Milos Raonic, né le 27 décembre 1990 à Titograd en Yougoslavie (aujourd'hui Podgorica au Monténégro), est un joueur canadien de tennis d'origine monténégrine, passé professionnel en 2008. Il a remporté huit tournois en simple sur le circuit ATP et son meilleur résultat en Grand Chelem est une finale à Wimbledon, perdue face à Andy Murray en 2016.
En 2012, il devient le sixième joueur de l'histoire à dépasser mille aces sur une saison, après Pete Sampras, Ivo Karlović, John Isner, Andy Roddick et Goran Ivanišević. En atteignant le 3e rang mondial en 2016, il a été le Canadien le mieux classé en simple depuis le classement par ordinateur en 1973.

J'ai grandi en regardant le Sport nord-américain - basket-ball, hockey - donc je l'aime quand c'est un peu plus énergique, plus rameau, chahut pour vous ou contre vous. Je pense que c'est amusant d'avoir ça dans le sport.

Mon objectif est de l'éloigner de cela et de jouer le match à mes conditions afin que je puisse être agressif et pas hésiter.

Sur la façon dont il a rencontré Wayne Gretzky: J'étais à Los Angeles à préparer des puits indiens, et un ami commun m'a demandé si j'aimerais dîner avec lui. Je pense que l'une de ses filles joue le tennis alors il connaissait moi. C'était évidemment quelque chose que j'étais excité de faire, et j'ai laissé le dîner assez étonné.

Au cours des trois premières années, je ne pense pas que je quitterais ma chambre d'hôtel à l'extérieur du tennis, parce que je me disais: «Je me reposais, je me repose. C'était comme une sorte de paranoïa pour tout faire du mieux que possible.

Une fois, j'ai pu jouer avec des Lion Cubs à Johannesburg. C'était incroyable. Mais c'est difficile quand vous êtes sur la route. Nous jouons toujours au tennis et il y a beaucoup de pression. Donc, parfois, vous ne pouvez pas faire les choses que vous aimeriez faire, car la priorité est le tennis.

Le Canada a été phénoménal pour moi-même, mon frère, ma sœur, leurs enfants, mes parents. Ils sont venus là-bas. Ils ont travaillé très dur. Ils sont venus avec une excellente éducation, de très bonnes têtes sur leurs épaules avec la simple pensée d'y aller avec presque rien et de dire: «Nous faisons cela pour donner à nos enfants la meilleure opportunité possible».

Pour moi, une grande chose, parce que j'ai des jambes très longues, c'est la stabilité de base. Il est très important non seulement pour les blessures, mais aussi pour pouvoir porter mon poids correctement et ne pas avoir l'impression de m'effondrer dans des situations spécifiques lorsque je suis trop loin.

À 12 ans, voire huit ou neuf, les athlètes étaient mes modèles. Donc, quand je dirais que je voulais être le meilleur, c'était juste parce que je voyais mes idoles et que je voulais faire ça. Je ne pense pas que ce soit nécessairement le processus de pensée le plus réaliste.

Je me souviens que lorsque j'ai commencé à jouer au tennis, c'était toujours ma sœur m'habiller. Elle voulait que je sois bien. Et puis c'est devenu une routine pour moi. Cela ne consomme pas trop de ma journée, mais c'est quelque chose auquel je porte toujours une attention consciente.

J'ai une incapacité après la fin des matchs pour s'éteindre et se détendre complètement.

Même au Canada, je n'ai même jamais joué au hockey sur glace. Je n'ai jamais patiné dans ma vie; J'ai toujours fait du hockey de rue Rollerblade.

Quand je joue bien à cause de mon service et que j'essaie de garder les points plus courts, je n'ai pas à m'inquiéter pour mon adversaire. Tout ce que je dois faire est de me concentrer sur moi-même et de les faire s'adapter à moi plutôt que de m'adapter à eux. C'est là que je joue mon meilleur tennis.

J'adorerais gagner un slam d'ici la fin de ma carrière, et j'aimerais réaliser d'autres choses. C'est juste que je ne suis pas un patient. Quand je veux quelque chose, j'essaie de l'obtenir aussi rapidement que possible.

Mon plan de jeu - peu importe qui je joue - est de jouer à mes conditions, de contrôler autant que possible, d'essayer de prendre le contrôle du centre du terrain, d'essayer de dicter et de les faire bouger, pour être leur directeur plutôt que de les laisser m'imposer leur jeu.

[Andy Murray] essaie de vous faire faire beaucoup de choses différentes. Il essaie de vous déstabiliser en vous donnant des balles plus lentes et des balles plus dures.

Ils disent que les Monténégrins sont intelligents, et c'est peut-être pourquoi j'étais assez bon à l'école.

La masculinité vient de votre look, jusqu'à votre attitude. C'est une grande partie d'être un joueur de tennis. Même si le tennis est un sport assez sympathique, l'intimidation en est encore une grande partie.

Il est important pour moi de défendre les couleurs canadiennes. Et je ne le fais pas seulement dans le tennis. Je pourrais maintenant suivre le hockey autant que le Canadien moyen, mais je soutiens plusieurs équipes canadiennes. Je suis un grand fan des Raptors de Toronto. En plus de cela, j'aime mon pays, aussi simple que ça. C'est un magnifique pays; Les gens sont vraiment accueillants.

Vous pouvez demander à beaucoup de gens autour de moi - je suis très exigeant. Je m'attends à ce qu'ils soient aussi intenses quant à mon tennis au quotidien que moi.

C'est un sentiment incroyable: le tennis se développe très rapidement au Canada, et en faire une grande partie, c'est un honneur.

Il s'agit d'une occasion passionnante d'avoir un impact positif sur la vie des enfants canadiens handicapés en fournissant une voie plus directe pour les aider à atteindre leur plein potentiel.

Je vais juste laisser les cheveux parler de lui-même. Il a un compte Twitter, donc il fait plus de parole que je ne le fais probablement sur Twitter.

J'avais l'habitude de skier. Je joue toujours un peu au basket. Je jouerai au football mais plus dans un environnement sûr, jamais sur un terrain d'herbe à plein essor.

À la fin de la journée, il ne s'agit pas vraiment des as, il s'agit de faire le travail.

Andy [Murray] est l'un des premiers bourreaux de travail. Il s'est donné beaucoup d'opportunités à travers cela.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Milos_Raonic

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