Une fois la guerre au début, le gouvernement pouvait faire quoi que ce soit «nécessaire» pour le gagner; C'est donc avec la `` solution finale du problème juif '', dont les nazis ont toujours parlé mais n'ont jamais osé entreprendre, pas même les nazis, jusqu'à ce que la guerre et ses «nécessités» leur donnent la connaissance qu'ils pouvaient s'en tirer. Les gens à l'étranger qui pensaient que la guerre contre Hitler aiderait les Juifs aurait eu tort. Et les habitants d'Allemagne qui, une fois la guerre commencèrent, pensaient toujours à se plaindre, à protester, à résister, pariaient sur la perte de la guerre de l'Allemagne. C'était un long pari. Peu de gens l'ont fait.

Je n'ai jamais pu comprendre pourquoi c'est simplement parce que je suis inintelligible que personne ne me comprend.

L'Américain va à Paris, a toujours, et revient et dit à son voisin, fait toujours, à quel point il est exorbitant et inhospitalier, à quel point il est rapace et égoïste et non accommodant et insensible, à quel point il est sale et bruyant et l'été suivant son Le voisin va à Paris.

Cette séparation du gouvernement des personnes, cet élargissement de l'écart, a eu lieu si progressivement et si insensiblement, chaque étape s'est déguisée (peut-être pas même intentionnellement) comme une mesure d'urgence temporaire ou associée à une véritable allégeance patriotique ou à des fins sociales réelles. Et toutes les crises et réformes (réelles réformes aussi) ont donc occupé les gens qu'ils n'ont pas vu le ralenti en dessous, de l'ensemble du processus de croissance du gouvernement.

L'art de mourir gracieusement n'est nulle part annoncé, malgré le fait que son potentiel de marché est grand.

Les merveilles - du cinéma, de la radio et de la télévision - sont des merveilles de la communication à sens unique, qui n'est pas du tout de communication.

Ses oeuvres