The idea of evolution : it fascinates some of us, disturbs others, and leaves only a very few people indifférent. In a major new interprétation of evolutionary theory, Michael Ruse pinpoints thé common source of this attraction and discomfort. A renowned writer on evolutionary theory and its history, Ruse has long been sensitive to the fact that many people-and not simply religions enthusiasts-find something deeply troubling about much of what passes for science in evolutionary circles. What causes this tension, he finds in his search of evolutionism's 250-year history, is the intimate relationship between evolution and the secular ideology of progress. Ubiquitous in Darwin's time, the idea of an unceasing improvement in life insinuated its way into evolutionary theory from the first. In interviews with today's major figures in evolutionary biology-including Stephen Jay Gould, Edward O Wilson, Ernst Mayr, and John Maynard Smith-and in an intimate look at thé discoveries and advances in the history and philosophy of science, Ruse finds this belief just as prevalent today however it might be denied or obscured. His book traces thé délicate line between those who argue that science is and must be objective and those who deem science a "social construction" in the fashion of religion or the rest of culture. It offers an unparalleled account of evolutionary theory, from popular books to museums to the most complex theorizing, at a time when its status as science is under greater scrutiny than ever before.

Monad to Man - The concept of progress in evolutionary biology

Michael Escott Ruse, né le 21 juin 1940 à Birmingham, en Angleterre, est un philosophe des sciences canadien, spécialisé sur la théorie de l'évolution et sur les rapports entre sciences biologiques et religion.

L'évolution est une religion. Cela était vrai pour l'évolution au début, et c'est encore vrai pour l'évolution aujourd'hui.

Leur traitement [les nouveaux athées] du point de vue religieux est pathétique au point de non-être. Richard Dawkins dans l'illusion de Dieu échouerait à tout cours d'introduction à la philosophie ou à la religion. Fièrement, il critique que il ne sait rien.

Nous qui chérissons la science devons être prudents à distinguer lorsque nous faisons de la science et lorsque nous en extrapolons

En particulier, je soutiens que dans l'évolution et la création, nous avons des réponses religieuses rivales à une crise d'histoires de foi rivales d'origine, de jugements rivaux sur le sens de la vie humaine, des ensembles rivaux de dictets moraux, et surtout ce que les théologiens appellent des éschatologies rivales -Pécitures de l'avenir et de ce qui nous attend pour l'humanité.

En d'autres termes, la science nous dit qu'Adam et Eve sont des fictions. Que Saint Paul ou l'oncle Tom Cobley et tous pensaient autrement n'est pas pertinent. Ils avaient tord.

L'évolution est promue par ses pratiquants comme plus que la simple science. L'évolution est promulguée comme une idéologie, une religion laïque - une alternative à part entière au christianisme, avec sens et moralité. Je suis un ardent évolutionniste et un ex-chrétien, mais je dois admettre que dans cette seule plainte - ... et M. Gish n'est que l'un des nombreux à le faire - les littéralistes ont tout à fait raison. L'évolution est une religion. Cela était vrai pour l'évolution au début, et c'est vrai pour l'évolution aujourd'hui.

La moralité est une adaptation biologique pas moins que les mains, les pieds et les dents ... considérés comme un ensemble rationnellement justifiable de revendications sur un quelque chose objectif, l'éthique est illusoire. J'apprécie que lorsque quelqu'un dit: «Aimez votre voisin comme vous», ils pensent qu'ils se réfèrent au-delà de lui-même ... néanmoins ... une telle référence est vraiment sans fondation. La moralité n'est qu'une aide à la survie et à la reproduction ... et tout sens plus profond est illusoire ...

... Je veux vraiment croire. Je trouve les friandises offertes par le christianisme extrêmement attirantes. Mais je suis damné (encore !) si je vais vendre mon droit d'aînesse évolutif pour un plat de potage religieux.

L'illusion de Dieu me rend gêné d'être athée, et les McGraths montrent pourquoi.

Être un naturaliste philosophique ne signifie pas que l'on pense que la science peut fournir toutes les réponses. C'est le scientisme et c'est faux. Je ne pense pas qu'un milliard de seaux de science puissent parler des problèmes soulevés par le Tea Party. Être un naturaliste philosophique ne signifie pas que l'on pense que les seules vérités sont celles de la science. Je pense que la réclamation qui vient d'être faite dans la dernière phrase est vraie, mais je ne pense pas que ce soit une revendication de science. Cela signifie que vous utilisez la science où vous pouvez et que vous respectez et essayez d'imiter ses normes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Ruse

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