'Sarah Cruddas is a gifted writer and Look Up is an inspired book. I am hopeful that we will never stop looking up.' Apollo 11 astronaut Michael Collins

 Most of us have never been to space. To date, of the more than 100 billion humans that have ever existed, fewer than 600 humans have ever left Earth. But the exploration of space is the most significant thing we will ever do as a species.

 Sarah Cruddas has been looking to the skies her entire life. Her childhood was spent staring at the Moon and hearing stories of the space race, and she worked in a fruit factory to fund her love of the subject. Her subsequent career studying astrophysics, and becoming a television host and space journalist has seen her report on space exploration and chase launches across the world. In Look Up Sarah explains why she has always been a passionate advocate for why space should matter - to everyone.

 From our ancestors who first painted patterns of the stars in caves, to the US and Soviet pioneers who first forged a path beyond our planet, Sarah Cruddas explores the stories and sacrifices that humankind has made to understand more about our place in the universe. And even today, when Moon walking and people in space suits seem less relevant to us than climate change and conflicts here on Earth, she shows how everything from medicine to mobile phones is affected by space technology, and how a new generation of entrepreneurs have kick-started a new story with the stars.

 This is an inspirational and enlightening introduction to the importance of space to everyone, and why we should all learn to Look Up.

Look Up - Our story with the stars

Effets du temps - Paysages et milieux de vie par Laurenz Berges, Michael Collins et Paola De Pietri : Les trois livresaccordéons d'artistes publiés séparément et en coffret à l'occasion de l'exposition commune « Witterungen » (« Effets du temps ») de Laurenz Berges (Dusseldorf), Michael Collins (Londres) et Paola De Pietri (Reggio Emilia) ont un caractère d'objet précieux. Ils présentent des séries de travaux photographiques qui traitent de la transformation progressive et imperceptible des paysages et de celle des milieux de vie dont elle s'accompagne. Ces trois attitudes réunies pour la première fois dans ce projet ont en commun le sens et le regard acéré pour les réalités temporelles autant qu'intemporelles - les faits, les transformations progressives. Les photographies à la composition extrêmement étudiée peuvent évoquer un certain malaise, issu de la contradiction entre urbanisation et paysage naturel et/ou l'impression ambivalente de territoires « inutilisés » !!

Tracing transformations

Dans l'Amérique en crise sociale, morale et économique de 2008, Michael Collins tisse avec empathie et virtuosité les liens qui unissent Norman Price, à Chicago, et Nate Feldman, au Canada. Deux familles qui apprendront à se connaître intimement sans jamais n'avoir rien su de leur passé commun.
« Le roman rappelle certaines farces et faux noir des premiers films des frères Coen. »
Mail on Sunday

Des souvenirs américains

A brilliant collection of eleven very funny, dark stories by a Booker Prize shortlisted author.
Michael Collins explores different aspects of the Irish character, and neatly satirises his country's current preoccupations. 
Feminism, alcohol, emigration and the Church - none escape the author's caustic and unforgiving eye.  As always with Collins, there are humour and horror in equal measure, love and betrayal mingled with defiance and laughter.
'Michael Collins's vision is breathtakingly black and his writing so sharp you could cut yourself on it' IRISH TIMES

The Feminists Go Swimming

Karl, écrivain à la quarantaine languissante, peine à finaliser l'" opus " dont il veut faire la pierre angulaire de son oeuvre. Les problèmes s'accumulent, et sa principale source de revenus, son travail de nègre pour l'auteur de thrillers Penny Fennimore, s'amenuise. Karl s'isole dans les quartiers les plus reculés de Chicago. Lorsque Fennimore réapparaît soudain avec une nouvelle proposition, Karl se met en quête d'inspiration. Mais jusqu'où poussera-t-il sa recherche de l'histoire criminelle parfaite ?

Minuit dans une vie parfaite

Enfant, franck cassidy a perdu ses parents dans un incendie dont on l'a rendu responsable.
 Parti vivre dans le new jersey, il apprend que l'oncle qui l'avait recueilli autrefois vient de mourir. en quête de sa part d'héritage, il se met en route avec sa famille en direction d'une ville perdue du michigan. arrivé sur place, tout se complique. son oncle aurait été victime d'un meurtre, le supposé assassin est dans le coma après une tentative de suicide, son cousin glisse dans la folie et tout ses souvenirs refoulés remontent à la surface...
 Qui est l'homme dans le coma ? qui a allumé l'incendie où ses parents ont péri ?
Magnifique roman d'une amérique secrète, michael collins signe ici son plus beau livre, dense, émouvant, où les personnages jouent avec leur vie, leur passé et leur avenir.

Les profanateurs

A New York, dans les féroces années 80 qui ont vu le triomphe de l'argent facile, des personnages comme Rosa Gruenfeld sont des dinosaures.
Malgré son grand âge, Rosa " La Rouge ", alias Mémé Lénine, continue à militer pour la révolution en distribuant des tracts plus ou moins périmés. Or voilà qu'on vient de l'abattre dans le hall de l'hôtel sordide où elle habite en compagnie de toute une faune exploitée par les marchands de sommeil. Pourquoi tuer une vielle dame inoffensive ? Tout le monde s'en moque, sauf sa petite-fille Lenny qui va engager le détective Dan Fortune.
Nous retrouvons le privé manchot de l'égorgeur, dans un des romans les plus attachants de Michael Collins qui dépeint une Amérique où la vérité a un goût aussi amer que le mensonge.

Rosa la rouge

L'égorgeur des canyons vient de tuer sa dixième victime. Da Fortune, le célèbre détective privé manchot, se lance sur les traces du serial Killer, mais son enquête le mène bientôt dans une direction imprévue. Le " monstre " à abattre n'est peut-être pas l'égorgeur. et pour l'atteindre, sans doute faut-il remuer les cendres d'un passé que tous préféreraient avoir oublié.

L'Egorgeur

Q: À quoi pensiez-vous lorsque vos collègues étaient là-bas pour faire l'histoire cosmique? R: Je me rappelle juste que chaque composant de ce vaisseau spatial a été fourni par le gars qui a soumis l'appel d'offres le moins cher.

Je crois vraiment que si les dirigeants politiques du monde pouvaient voir leur planète à une distance de, disons 100 000 miles, leurs perspectives seront fondamentalement modifiées. La frontière très importante serait invisible, selon laquelle un argument bruyant a soudainement fait taire. Le petit globe continuerait à tourner, ignorant sereinement ses subdivisions, présentant une façade unifiée qui crierait pour une compréhension unifiée, pour un traitement homogène. La Terre doit devenir telle qu'elle apparaît: bleu et blanc, pas capitaliste ou communiste; bleu et blanc, pas riche ou pauvre; bleu et blanc, pas envieux ou envié.

Je savais que j'étais seul d'une manière qu'aucune terre de terre n'a jamais été auparavant.

Il n'y a qu'une seule terre, minuscule et fragile, et il faut obtenir à 100 000 miles pour apprécier pleinement sa bonne fortune pour y vivre.

Tôt ce matin, j'ai signé mon mandat de mort.

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