Paris

Il dottor Michael Wolf è una delle figure più affascinanti ed enigmatiche della moderna Ufologia: il Majestic 12, la struttura che gestisce nella segretezza totale la questione ufo/alieni da oltre 65 anni e per la quale ha lavorato, ha sequestrato il suo secondo manoscritto. Ciò che resta della sua eredità intellettuale e della sua avventura umana è custodito nello strabiliante The Catchers of Heaven, il libro cult per eccellenza, finalmente ora nella nuova edizione italiana, la sola esistente al mondo. Wolf divulga sotto forma di narrativa i segreti a lui noti, l'intero patrimonio di informazioni raccolte in qualità di "interfaccia" con le Entità Biologiche Extraterrestri, in violazione della segretezza che lo avrebbe dovuto vincolare sino alla fine dei suoi giorni. La via che ha potuto percorrere nel suo involucro fisico umano-terrestre, per liberarsi la coscienza, schiacciata dai macigni di un lavoro oscuro e insopportabile, come lui stesso ha spiegato: « L'opera descrive i vicini nell'universo venuti a visitare l'uomo, i più vicini trovandosi a trenta, trentadue anni luce di distanza; e perché alcuni di loro abbiano scelto di venire su questo pianeta ».

I guardiani del cielo

Une chose que je peux dire dès le départ, c'est que la création d'un grand éditorial est un énorme défi, et vous ne pouvez pas vous empêcher de passer par le processus et de ne pas apprécier la valeur de cette compétence et à quel point j'admire les personnes qui font cela à chaque fois jour.

Je travaillais au «New York Times», en ruinant chaque seconde de ma vie, en pensant comment j'allais jamais sortir d'ici, et en pensant que l'on ne pouvait le faire que la façon dont les gens les ont toujours fait. J'avais besoin d'un scoop, et je sortirais et je rêvais en arrivant sur des incendies ou le ciel tombant devant moi ou quoi que ce soit.

Je pense que l'un des meilleurs emplois de l'univers doit être le rédacteur en chef de «The New Yorker», mais il existe un certain nombre de magazines que je serais ravi d'être le rédacteur en chef de. Ils seraient «câblés», «le New Yorker» et probablement, «Vogue».

Tout le monde fait la promotion de quelque chose.

Je pense qu'il y a une réelle valeur dans un point de vue éditorial et dans la conservation éditoriale, et dans la mise en place d'un récit entier autour d'un ensemble de sujets est important.

L'une des choses d'avoir travaillé à certains endroits est que cela devient très difficile après avoir cessé de travailler dessus pour continuer une relation, pour continuer même à les lire. Je dois donc avouer que je ne lis plus le magazine «New York».

Tout le monde est l'instrument de quelqu'un d'autre.

Bien que nous puissions tous accéder aux articles et aux informations dans tant d'endroits maintenant - à travers les blogs, dans les journaux, sur vidéo - il y a quelque chose de très puissant à mettre tout en place dans un format édité dans un seul numéro qui a un récit qui s'étend sur les thèmes.

Si vous tweetez pour moi, je tweeterai pour vous.

Qu'aurais-je pu apprendre sauf la chose la plus importante, c'est-à-dire que je ne voulais pas travailler au «New York Times»? Au-delà de cela, j'ai appris comment fonctionne un journal.

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