À Istanbul au XVIIIe siècle, on découvre un prince déguisé qui fait des beignets, une princesse qui síennuie dans un palais 

díor et de cristal, un amour qui fleurit, un souterrain secret, une caravane, des pillards, des roses, trois dames de compagnie, 

un luth et beaucoup de gaité. 

Une fantaisie pleine de charme, deux jeunes héros réjouissants et de splendides décors orientaux pour un feu d'artifice ottoman.

La Princesse des Roses et le Prince des Beignets

Dans un sombre château d'Auvergne, au Moyen Âge, vivent un seigneur violent, son petit garçon solitaire et un prisonnier 
invisible au fond de son cachot. L'enfant fait une terrible chose, et est condamné à mort par son père. Vingt ans après, la forêt 
résonne des exploits d'un "Beau Sauvage", qui combat avec insolence les méfaits du seigneur. Mais d'où vient ce mystérieux 
héros que personne ne parvient à saisir ? L'histoire émouvante et pleine de mystère d'un justicier généreux, inspirée d'un conte auvergnat d'Henri Pourrat.

Le Beau sauvage

Paris, 1900. La capitale est en pleine ébullition, et ce n'est pas seulement à cause de l'Exposition universelle. Les fillettes disparaissent tour à tour, enlevées par les Mâles-Maitres. Dilili, une petite fille d'origine kanake futée et curieuse de tout, décide de mener l'enquête avec son ami Orel. Ensemble, ils parcourent Paris, rencontrent les plus grandes personnalités de la Belle Epoque et rassemblent des indices pour retrouver les jeunes disparues et arrêter les malfaiteurs. Le roman du film de Michel Ocelot, avec des scènes inédites.

Dilili à Paris

Au village, tous les enfants créent des poupées avec de vieilles plumes, des bouts de rafia ou encore des morceaux de calebasses cassées. Et quand la nuit tombe, les poupées de viennent marionnettes. Un spectacle d'ombre est organisé. Mais Karaba la sorcière va envoyer un spectateur pas comme les autres...

Kirikou et les ombres

Au village, c'est la fête : c'est le jour de la bière nouvelle, et toutes les femmes en goûtent. Mais très vite, elles tombent malades la jarre contenait une fleur de poison ! Une seule fleur a le pouvoir de guérir les mères du village, et elle ne pousse que sur le territoire de la terrible Karaba la Sorcière. Qui aura assez d'audace et d'astuce pour aller cueillir l'antidote jusque devant la case de la sorcière, sans se faire attraper ? Qui ? Mais Kirikou, bien sûr !

Kirikou et le fétiche égaré

Kirikou a vaincu le monstre qui asséchait la source et l'eau est revenue au village. Dans le grand potager qui a été replanté, les futures récoltes sont pleines de promesses Mais un matin, les villageois, horrifiés, découvrent que leur jardin a été entièrement saccagé. Sans plus attendre, ils dressent une palissade autour des cultures et décident de monter la garde. Mais voilà qu'au milieu de la nuit, surgit une hyène immense, noire comme l'ébène, qui grogne en montrant les crocs. Pourquoi cet animal carnivore s'intéresse-t-il au potager ? Et si ce monstre n'était autre que Karaba la Sorcière ?

Kirikou Et La Hyene Noire - Occasion

"Kirikou n'est pas grand mais il est vaillant, chantent les enfants du village... C'est peut-être pour cela qu'il va se poser la question essentielle : pourquoi la sorcière, celle qui ruine le pays et terrorise tout le monde, pourquoi la sorcière est-elle si méchante ".

Kirikou et la sorcière

Princes et princesses

Mes producteurs me donnent une liberté totale. Personne ne me demande rien; Ils me disent juste de faire un bon film, et c'est ce que je fais.

Je ne suis jamais vraiment nerveux parce que j'ai fait le maximum; Maintenant, c'est au public de faire son travail.

La France peut rivaliser avec les studios Hollywood en termes d'animation Savoir-Faire, mais pas en termes de chiffres au box-office. La France est un petit pays, et les Américains sont les maîtres du monde - pour le cinéma, c'est vrai.

Le numérique est cher, des ordinateurs vers le logiciel professionnel aux techniciens, mais le numérique m'aide à créer de plus belles images en moins de temps.

Je suis en paix avec moi-même. Mon film peut juste plaire au public. En tout cas, c'est déjà un grand prix pour faire partie de seulement 16 films parmi tous les cinéma mondiaux. Je suis tranquille et satisfait.

Pour moi, l'imagerie stéréoscopique était un nouveau jeu avec lequel jouer. Étonnamment, c'est aussi un retour à la tradition. Je suis de retour avec des marionnettes d'apparence papier qui se déplacent en plusieurs couches d'arrière-plan théâtral.

Parfois je rêve que je travaille; c'est terrible. Lorsque vous vous réveillez après un grand rêve surprenant, vous pensez que c'est très intéressant. Lorsque vous vous asseyez et l'écrivez, vous vous rendez compte que c'est un script très pauvre. Mais je peux trouver des idées en somnolant.

L'industrie cinématographique doit trouver un moyen d'amener le public aux salles de cinéma. C'est plus une astuce technique qu'une révolution.

Les contes de fées sont mon langage naturel. Je me sens à l'aise de raconter des contes de fées comme un poisson dans l'eau. Je suis totalement libre.

J'aime rendre les gens heureux, et avec des contes de fées, je peux dire tout ce que je veux, mais d'une manière agréable.

Quel que soit le niveau de financement ou de succès, il manque toujours de l'argent et vous voulez toujours avoir une image magnifique, une distribution sans fin et un rendu sans faille.

J'ai toujours senti que j'ai fait des films, point final. Je voulais quitter le "ghetto". Et me voici, je suis sorti.

Je ne ferais jamais de film qui ne me passionne pas. Toute ma vie, je n'ai fait que les films que je voulais faire, même lorsque j'avais des moyens limités.

Je suis un sorcier parce que je commence par rien, puis, finalement, il y a quelque chose. Et je te touche, je te déplace, je te fais rire ou pleurer, et tu crois en ce qui se passe à l'écran, même si je montre toujours qu'il est inventé.

Les enfants de différents pays connaissent mes films par cœur parce qu'ils les ont vus tant de fois. Et de merveilleux rendements ne s'arrêtent jamais.

On s'habitue à réussir très rapidement. La surprise a été de savoir à quel point je touchais des gens, dans des gens et tout au long des générations.

Je ne semble jamais pouvoir vendre mes films correctement aux États-Unis. Les États-Unis se défendent de son propre gazon.

Des gens du monde entier se nourrissent du cinéma américain et ne connaissent pas les leurs.

Je ne vous dirai pas combien d'heures par jour je travaille parce que vous ne le croiriez pas. Mais ne vous inquiétez pas; Je suis au lit à 23 heures, je dors bien et me lève tôt, sans réveil.

Mon inspiration est ma vie, ce que je vois se passer autour de moi. Cela peut être de l'histoire et, souvent, des contes de fées traditionnels simples. Mais je ne m'adapte jamais; Je me nourris avec de vieilles histoires, puis crée mes propres histoires.

La qualité et le succès de Disney étaient en fait mauvais pour nous, les animateurs, parce que tout le monde sur la planète pensait que l'animation n'était que pour les enfants et uniquement dans un certain domaine. Les grands festivals de films n'ont jamais beaucoup pensé aux films d'animation.

Avant mon succès commercial, j'ai eu du mal à faire ce que je voulais, mais mes courts métrages sincères ont toujours gagné des prix dans les festivals. J'étais donc prêt pour des succès plus importants.

J'ai perdu tellement d'énergie dans les taxis, les avions, les hôtels, les appels téléphoniques et les interprètes. Maintenant, avec l'aide de mes petits succès, je fais tout au même endroit avec tout le monde autour de moi. C'est ainsi qu'un bon travail est fait.

Les contes de fées ont un pouvoir caché et leur attrait ne se termine jamais. C'est la meilleure façon de faire passer des messages.

Si j'ai besoin de quelque chose, je le dessine, que quelques amis se déplacent et cela existe. J'apprécie cette étrange puissance. Mais j'essaie d'être un bon sorcier.

Tous mes films sont basés sur des expériences et des croyances personnelles. Beaucoup de mes héros sont mes porte-parole - et certains ne le sont pas !

Je fais mes films du mieux que je peux, point final. J'espère toujours que, progressivement, mon travail honnête atteindra les Américains.

Ses oeuvres

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