'If there is one dominant myth about the world, one huge mistake we all make . it is that we all go around assuming the world is much more of a planned place than it is.'

 From the industrial revolution and the rise of China, to urbanisation and the birth of bitcoin, Matt Ridley demolishes conventional assumptions that the great events and trends of our day are dictated by those on high. On the contrary, our most important achievements develop from the ground up. In this wide-ranging and erudite book, Matt Ridley brilliantly makes the case for evolution as the force that has shaped much of our culture, our minds, and that even now is shaping our future.

 As compelling as it is controversial, as authoritative as it is ambitious, Ridley's deeply thought-provoking book will change the way we think about the world and how it works.

The Evolution of Everything - How Small Changes Transform Our World

Perché gli esseri umani cooperano volontariamente? È per puro egoismo, o perché fanno parte della nostra natura anche istinti altruistici, che aspettano solo il momento più opportuno per manifestarsi?Gli individui sono incapaci di vivere gli uni senza gli altri. La storia dell'umanità è la storia di società sempre più complesse e cooperative: la collaborazione fra estranei si fa più intensa, la divisione del lavoro più ramificata, la capacità di ognuno di soddisfare le esigenze altrui sempre maggiore. In questa affascinante disamina delle origini evolutive della società e della cooperazione umana, Matt Ridley attinge a studi e ricerche di carattere biologico, come pure economico e politologico, per spiegare come l'interesse egoistico e la collaborazione reciproca non siano affatto incompatibili fra loro. Il nostro istinto alla cooperazione potrebbe essersi evoluto proprio sulla base di necessità individuali: scambiandoci favori che possono andare a nostro vantaggio oltre che a beneficio degli altri. Tramite una brillante rilettura delle più importanti scoperte della biologia, della psicologia e dell'antropologia degli ultimi cinquant'anni, "Le origini della virtù" esamina le principali caratteristiche e tendenze del comportamento umano, mettendo in evidenza come le nostre società siano il prodotto delle nostre predisposizioni evolutive. Come scrivono Gustavo Cevolani e Roberto Festa nella prefazione, « "Le origini della virtù" di Matt Ridley si è ormai affermato come un classico della divulgazione scientifica sulle basi evolutive delle società umane . una divulgazione di altissimo livello e ricca di idee suggestive ». Matt Ridley, laureatosi in zoologia a Oxford, ha lavorato per otto anni come giornalista nella redazione scientifica dell'Economist e poi come corrispondente da Washington per lo stesso settimanale. In seguito si è dedicato agli affari e alla scrittura, diventando uno dei più apprezzati e originali autori di opere di divulgazione scientifica, soprattutto su temi di biologia, genetica ed evoluzione. Fra i suoi libri, "Il gene agile. La nuova alleanza fra eredità e ambiente" (Adelphi 2005), "La regina rossa. Sesso ed evoluzione" (Instar Libri 2003) e "Genoma. L'autobiografia di una specie in 23 capitoli" (Instar Libri 2000). Il suo ultimo libro, "The Rational Optimist. How Prosperity Evolves" (Harper Collins 2010), è stato un successo mondiale. Il suo sito è www.rationaloptimist.com.

Le origini della virtù. Gli istinti umani e l'evoluzione della cooperazione

Acclaimed author Matt Ridley's thrilling follow-up to his bestseller Genome. Armed with the extraordinary new discoveries about our genes, Ridley turns his attention to the nature versus nurture debate to bring the first popular account of the roots of human behaviour.

 What makes us who we are?

 In February 2001 it was announced that the genome contains not 100, 000 genes as originally expected but only 30, 000. This startling revision led some scientists to conclude that there are simply not enough human genes to account for all the different ways people behave: we must be made by nurture, not nature.

 Matt Ridley argues that the emerging truth is far more interesting than this myth. Nurture depends on genes, too, and genes need nurture. Genes not only predetermine the broad structure of the brain; they also absorb formative experiences, react to social cues and even run memory. They are consequences as well as causes of the will.

 Published fifty years after the discovery of the double helix of DNA, Nature via Nurture chronicles a new revolution in our understanding of genes. Ridley recounts the hundred years' war between the partisans of nature and nurture to explain how this paradoxical creature, the human being, can be simultaneously free-willed and motivated by instinct and culture. Nature via Nurture is an enthralling, up-to-the-minute account of how genes build brains to absorb experience.

 Note that it has not been possible to include the same picture content that appeared in the original print version.

Nature via Nurture - Genes, experience and what makes us human

The Red Queen: Sex and the Evolution of Human Nature

Genome

The Origins Of Virtue

The Red Queen - Sex and the Evolution of Human Nature

C'est l'hypothèse de ce livre qu'il existe une nature humaine typique. C'est le but de ce livre de le chercher. Tout comme un chirurgien, un psychiatre peut faire toutes sortes d'hypothèses de base lorsqu'un patient allait sur le canapé. Il peut supposer que le patient sait ce que signifie aimer, envie, faire confiance, penser, parler, craindre, sourire, négocier, convoiter, rêver, se souvenir, chanter, se quereller, pour mensonge. Le «sourire» d'un babouin est une menace; Le sourire d'un homme est un signe de plaisir: c'est la nature humaine, le monde entier.

Je pense que si vous mettez des gens devant une énorme tentation où il est possible de saisir autant qu'ils le peuvent pour eux-mêmes, presque tout le monde le fera. La beauté du commerce est que cela se déshabille. Le gars derrière le comptoir dans la boutique d'angle n'a aucun intérêt à vous changer, car il veut que vous revoyiez.

Vous devez comprendre comment les êtres humains réunissent leur cerveau et permettent à leurs idées de combiner et de recombiner, de se rencontrer et, en fait, de s'accoupler. En d'autres termes, vous devez comprendre comment les idées ont des relations sexuelles.

J'ai commencé à vouloir être un naturaliste. Mon obsession dans ma jeunesse était avec l'observation des oiseaux. J'ai collecté des choses, j'ai passé beaucoup de temps à l'extérieur. Je ne réalisais que vaguement que la science était un peu plus qu'une histoire naturelle, mais à ce moment-là, j'étais accro.

J'essaye de bien faire les choses la première fois. Je peux réécrire une phrase quatre ou cinq fois, mais je vais rarement en arrière et tuer une page entière et la réécrire.

Parce qu'il s'agit d'un monopole, le gouvernement apporte inefficacité et stagnation à la plupart des choses qu'il gère ; les agences gouvernementales recherchent l'inflation de leurs budgets plutôt que le service de leurs clients ; des groupes de pression forment une alliance impie avec des agences pour soutirer plus d'argent aux contribuables pour leurs membres. Pourtant, malgré tout cela, la plupart des gens intelligents demandent toujours au gouvernement de gérer plus de choses et supposent que s'il le faisait, il serait en quelque sorte plus parfait, plus désintéressé, la prochaine fois.

C'est terrifiant la façon dont la biologie moléculaire est devenue de plus en plus montée en jargon. Mais je crois fermement que mon livre peut être lu par le profane intelligent. Je veux que tous ceux qui ont acheté une copie de «un bref historique du temps» pour acheter une copie du «génome».

Un changement cumulé de moins de 2°C d'ici la fin de ce siècle ne fera aucun mal net. Cela fera en fait du bien net [...] les précipitations augmenteront légèrement, les saisons de croissance s'allongeront, la calotte glaciaire du Groenland ne fondra que très lentement, etc.

Le carburant sur lequel la science fonctionne est l'ignorance. La science est comme une fournaise affamée qui doit être nourrie de journaux des forêts de l'ignorance qui nous entourent. Dans le processus, la compensation que nous appelons les connaissances se développe, mais plus elle se développe, plus son périmètre est long et plus l'ignorance est en vue.

Le gouvernement peut encourager l'innovation, mais principalement en faisant moins, pas en faisant plus.

Je suis parfaitement heureux de manger des aliments biologiques, mais si je choisis de payer plus pour cela, je ne me tape pas éthiquement dans le dos. Tout à fait l'inverse. Je pense que je suis en fait assez gourmand, car ce que je fais, c'est essentiellement dire: «Je veux que plus de terres soient consacrées à la culture de ma nourriture».

La vie est une course sisyphéenne, courez toujours plus vite vers une ligne d'arrivée qui n'est que le début de la prochaine course

Je me sentais trompé par la façon dont les adultes m'ont dit que l'avenir du monde était sombre quand je suis devenu adolescent dans les années 1970. L'explosion de la pollution était imparable. La famine mondiale était inévitable. Je veux vraiment que la prochaine génération, mes propres enfants, sache qu'il est possible que l'avenir soit meilleur que le passé.

Je sens très peu d'appétit pour les efforts verts pour persuader les gens d'accepter un niveau de vie gelé ou déclinant pour le bien de l'environnement. Les récessions nous rappellent que la retraite économique ou la stagnation est douloureuse, quel que soit l'objectif.

Le Mexican moyen vit plus longtemps maintenant que le Britannique moyen en 1955. La mortalité infantile est plus faible aujourd'hui au Népal qu'en Italie en 1951. La proportion de vietnamiens vivant avec moins de 2 $ par jour est passé de 90% à 30% dans vingt ans. Les riches sont devenus plus riches, mais les pauvres ont fait encore mieux.

La prospérité a apporté des complications. Nos vies sont plus occupées, plus rapides, plus stressantes. Ils sont nostalgiques pour un moment plus simple et plus lent.

Si les gens sont tous les mêmes en dessous, comment la société a-t-elle changé si vite et si radicalement? La vie est maintenant complètement différente de la façon dont elle était il y a 32 000 ans. Cela a changé comme celui d'aucune autre espèce n'a été. Qu'est-ce qui a fait cette différence?

Chaque minute, chaque seconde, le schéma des gènes exprimés dans votre cerveau change, souvent en réponse directe ou indirecte aux événements à l'extérieur du corps. Les gènes sont les mécanismes d'expérience.

Dans une étude massive et à long terme de 17 000 fonctionnaires, une conclusion presque incroyable est apparue: le statut de travail d'une personne était plus susceptible de prédire sa probabilité d'une crise cardiaque que l'obésité, le tabagisme ou l'hypertension artérielle.

Le commerce est 10 fois plus vieux que l'agriculture.

Le corps n'est qu'un véhicule d'évolution pour le gène

À quel point il serait plus généreux que, au lieu d'écrire des paraboles sur les blessures infantiles, les psychologues acceptaient que certaines différences entre les sexes ne le sont que, qu'ils sont dans la nature des bêtes, car chaque sexe a une tendance évoluée à développer cela moyen de réponse à l'expérience.

Ses oeuvres

Ses derniers livres