Découvrez l’inspectrice Renée Ballard, la nouvelle héroïne de Michael Connelly
Reléguée au quart de nuit du commissariat d’Hollywood, l’inspectrice Renée Ballard se lance dans des enquêtes qu’elle n’a pas le droit de mener à leur terme. Le règlement l’oblige en effet à les confier aux inspecteurs de jour dès la fin de son service. Mais, une nuit, elle tombe sur deux affaires qu’elle refuse d’abandonner : le tabassage d’un prostitué laissé pour mort dans un parking, et le meurtre d’une jeune femme lors d’une fusillade dans un night-club.
En violation de toutes les règles et contre les désirs mêmes de son coéquipier, elle décide de travailler les deux dossiers de jour tout en honorant ses quarts de nuit. L’épuisement la gagne, ses démons la rattrapent et la hiérarchie s’acharne, mais Renée Ballard n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds.
Durée : 11H08
© Hieronymus, Inc., 2017 © Calmann-Lévy, 2019 (C) et (P) Audiolib, 2019

En attendant le jour

Un corps a été retrouvé dans une canalisation du barrage de Mulholland à Los Angeles. Pour les policiers sur place, pas de doute, il s’agit d’un camé, mort par overdose. Mais l’inspecteur Harry Bosch du LAPD (Los Angeles Police Department) n’est pas d’accord. Meadows, il l’a connu, vingt plus tôt, au Vietnam, quand ils faisaient l’un et l’autre partie de la compagnie chargée de « nettoyer » les tunnels creusés par l’armée vietcong. Des « rats de tunnel », qui s’enfonçaient dans les ténèbres, la peur au ventre, couteau et lampe à la main, pour tuer des soldats ennemis qui avaient leur âge. Premier roman publié par Michael Connelly, Les Égouts de Los Angeles est un coup de maître. C’est aussi l’acte de naissance de Hieronymus (Harry) Bosch, fils d’une prostituée assassinée, policier au sale caractère, alcoolique, en butte à sa hiérarchie et en guerre contre la débauche de la métropole californienne.

Les Égouts de Los Angeles (Harry Bosch, #1)

Tout bascule dans la tête de l'inspecteur Harry Bosch lorsqu'il découvre le cadavre de Billy Meadows dans une canalisation du barrage de Mulholland à Los Angeles. Cette fois en effet, il ne s'agit pas d'une énième victime de la dureté de la ville : Billy Meadows, c'est un ancien combattant de la guerre du Vietnam, un « nettoyeur » des tunnels creusés par l'Armée Nord Vietnamienne. Plus choquant encore, Harry le connaissait car lui aussi a dû s'enfoncer dans les ténèbres de ces tunnels et, couteau et lampe à la main, aller y tuer des soldats ennemis qui avaient son âge. Et maintenant, mission oblige, c'est tout cela qu'il va devoir revivre lorsque, les éléments d'enquête minutieusement décrits les uns après les autres, il apparaît clairement que c'est dans le dédale des ruelles et des égouts de la mégalopole qu'il va falloir retourner pour comprendre ce qui s'est passé et ce qui s'y trame encore. Et entre justice et vengeance, le choix n'est pas simple. Ce roman ouvre la série des Harry Bosch et a été couronné par l'Edgar du premier roman policier aux États-Unis et le prix Calibre 38 en France. Immédiatement salué par la critique, cet ouvrage est en effet très novateur en ce qu'il montre les dangers du métier de flic, le plus grave étant de passer de l'autre côté de la barrière à force de côtoyer l'horreur.

Les Égouts de Los Angeles

"Dans la tête d'un tueur de 16 ans", c'est l'article sur lequel travaille Jack McEvoy, journaliste au L.A Times. Article en forme de vengeance : sa hiérarchie veut le virer. Comprenant vite que le gamin est innocent, il s'acharne à le prouver. Ce qui n'est pas du goût de tout le monde... Manipulé, traqué, Jack devient le jouet d'une force fantôme, en apparence immatérielle - et toute-puissante.

L'Épouvantail

Né d'un père inconnu et d'une prostituée qui a fini assassinée, l'inspecteur Harry (Hieronymus) Bosch est obsédé par le souvenir des "rats de tunnels" avec lesquels il "nettoyait" jadis les galeries creusées par le Vietcong. Vingt ans après encore, seul le travail lui permet d'échapper à ses cauchemars. C'est dire si la découverte du corps d'un de ses anciens compagnons d'armes risque de le mettre à mal : Billy Meadows, c'est clair, a été liquidé, et ce meurtre est lié au pillage d'une banque organisé à partir des égouts de Los Angeles. L'affaire devient plus traumatisante lorsque, avec l'aide de la belle Eleanor Wish, Agent Spécial du FBI, il comprend I qu'à tenter d'en percer le mystère, il devra sûrement redescendre dans des souterrains où, la justice ressemblant beaucoup à la vengeance, la mort peut frapper à tout instant.

La veille de Noël, l'inspecteur Moore est trouvé sans vie dans un motel de Los Angeles. Arrivé sur les lieux, son collègue Harry Bosch se fait virer par ses patrons : c'est un suicide, point final. Furieux, Bosch enquête en douce et comprend que Moore était lié à un trafic de black ice, une drogue nouvelle qui fait des ravages en Californie. Plus troublant, dans la voiture de Moore il découvre un mot qui lui est clairement destiné. Entre les deux hommes, un étrange dialogue se noue, d'outre-tombe au début, jusqu'au jour où on décèle une mouche dans le corps d'un travailleur mexicain jeté à la décharge publique...

La glace noire

Né d'un père inconnu et d'une prostituée qui a fini assassinée, l'inspecteur Harry (Hieronymus) Bosch est obsédé par le souvenir des "rats de tunnels" avec lesquels il "nettoyait" jadis les galeries creusées par le Vietcong. Vingt ans après encore, seul le travail lui permet d'échapper à ses cauchemars. C'est dire si la découverte du corps d'un de ses anciens compagnons d'armes risque de le mettre à mal : Billy Meadows, c'est clair, a été liquidé, et ce meurtre est lié au pillage d'une banque organisé à partir des égouts de Los Angeles. L'affaire devient plus traumatisante lorsque, avec l'aide de la belle Eleanor Wish, Agent Spécial du FBI, il comprend qu'à tenter d'en percer le mystère, il devra sûrement redescendre dans des souterrains où, la justice ressemblant beaucoup à la vengeance, la mort peut frapper à tout instant.

Harry Bosch, policier à Los Angeles, enquête sur la mort par overdose d'un toxicomane. Suite à un appel anonyme, le corps a été retrouvé à l'intérieur d'une canalisation. Bosch reconnaît vite la victime, Billy Meadows. Jadis, il a combattu avec lui au Vietnam. Tous deux étaient des "rats de tunnel", chargés de "nettoyer" les galeries souterraines tenues par le Vietminh. Alors que la police s'apprêtait à classer l'affaire, l'inspecteur, convaincu qu'il s'agit d'un meurtre, va s'acharner à découvrir qui a tué son ancien compagnon. Bosch découvre que Meadows a participé au cambriolage d'une banque l'année précédente. Pour remonter la piste, il accepte de travailler avec un agent spécial du FBI, Eleanor D. Wish, dont le frère n'est jamais revenu du Vietnam. Ce premier roman qui entame l'excellente saga de Harry Bosch, est déjà typique de l'univers de Connelly. Un policier obstiné et rétif à la hiérarchie, une intrigue bien agencée où chaque détail a son importance, et cette fois en toile de fond, les séquelles de la Guerre du Vietnam et de ses sordides trafics. --Claude Mesplède

Michael Connelly, né le 21 juillet 1956, est l'un des principaux écrivains américains de romans policiers, relatant notamment les enquêtes de son héros récurrent Harry Bosch.

L'acte de lire une histoire est sacré, et les gens construisent des images et tout ça.

Vous savez ce que j'ai fait après avoir écrit mon premier roman? Je me tais et écrivai vingt-trois autres.

Peut-être que cela a quelque chose à voir avec le fait d'être journaliste depuis longtemps que je ne me tourne pas vers les journaux et la télévision, etc. pour l'inspiration la plupart du temps.

Toute ma réputation et ma pensée créative en tant que romancier sont vraiment enroulées autour de Harry Bosch, donc il est proche et cher.

À long terme, tous les torts sont redressés, chaque moins est égalisé avec un plus, les colonnes sont totalisées et les totaux sont corrects. Mais c'est à long terme. Nous devons vivre à court terme et les choses y sont souvent injustes. La compensation pour nous de l'univers fait que tous les comptes sortent même, mais ils grincent le bien ainsi que les méchants dans le processus.

Qu'est-ce que la jalousie mais le reflet de vos propres échecs?

Las Vegas était comme ça. Il y avait une attraction viscérale ici. La promesse audacieuse d'argent et de sexe. Mais le premier était une promesse brisée, un mirage, et le second était chargé de danger, de dépenses, de risque physique et mental. C'est là que le vrai jeu a eu lieu dans cette ville.

Les trois livres que j'ai écrits en Floride sur L.A. sont mes meilleures prises sur la physicalité de la ville, en ce qui concerne la description.

Nous recherchons tous l'ordre. Nous recherchons tous le contrôle.

J'aime les films. Les films m'ont influencé en tant qu'écrivain.

Quand j'étais à l'université, il y avait des soirées cinéma en dollars. Je suis allé voir «The Long Goodbye», qui était basé sur l'un des livres de Chandler mais qui était contemporain et se déroulant à Los Angeles en 1973. J'ai adoré le film, ce qui m'a motivé à lire le livre.

Au fond de mon cœur, j'ai toujours l'impression d'être un journaliste même si je n'ai pas travaillé pour un papier et que j'ai porté un laissez-passer de presse depuis 14 ans.

C'est ce que j'aime le plus dans l'écriture de la fiction sur le journalisme: les métaphores faciles!

Ce qui m'a amené à la table, c'est Raymond Chandler et, à une moindre mesure, Ross MacDonald et Dashiell Hammett. J'ai été essentiellement inspiré à vouloir écrire comme les écrivains classiques privés.

Lorsque j'ai vécu à L.A. à plein temps, j'ai souvent déménagé - quatorze quartiers différents en seize ans.

J'ai vendu 11 de mes livres à Hollywood. Il y a toutes sortes de mes livres sur les étagères à Hollywood parce que les scripts n'ont pas capturé les personnages.

Ingénieusement tracé et exécuté, imprimer la légende est un chef-d'œuvre épique de Craig McDonald. En commençant à se terminer, j'ai été rivé par cette histoire de caractère, d'histoire et d'intrigue.

Je ne manque jamais L.A. parce que j'y suis assez.

Lorsque vous êtes un détective sur le quart de minuit, vous n'avez pas de spécialité: vous roulez sur chaque fois qu'ils ont besoin d'un détective, que ce soit grand ou petit.

En tant que bassiste, il ne pourrait jamais vraiment être un sideman. Il a toujours été l'ancre. Il a conduit le rythme. même si c'était derrière le klaxon de Miles Davis.

J'ai traversé la frontière mexicaine et je suis allé à Tijuana plusieurs fois au fil des ans, mais je ne me suis jamais senti à l'aise là-bas.

Ce n'était pas une décision de devenir écrivain. Je voulais devenir écrivain de la fiction policière. J'étais très précis.

J'avais l'habitude de bande dans le coin supérieur de mon écran d'ordinateur, donc je ne pouvais pas voir quelle heure il était. J'aime l'idée que je suis juste avec les mots et que je ne sais pas ce qui se passe avec le monde, quand c'est le déjeuner ou le dîner.

Vous savez que vous allez vous brûler de temps en temps. Cela fait juste partie du jeu. Donc, quand cela se produit, vous devez vous ramasser, vous dépoussiérez et l'oubliez parce qu'ils sont sur le point de prendre le ballon à nouveau.

Dans le monde de la télévision, nous voyons beaucoup plus de puissance aller à l'écrivain. Je sens que c'est le médium d'un écrivain.

Toute mon écriture est amusante, et cela rend difficile de ralentir ou de s'éloigner.

J'avais vu Titus Welliver dans quelques spectacles et pensé qu'il avait des démons intérieurs dans ses représentations, tout comme Harry Bosch.

Vous savez ce que j'ai fait après avoir écrit mon premier roman? Je me tais et écrivai vingt-trois autres. (Le château)

Lorsque vous travaillez sur un roman, vous ne pensez jamais à combien il en coûterait pour tirer une de vos scènes. Mais c'est une énorme considération dans le cinéma et la télévision.

L.A. est une ville à long terme, et ceux qui font ce coup - vous pouvez le dire. Vous pouvez voir très clairement qui a réussi et qui ne l'a pas fait.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Connelly

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