The Miracle of the Cell provides compelling evidence that long before life emerged on our planet, the design of the carbon-based cell was foreshadowed in the order of nature, in the exquisite fitness of the laws of nature for this foundational unit of all life on Earth. Nowhere is this fitness more apparent than in the properties of the key atomic constituents of the cell. Each of the atoms of life-including carbon, hydrogen, oxygen, and nitrogen, as well as several metal elements-features a suite of unique properties fine-tuned to serve highly specific, indispensable roles in the cell. Moreover, some of these properties are specifically fit for essential roles in the cells of advanced aerobic organisms like ourselves.

The Miracle of the Cell

We associate light with the radiant beams that make the world visible to us. But the visible spectrum is only a tiny percentage of an electromagnetic spectrum that extends unimaginably far in both directions. And, as biologist Michael Denton carefully documents, that tiny band of visual light is crucial to life on Earth. In Children of Light, Denton elucidates the miraculous convergence of properties on the tiny band we call the visible spectrum that has allowed intelligent life to flourish on Earth. Follow the journey of light as it beams down from our Sun, through the protective blanket of our atmosphere, to the Earth. Once here, it powers photosynthesis and unlocks the oxygen needed for life. It allows the high-acuity vision that led us to civilization and technology. Light is just one more part of the epic story of our fine-tuned universe, fit for us to flourish here and come to understand it.

Children of Light

More than thirty years after his landmark book Evolution: A Theory in Crisis (1985), biologist Michael Denton revisits his earlier thesis about the inability of Darwinian evolution to explain the history of life. He argues that there remains "an irresistible consilience of evidence for rejecting Darwinian cumulative selection as the major driving force of evolution." From the origin of life to the origin of human language, the great divisions in the natural order are still as profound as ever, and they are still unsupported by the series of adaptive transitional forms predicted by Darwin. In addition, Denton makes a provocative new argument about the pervasiveness of non- adaptive order throughout biology, order that cannot be explained by the Darwinian mechanism.

Evolution: Still a Theory in Crisis

Dans un sens très réel, donc, le plaidoyer de la doctrine de la continuité [c'est-à-dire l'évolutionnisme] a toujours nécessité de se retirer de l'empirisme pur [c'est-à-dire de la logique une observation], et contrairement à ce qui est largement supposé par les biologistes évolutionnaires aujourd'hui, il a toujours été Les anti-évolutionnistes [c'est-à-dire créationnistes], pas les évolutionnistes, dans la communauté scientifique qui ont frappé rigoureusement les faits et adhéré à une approche plus strictement empirique ... c'est Darwin l'évolutionniste qui se retirait des faits.

En termes de conception biochimique de base ... Aucun système de vie ne peut être considéré comme primitif ou ancestral par rapport à tout autre système, et il n'y a pas non plus la moindre indice empirique d'une séquence évolutive parmi toutes les cellules incroyablement diverses de la Terre.

Est-il vraiment crédible que des processus aléatoires auraient pu construire une réalité ... qui excelle dans tous les sens quelque chose de produit par l'intelligence de l'homme?

En dernière analyse, le modèle hiérarchique ne ressemble en rien au témoin simple de l'évolution organique qui est généralement assumé. Il y a des facettes de la hiérarchie qui ne découlent pas naturellement de toute sorte de processus évolutif aléatoire non dirigé. Si la hiérarchie suggère un modèle de nature, c'est la typologie et non l'évolution. À quel point il serait plus facile de faire valoir le cas pour l'évolution si toutes les divisions de la nature étaient floues et indistinctes, si le systema naturelae était largement composé de classes qui se chevauchent indicatives de séquence et de continuité.

Nulle part Darwin n'a pu indiquer un cas de bonne foi de la sélection naturelle ayant réellement généré un changement évolutif dans la nature ...

La biologie moléculaire a montré que même le plus simple de tous les systèmes vivants sur la Terre aujourd'hui, les cellules bactériennes, sont des objets extrêmement complexes. Bien que les plus petites cellules bactériennes soient incroyablement petites, pesant moins de 10-12 gm, chacune est en fait une véritable usine micro-miniaturisée contenant des milliers de morceaux de machines moléculaires complexes, composés de cent million d'atomes, bien plus encore plus compliqué que n'importe quelle machine construite par l'homme et absolument sans parallèle dans le monde non vivant.

L'enseignement du paradigme évolutif est si puissant qu'une idée qui ressemble plus à un principe de l'astrologie médiévale qu'une théorie scientifique sérieuse du XXe siècle est devenue une réalité pour les biologistes évolutifs.

Faire de l'art est comme l'humour - très dépendant du moment.

Tout au long du siècle dernier, il a toujours existé une minorité importante de biologistes de premier ordre qui n'ont jamais pu se résoudre à accepter la validité des affirmations darwiniennes. En fait, le nombre de biologistes qui a exprimé un certain degré de désillusion est pratiquement sans fin.

Compte tenu de la façon dont la soupe prébiotique est mentionnée dans de nombreuses discussions sur l'origine de la vie en tant que réalité déjà établie, il s'agit d'un choc de réaliser qu'il n'y a absolument aucune preuve positive de son existence.

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