Max Plack hielt 1941 einen vielbeachteten Vortrag, der sich Sinn und Grenzen der exakten Wissenschaft nannte.

Auszug:

Wenn wir für den Aufbau der exakten Wissenschaft nach einem Ausgangspunkt suchen, der jeder Kritik gegenüber standhält, so müssen wir vor allem unsere Ansprüche erheblich herabstimmen. Wir dürfen nicht erwarten, daß es uns gelingen wird, mit einem Schlage, durch einen glücklichen Gedanken, auf ein allgemeingültiges Prinzip zu stoßen, aus dem wir mit exakten Methoden ein vollkommenes System der Wissenschaft entwickeln können, sondern wir müssen uns erst einmal damit begnügen, wenn wir nur überhaupt irgendwo eine Wahrheit ausfindig machen, an die sich keinerlei Skepsis heranwagen kann. Mit anderen Worten: wir müssen unser Augenmerk richten nicht auf das, was wir gerne wissen möchten, sondern zunächst einmal auf das, was wir sicherlich wissen.

Sinn und Grenzen der exakten Wissenschaft - Ein Vortrag von Max Planck

Diese erweiterte Neuauflage des Buchs "Wege zur physikalischen Erkenntnis" enthält neben der wissenschaftlichen Selbstbiographie folgende Vorträge:

Die Einheit des physikalischen Weltbildes.

Die Stellung der neueren Physik zur mechanischen Naturanschauung.

Neue Bahnen der physikalischen Erkenntnis.

Dynamische und statistische Gesetzmäßigkeit.

Das Prinzip der kleinsten Wirkung.

Verhältnis der Theorien zueinander.

Das Wesen des Lichts.

Die Entstehung und weitere Entwicklung der Quantentheorie.

Kausalgesetz und Willensfreiheit.

Vom Relativen zum Absoluten.

Physikalische Gesetzlichkeit.

Das Weltbild der neuen Physik.

Positivismus und reale Außenwelt.

Wissenschaft und Glaube.

Die Kausalität in der Natur.

Ursprung und Auswirkung wissenschaftlicher Ideen.

Die Physik im Kampf um die Weltanschauung.

Vom Wesen der Willensfreiheit.

Religion und Naturwissenschaft.

Determinismus oder Indeterminismus.

Sinn und Grenzen der exakten Wissenschaft.

Scheinprobleme der Wissenschaft.

Wissenschaftliche Selbstbiographie.

Wege zur Physikalischen Erkenntnis - Meine wissenschaftliche Selbstbiographie, Reden und Vorträge

Initiations à la physique

Penseur et philosophe, Max Planck a dominé par sa personnalité toute la science moderne.
Pour Albert Einstein, il a " doté le monde d'une grande idée créatrice " dont la découverte deviendrait " la base de toute la recherche en physique au XXe siècle ". C'est dans le domaine de la thermodynamique que fit irruption sa découverte révolutionnaire, en 1900, alors qu'il s'intéressait au rayonnement émis par les corps qu'on échauffe et aux propriétés de la matière avec laquelle ce rayonnement interagit: contrairement à ce que supposait la physique classique, les échanges d'énergie entre le rayonnement et la matière ne peuvent se faire que par paquets discontinus, les quanta.
Une hypothèse de quantification vis-à-vis de laquelle Planck lui-même exprima la plus extrême réticence mais qui signa l'acte de naissance de la physique quantique. Au terme de sa vie, à l'âge de quatre-vingt-sept ans, l'illustre savant revient une dernière fois sur son oeuvre et nous livre la démarche même de son esprit au travail. Un témoignage inestimable, suivi de quatre grandes conférences, qui furent aussi ses derniers écrits : " Les faux problèmes de la science ", " La signification et les limites de la science ", " Le concept de la causalité en physique " et, tel un testament spirituel, " Science et religion ".

Autobiographie scientifique

Leçons de thermodynamique - Le théorème de Nernst et l'hypothèse des quanta

Autobiographie scientifique et derniers écrits

Max Planck, né Max Karl Ernst Ludwig Planck le 23 avril 1858 à Kiel dans le duché de Schleswig et mort le 4 octobre 1947 à Göttingen en Allemagne (pendant l'occupation alliée), est un physicien allemand.
Max Planck est l'un des fondateurs de la mécanique quantique. De ses travaux, est conceptualisée l'ère de Planck, période de l'histoire de l'Univers au cours de laquelle les quatre interactions fondamentales sont unifiées.
Il est lauréat du prix Nobel de physique de 1918 pour ses travaux en théorie des quanta. Il a reçu la médaille Lorentz en 1927, et le prix Goethe en 1945.

Toute matière naît et n'existe qu'en vertu d'une force.

La plus haute juridiction est à la fin de sa propre conscience et de sa conviction - qui va pour vous et pour Einstein et tous les autres physiciens - et avant toute science, il y a d'abord une croyance.

Il ne peut jamais y avoir de véritable opposition entre la religion et la science; car l'un est le complément de l'autre.

L'homme qui ne peut pas imaginer occasionnellement des événements et des conditions d'existence qui sont contraires au principe causal car il le sait n'enrichira jamais sa science par l'ajout d'une nouvelle idée.

La science ne signifie pas un inactif reposant sur un corps de certaines connaissances; Cela signifie des efforts pour les efforts et progresser en permanence continuellement vers une fin que l'intuition poétique peut appréhender, mais que l'intellect ne peut jamais saisir pleinement.

Le travail scientifique ne s'arrêtera jamais, et ce serait terrible si c'était le cas. S'il n'y avait plus de problèmes, vous mettriez vos mains dans vos poches et votre tête sur un oreiller et ne fonctionnerait plus. Dans la science, le repos est la stagnation, le repos est la mort.

Une nouvelle vérité scientifique n'est généralement pas propagée de telle manière que les adversaires deviennent convaincus et rejettent leurs opinions précédentes. Non, les adversaires finissent par mourir, et la génération à venir est à nouveau familiarisée avec la vérité.

Une vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses opposants et en leur faisant voir la lumière, mais plutôt parce que ses opposants finissent par mourir et qu'une nouvelle génération grandit qui la connaît.

Il ne peut jamais y avoir de véritable opposition entre la religion et la science; car l'un est le complément de l'autre. Chaque personne sérieuse et réfléchie se rend compte, je pense, que l'élément religieux de sa nature doit être reconnu et cultivé si tous les pouvoirs de l'âme humaine doivent agir ensemble en parfait équilibre et harmonie. Et en effet, ce n'est pas par accident que les plus grands penseurs de tous âges étaient des âmes profondément religieuses

Il y a un monde réel indépendant de nos sens; Les lois de la nature n'ont pas été inventées par l'homme, mais forcées par le monde naturel. Ils sont l'expression d'un ordre mondial naturel.

Une expérience est une question que la science pose à la nature et une mesure est l'enregistrement de la réponse de la nature.

Quand j'ai commencé mes études physiques [à Munich en 1874] et que j'ai demandé des conseils à mon vénérable professeur Philipp von Jolly ... il m'a décrit la physique comme une science très développée, presque entièrement mûre ... peut-être dans l'un ou l'autre Nook là-bas Peut-être être une particule de poussière ou une petite bulle à examiner et à classer, mais le système dans son ensemble se tenait assez sécurisé, et la physique théorique a approché visiblement le degré de perfection qui, par exemple, la géométrie a déjà eu depuis des siècles.

Le scientifique pionnier doit avoir "une imagination intuitive vive, car les nouvelles idées ne sont pas générées par déduction, mais par imagination artistiquement créative".

L'hypothèse d'un déterminisme absolu est le fondement essentiel de chaque enquête scientifique.

La religion appartient au royaume qui est inviolable devant la loi de la causalité et donc fermée à la science.

Il y a peu importe en tant que tel - Mind est la matrice de toutes les choses.

Quiconque s'est sérieusement engagé dans un travail scientifique de quelque nature que ce soit se rend compte qu'au-dessus de l'entrée des portes du temple de la science sont écrits les mots : « Vous devez avoir la foi.

Un scientifique est heureux, non pas de se reposer sur ses acquis, mais d'acquérir régulièrement de nouvelles connaissances.

Chaque avancée de la connaissance nous apporte face à face avec le mystère de notre propre être.

La perspicacité doit précéder l'application.

Le monde entier que nous appréhendons à travers nos sens n'est plus qu'un petit fragment dans l'immensité de la nature.

Aucun fardeau n'est si lourd pour un homme à supporter comme une succession de jours heureux.

D'où viens moi et où aller moi? C'est la grande question insondable, la même pour chacun de nous. La science n'a pas de réponse.

Toute matière naît et n'existe qu'en vertu d'une force... Nous devons supposer derrière cette force l'existence d'un Esprit conscient et intelligent. Cet Esprit est la matrice de toute matière.

La science avance les funérailles par funérailles

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