Max Cavalera, de son vrai nom Massimiliano Antônio Cavalera, est un chanteur et musicien brésilien de metal né le 4 août 1969 à Belo Horizonte, au Brésil.
Cavalera est surnommé par les journalistes le « Bob Marley du metal » en raison de sa coupe de cheveux style « Rastafari » et son originalité musicale avec Soulfly.
En 1984, lui et son frère Igor Cavalera fondent Sepultura, groupe emblématique du thrash metal brésilien mais qu'il quitte brutalement en 1996, à la suite de désaccords personnels, et fonde Soulfly l'année suivante. Dix ans après, Max et Igor fondent Cavalera Conspiracy.

J'aime toujours travailler avec mes pairs.

Les gens pensent que les «racines» étaient planifiées mais ce n'était pas le cas. Je venais de quelques idées et du nom.

Je n'aime vraiment pas écrire des paroles. C'est totalement une chose obligatoire. C'est comme les devoirs.

Lorsque Sepultura a joué en B, à cause de la batterie d'Iggor, en raison de la façon dont les chansons sont structurées, c'est très différent de Korn. Donc, cela ouvre un tout nouveau monde.

Nous avons tous de la violence en nous, mais nous essayons de le canaliser dans ce que nous faisons.

Je ne pense jamais à la retraite ou à quelque chose comme ça.

Je considère le métal comme vraiment connecté au tribalisme. Comme, même la façon dont nous nous habillons et la façon dont nous aimons la musique et faisons partie d'un mouvement, c'est comme si nous faisions partie d'une certaine tribu, et nous en sommes fiers.

Nous pouvons voyager en Sibérie, au Japon, en Chine, en Australie, en Amérique du Sud et même dans les petites villes de toute l'Amérique. C'est probablement ma chose préférée d'être dans un groupe.

J'ai aimé Soundgarden, Nirvana et Melvins. Je ne me souciais pas vraiment de Pearl Jam.

Le logo Soulfly a été inventé par un tatoueur, Leo Zuleta; Beaucoup de gens ne le savent pas.

J'essaie juste de faire le meilleur enregistrement que je puisse faire, sans aucun ego ni comparaisons du tout. Je ne m'assois jamais là et je me dis que ça va être un chef-d'œuvre ou quoi que ce soit!

Le chaos A.D 'concerne le chaos dans le monde. Le «territoire» concernait le conflit israélo-palestinien.

Nous avions l'habitude de plaisanter que nous avions plus peur de la police que du diable. Vous deviez avoir I.D. Avec vous tout le temps, sinon la police vous jette en prison. J'ai été lancé deux fois en prison pour ne pas avoir eu de DI, et je suis entré là-bas, c'était comme marcher dans les portes de l'enfer.

Je pense que «Roots» est un record courageux avec des trucs vraiment cool.

Mon instrument préféré est un Bemrimbau. Je joue ça tous les soirs.

J'adore vraiment 'Killchain' - il a ce groove, c'est le groove dont je parle toujours dans Death Metal et Black Metal, les gens essaient de le discréditer mais vous ne pouvez pas le nier.

Si vous le faites avec passion - il vous suffit d'avoir de la passion pour ce que vous faites - et parfois vous devez entrer dans ces territoires inconnus et voir ce qui se passe. Et n'ayez pas peur, n'ayez pas peur - allez-y.

Je ne sais pas si les gens le savent, mais j'ai en quelque sorte signé Fear Factory avec Roadrunner. J'ai vraiment dérangé Monte Conner à l'époque où j'ai entendu la démo qui avait «Big God» dessus.

La chaleur ne me dérange pas autant que les autres. Je viens du Brésil, où il fait chaud de toute façon.

Nous ne sommes pas un groupe américain ou un groupe européen. Nous sommes un groupe brésilien.

Nous avons toujours été fauchés et nous nous plaignons toujours de quelque chose et la musique est venue et nous a donné une raison. C'est pourquoi nous avons commencé Sépultura.

Je pense toujours que l'album «schizophrénie» comme étant comme la couverture des Scorpions «Blackout». Il a fait sortir ce gars de la vitre, mais il a un jacque simple. Je pense que c'est un peu «Blackout» mélangé à un peu de «Clockwork Orange».

Je pense que plus je vieillis, plus je reçois psycho.

Nous avons traité la «psychose» comme un travail d'amour depuis le début, de la sélection des riffs - j'ai passé comme un mois à faire des riffs pour mémoire.

J'ai toujours essayé de rester fidèle à moi-même, de faire des choses que j'aime, que je crois que j'ai raison. Que les gens l'aiment cool.

Les voix sont agressives non pas parce que je veux créer une voix diabolique ou quelque chose comme ça, mais parce que quand je chante des choses en colère, c'est la façon dont cela sort de moi.

Je pense que toute ma colère et ma haine sortent dans la musique; Cela devrait être ainsi que vous canalisez ces choses. C'est comme, je ne sors pas et je ne bat pas les gens, je le fais avec ma guitare.

La chimie est si difficile à expliquer. C'est là ou ce n'est pas le cas. Et je remarque avec les gens qu'il est parfois là et disparaît avec le temps.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Cavalera

Ses oeuvres