais pas ce qu'est la solitude ", a-t-elle dit." Si ce n'est pas littéralement solitaire, est-ce la peur de la solitude, d'être seul avec soi? Je ne ressens pas une telle peur. J'aime être seule. "" Que craignez-vous alors? ", Lui demanda-t-il. Elle a regardé brièvement le voir et a souri, une expression fragile qui parlait de lui-même avant de trouver des mots." Ne me retrouvant plus.

Et il sut à ce moment-là que le monde de l'amour ne mourrait jamais, qu'il ne disparaîtrait jamais complètement. Le temps viendrait peut-être où il rencontrerait et épouserait quelqu'un d'autre. Il pourrait même être raisonnablement heureux. Mais il y aurait toujours une place précieuse et profonde dans son cœur qui appartiendrait à son premier véritable amour.

Cette fois, son cœur ne se briserait pas, même si cela ferait mal et blesserait pendant longtemps. Peut-être pour le reste de sa vie. Mais ça ne se briserait pas. Elle avait la force de continuer seule.

Le vrai sens des choses se trouve au fond et le vrai sens des choses est toujours belle car c'est simplement l'amour.

A-t-elle déjà ressenti de la nostalgie pour l'un de ses rêves de filles? Mais la vie était composée d'une succession de rêves, quelques-unes à réaliser, la plupart pour être mis de côté au fil du temps, un ou deux pour persister toute une vie. C'était savoir quand abandonner un rêve, peut-être, qui comptait et distinguait les gens qui réussissent dans la vie des personnes tristes et aigries qui ne sont jamais passées de la première des grandes déceptions de la vie. Ou des rêveurs aérés qui n'ont jamais vraiment vécu la vie.

Tout est artifice dans mon monde, Constantine. Même moi. Spécialement moi. Il m'a appris à être une duchesse, à être une forteresse imprenable, à être la gardienne de mon propre cœur, mais il a admis qu'il ne pouvait pas m'apprendre comment ni quand permettre que la forteresse soit percée ou que mon cœur soit ouvert. Cela arriverait simplement, a-t-il dit. il a promis que ce serait le cas, en fait. Mais comment l'amour peut-il me trouver, même en supposant qu'il cherche ?

Je suis libre, vous voyez, "dit-elle," à aimer ou à retenir l'amour. L'amour et la dépendance n'ont plus besoin d'être la même chose pour moi. Je suis libre d'aimer. C'est pourquoi je t'aime et c'est comme ça que je t'aime. Si vous êtes venu ici, Kit, parce que vous pensez que vous me devez quelque chose, parce que vous croyez que je pourrais s'effondrer sans votre protection, alors repartez avec ma bénédiction et trouve le bonheur avec quelqu'un d'autre. "" Je t'aime ", a-t-il dit à nouveau .

Tout le monde a-t-il fait les bévues les plus horribles à intervalles régulièrement tout au long de sa vie et vivait pour les regretter par la suite? La vie de chacun était-elle remplie de mélange confus et contradictoire de culpabilité et d'innocence, de haine et d'amour, d'inquiétude et d'inclinaison, et un certain nombre d'autres paires d'opposés polaires? Ou étaient la plupart des gens une chose ou l'autre - bonne ou mauvaise, gaie ou entrejambe, généreuse ou avare, etc.

Parfois, il semble que l'amour ne soit pas suffisant, n'est-ce pas?

Je peux être blessée, dit-elle, seulement par des gens que je respecte.

Il souhaitait que quelqu'un au cours de l'histoire avait pensé à frapper cette parole et toutes ses dérivés de la langue anglaise - heureuse, plus heureuse, plus heureuse, le bonheur. Qu'est-ce que le diable les mots signifiaient vraiment de toute façon? Pourquoi pas seulement le mot plaisir, ce qui était bien plus ... eh bien, agréable.

C'était étrange de voir comment le cœur s'accrochait à l'espoir même lorsqu'il n'y avait pas de base raisonnable, a révélé Morgan. Et comment la vie s'est déroulée.

Il y a quelque chose infiniment mieux que heureux. Il y a du bonheur. Le bonheur est une chose vivante et dynamique, Eve, et doit être travaillée à chaque instant pour le reste de nos vies. C'est une perspective beaucoup plus excitante que cette idée statique idiote d'un bonheur. N'êtes-vous pas d'accord? "- Aidan Bedwyn

Mais seule une personne dans les profondeurs du désespoir a négligé de regarder au-delà de l'hiver vers le printemps qui a inévitablement suivi, ramenant la couleur, la vie et l'espoir.

L'amour n'avait pas à avoir de sens. Cela n'avait pas à être digne. Il n'a pas eu à gagner. Il n'avait pas à courtiser. C'était simplement.

J'ai toujours été un spectateur de vie, vous savez, jamais participant. Jamais. Mais maintenant je le suis. Aujourd'hui, je le suis et moi un impressionné et délirant. C'est l'aventure que j'ai demandé, l'aventure que j'ai, je vous serai à jamais reconnaissant.

J'imagine que l'image romantique de moi-même étant apaisée et inspirée par la musique et le doux arôme et les lumières vacillantes de bougies.

Après ton mariage, Crispin, dit-elle, mon cœur s'est brisé. Je ne le nierai pas. Mais je n'ai pas glissé dans une sorte de vie suspendue qui serait à jamais grise et vide de sens si tu ne me revenais pas d'une manière ou d'une autre. J'ai reconstitué les morceaux de mon cœur et j'ai continué à vivre. Je ne suis plus la femme que j'étais quand j'étais amoureuse de toi et que je m'attendais à t'épouser. Je ne suis plus la femme que j'étais quand j'ai appris que tu étais marié. Je suis la femme que je suis devenue au cours des cinq années qui ont suivi, et c'est une personne totalement différente. Je l'aime bien. Je souhaite continuer à vivre sa vie.

Depuis 1988, j'écris régulièrement. J'ai décidé il y a quelques années environ pour revenir à l'écriture d'un livre par an - une sorte de semi-retraite. Mais je n'ai jamais eu beaucoup de succès avec ce plan!

Je fais ce que j'aime et ce que j'ai toujours rêvé de faire dans la vie. J'écris des histoires d'amour et j'ai toujours eu un éditeur prêt à les publier. J'ai un public important et fidèle. J'ai fait des listes de best-sellers et remporté des prix. Que pourrait-on demander de plus?

J'ai des gens qui se présentent à moi: «Je suis votre publiciste; que puis-je faire pour vous?' Mais je n'ai jamais appris à utiliser un publiciste.

Je n'admire pas la grandeur qui n'a pas de substance.

Je suis un peu une personne tête dans le sable car les choses se produisent au-delà des murs de mon étude. Et je ne me sens pas particulièrement coupable à ce sujet. Je pense que mon travail principal est de produire les meilleures histoires que je suis capables d'écrire, et c'est ce que je me concentre. C'est sous mon contrôle.

Je souhaite ", a-t-il dit," j'avais su à dix-huit ce que je sais maintenant - qu'il y a des choses sur lesquelles on ne compromet pas.

L'amour, j'ai découvert, ne juge pas. C'est juste.

La peur est une bête puissante, si elle est autorisée à la maîtrise.

Soudain, et pour la première fois, il était au centre de sa propre vie, le vivant et l'aimer.

Mon bonheur doit venir de moi-même ou c'est trop fragile pour être utile pour moi et trop de fardeau au profit de mes proches.

La vie, réalisa-t-elle, devenait si souvent un évitement déterminé et implacable de la douleur de ses propres personnes, des autres. Mais parfois, la douleur devait être reconnue et même touchée pour que l'on puisse y emménager et à travers elle et la passer. Ou bien en être détruit.

Votre sentiment de culpabilité persistera. Cela fera toujours partie de vous. Mais le partager, permettant aux gens de vous aimer quand même vous fera le monde du bien. Les secrets ont besoin d'un débouché s'ils ne veulent pas s'envenimer et devenir un fardeau insupportable.

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