Matt Duffie, né le 16 août 1990 à Christchurch (Nouvelle-Zélande), est un joueur de rugby à XIII et rugby à XV néo-zélandais. Il évolue aux postes d'arrière ou d'ailier.

Un débat sur les friandises peut devenir houleux.

Nous avons partagé les mêmes peurs que les enfants - les serpents et les clowns. Maintenant, nous avons également plus de peurs pour adultes, comme les critiques de télévision.

Lorsque vous êtes un enfant, vous ne regardez pas de film une fois. Vous le regardez 10, 20 fois.

Spielberg tire avec une caméra. Les Coens, et je pense que c'est vrai, peut-être rejeté un coup sur «No Country for Old Men». C'est quelque chose que vous voulez aspirer, car rien n'est hors de propos. Tout est nécessaire.

Nous avons décidé vers la quatrième ou la cinquième année que nous allions aller à l'école de cinéma.

C'est quelque chose que Stephen King a toujours dans ses œuvres. Il y a un méchant humain qui est tout aussi mauvais, sinon pire que le surnaturel.

Chaque écrivain que vous rencontrez, au moins à Hollywood, est misérable.

L'écriture pour nous est la plus difficile, mais aussi la plus importante. Vous voulez arriver à la partie suivante, à la production, mais peu importe à quel point c'est magnifiquement fait si quelque chose ne va pas avec l'arc de l'histoire.

Plus vous en révèlez et plus vous comprenez, moins il devient effrayant. C'est en quelque sorte le H.P. Approche Lovecraft, Clive Barker.

Nous n'avons jamais voulu être ironique; Nous ne voulions pas faire un clin d'œil au public.

Nous avons écrit pour Network Television, où vous devez vous soucier de faire ces pauses publicitaires, vous devez vous inquiéter environ 42 minutes et 10 secondes exactement.

C'est pourquoi je voulais dire «Stranger Things 2», parce que je ne veux pas y penser comme une émission de télévision. C'est peut-être une chose snob, mais c'est comme: «Oh, je veux que ce soit un film. Je veux que ce soit une suite de films.

Ma chose préférée est que les jeunes ont des fêtes «étrangères» et l'observent. J'espère que cela les amènera à revenir en arrière et à découvrir certains de ces films et gens qui nous ont tellement inspirés.

David Lynch est très ésotérique. Il n'explique rien.

À la maternelle, nous racontons des histoires avec nos jouets. Nous avons mis une minuterie pendant deux heures parce que nous savions que c'était la durée d'un film.

Nous avons toujours regardé les suites du film que nous avons admirées, et ils pivotent toujours et ils essaient toujours de nouvelles choses. Même si vous vous balancez et manquez, au moins vous essayez quelque chose de différent.

Netflix ne dépense pas de l'argent de marketing au niveau du cinéma - ils veulent que les gens trouvent ce genre de bouche à oreille.

Le premier film dont je suis tombé amoureux était «Batman» de Tim Burton, qui n'est pas Chicago, évidemment, c'est Gotham.

La télévision a enfreint les règles narratives.

Nous étions de tels nerds de films - je déteste dire cela, mais oui, nous écoutrions les bandes sonores de films.

Nous étions vraiment dans ce que Cliff Martinez a fait avec «Drive»; Nous étions dans ce que Trent Reznor et Atticus Ross faisaient avec David Fincher. Quand j'ai lu comment ils ont travaillé avec David Fincher, ils composent des heures et des heures de musique, puis il travaille et le comprend.

J'adore que le ministère de l'Énergie ait publié une déclaration publique selon laquelle ils ne sont pas mauvais.

La première chose que nos professeurs de scénarisation de Chapman nous ont appris, c'est que toutes les histoires partagent une chose en commun: il y a un protagoniste, et que le protagoniste a un objectif qu'il a du mal à atteindre. Luke Skywalker devient-il Luke Skywalker s'il ne se fait pas dans l'étoile de la mort, si son meilleur ami n'est pas transformé en carbonite?

Lorsque vous tirez au ralenti ou à une fréquence d'images élevée, il est vraiment difficile de se concentrer.

Freddy Krueger nous a fait peur. «Hellraiser» nous a vraiment gâchés.

Nous ne sommes pas allés dans des camps d'été parce que nous voulions juste faire des films et raconter des histoires.

J'ai regardé un peu «au-delà de l'arc-en-ciel noir».

Nous nous poussons et nous nous poussons à être meilleurs. Nous sommes assez proches pour que nous ne soyons pas timides les uns avec les autres. Nous présentons tant d'idées chaque jour - parfois bonnes, parfois mauvaises. Mais c'est formidable d'avoir un filet de sécurité où, espérons-le, entre nous deux, rien de vraiment mauvais ne passera jamais.

Si vous faites un film, à la minute où vous y mettez un monstre, cela devient un film d'horreur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Matt_Duffie

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