Michal Rovner, née le 7 novembre 1957 à Tel Aviv en Israël, est une artiste contemporaine israélienne.

Il y a ce progrès, un progrès incroyable de la technologie, tout est compris, tout est connu, tout est systématique et sous contrôle, la communication se passe, mais il y a toujours une si grande partie de la vie que nous n'avons absolument aucun contrôle. C'est complètement chaotique. Quelque chose pourrait arriver du jour au lendemain.

Je me couche généralement tôt pour lire. J'ai lu et je dis toujours que je ne suis pas un «artiste bohème»; J'ai besoin de lire pendant une ou deux heures le soir, et le calme, donc je ne traîne pas beaucoup.

Les animaux sont aussi ceux qui gardent les tombes, et ce sont eux qui communiquent entre les morts et les vivants.

Nous progressons sur de nombreux fronts, mais sur l'aspect de votre responsabilité - juste les bases de la façon dont nous nous traitons - avant d'apprendre les mathématiques et les ordinateurs et les sciences à l'école, et les langues et tout cela, la base de la base de la base de la base de la base de la base de la base de la base de la base de la base de la base de It: Qu'est-ce que c'est un humain? Quelle responsabilité avez-vous?

Nous voyons tout, nous voyons ce qui se passe en Syrie, nous voyons ce qui se passe avec les réfugiés. Que peux-tu y faire? Et nous devons faire quelque chose.

Nous essayons toujours d'éviter d'être dans l'obscurité, de ne pas savoir et de rencontrer des animaux. Il y a quelque chose qu'on ne veut pas être vu; Ils sortent la nuit, ils se cachent, ils ne veulent pas être montrés. C'est très intéressant génétiquement qu'ils doivent se cacher de nous en fait. Entre eux, ils sentent les uns les autres, mais il y a cette chose de se cacher, de suspicion.

Il y a quelque chose dans la nuit et le jour, la vie et la mort, mais les animaux sont également mentionnés souvent dans la Bible, se présentant dans des lieux de désolation, ou après la destruction, ou après que les humains ont quitté l'endroit, soudain ils se présentaient.

J'aime les Palestiniens le matin quand ils viennent et nous parlons mais le soir, qui sait, peut-être qu'ils ne savent pas que je suis gentil.

Nous sommes très inquiets tout le temps par la détermination des nouvelles technologies et avancées de la science, mais vraiment [bien que] notre avenir dépend de la science et du progrès, cela ne dépend pas moins de la façon dont nous nous traitons mutuellement.

Je vais filmer 50 personnes en Israël, 50 personnes en Russie et 50 personnes en Roumanie, à Paris, parce que j'aime vraiment obtenir des particules de quelque chose de réel.

Nous nous habituons à des niveaux de violence, nous nous habituons à voir ces choses horribles se passer tout le temps. Je pense que c'est difficile. C'est rude.

Je porte une sorte de considération, de poids et d'observations sur ce qui se passe dans le monde, mais je ne vais pas l'exécuter.

Les animaux sont toujours des déesses et des dieux, comme le dieu Anubis. C'est lui qui accompagne les âmes vers l'autre vie, et c'est lui qui décide si elles pourront traverser ou non.

C'est ce que font les animaux tout le temps; Ils font attention, ils font attention, et j'ai vu: "C'est nous maintenant." Nous, le monde, nous surveillons.

Le panorama est le premier mot pour le paysage en grec. Il s'agissait de [comment aujourd'hui] nous voyons tout, nous voyons tout, tout vous est montré si vous le souhaitez ou non, mais tout le temps que vous ne voyez que des fragments de réalité. La vue d'ensemble que nous ne voyons vraiment pas; C'est un peu difficile de rattraper.

Vous les regardez, les animaux à l'état sauvage, et ils restent les mêmes. Ils ont leurs règles que je ne peux pas déchiffrer, et il y a quelque chose de très fort à ce sujet, c'est aussi inconnu et pour moi imprévisible.

Je retourne à [l'idée] que nous évitons toutes ces inconnues, nous évitons la nuit - la plupart d'entre nous - nous évitons les rencontres, mais nous avons également peur de faire face à quelque chose d'inconnu, invisible.

Je commence toujours par la réalité, dans tout ce que je fais, tout ce que je fais, je commence toujours à quelque chose de réel.

Je pense que le monde est dans un déclin très grave - très, très sérieux.

Vous pouvez sentir que quelque chose de terrible se passe dans un autre endroit du monde, et c'est l'autre, ce n'est pas vous. C'est toujours là, c'est eux. Mais ce sont aussi vous.

J'ai décidé d'aller dans la nuit, moi-même, et j'ai commencé à aller dans les champs, où je rencontrerais des choses que je ne vois pas très bien, que je ne peux pas très bien détecter et me mettre dans une position où je vais être soupçonné comme un entrée dans un territoire d'autres êtres, et je vais également les soupçonner. Je dois être très alerte, et ils vont être très alertes - ce genre de position que je ressentais était ce qui se passe dans le monde pour moi.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Michal_Rovner

Ses oeuvres