Début des années 1920, dans un petit village coréen, la jeune Sunja se laisse séduire par un riche étranger. Lorsqu'elle tombe enceinte et apprend que son amant est déjà marié au Japon, elle refuse la solution qu'il lui propose : devenir son épouse coréenne. Ce refus est le point de départ d'un exil qui s'étendra sur quatre générations. Pour éviter la ruine et le déshonneur à sa famille, Sunja épouse Isak, un pasteur chrétien qu'elle connaît à peine et qui lui propose une nouvelle vie au Japon.S’étendant sur huit décennies et quatre générations, découvrez le récit épique d'une famille rejetée par deux pays, aux prises avec l'histoire et secouée par des questions d'identité, d'amour, de mort et de survie.

Pachinko

PACHINKO

La vie vous fait payer ... tout le monde paie quelque chose

Je me suis marié quand j'avais 24 ans et j'ai rencontré mon mari quand j'avais 22 ans, donc ce que je sais des hommes dans une expérience personnelle pourrait littéralement remplir une fiche.

... un Dieu qui a fait tout ce que nous pensions être bien et bon ne serait pas le créateur de l'univers. Il serait notre marionnette.

J'ai l'amour pour le Japon. En même temps, j'ai une relation complexe avec le Japon parce que je suis coréen. Mais je pense que cela montre la force d'un pays où vous pouvez parler du passé de manière transparente.

J'aime vraiment le Japon, et j'aimais beaucoup y vivre, et il y a tellement de choses formidables sur le Japon. Cependant, je pense que ce qui est incroyable, c'est que le Japon est vraiment fier d'être monoracial. Il n'a pas le même genre d'idée que au Royaume-Uni ou au Canada ou aux États-Unis, dans lequel l'idée de diversité est une force.

Je dois être honnête à ce sujet: je ne dirais pas beaucoup d'enfants d'aller être des écrivains. C'est une entreprise difficile et difficile. Ce n'est pas une entreprise. C'est plus comme une route difficile. C'est une route vraiment difficile.

Après avoir arrêté d'être avocat en 1995, j'avais beaucoup de mal à écrire. Puis j'ai lu quelque part que Willa Cather lisait un chapitre de la Bible chaque jour avant de commencer à travailler. J'ai pensé, 'D'accord, je vais essayer.' Avant chaque séance d'écriture, j'ai commencé à lire la Bible comme un écrivain, en pensant à la langue, au personnage et aux thèmes.

On m'a dit à plusieurs reprises que mon écriture était soit trop coréenne - ou pas assez coréenne.

L'éducation est une chose belle et libératrice, mais je pense que lier dans l'éducation et le statut, et la nécessité de bien faire à chaque coût est toxique.

Je ne tiens aucun mépris pour les personnes qui pratiquent le droit. Je sais à quel point c'est difficile, je sais à quel point ils travaillent dur, et je connais certains d'entre eux qui en sont si mécontents.

Je trouve difficile de se mettre difficile. Je pense que l'écriture et le partage de l'écriture nécessitent différents ensembles de compétences. Je veux être lu, mais il faut du courage pour demander à quelqu'un de lire votre travail.

Je crois qu'il y a un sens à la vie. Je crois qu'il y a du bien et du mal.

En tant que femme de couleur, en tant que personne appartenant à une minorité, je crois qu'il est important que les autres connaissent ma langue et je n'ai pas nécessairement à expliquer. De même, quand je lis de la littérature du XIXe siècle et si je dois comprendre une phrase latine ou une phrase française, il m'appartient de l'apprendre.

Je pense que la honte d'être différente est très douloureuse pour beaucoup de gens.

Un roman, surtout un premier roman, est... vraiment une autobiographie émotionnelle. Toutes ces émotions que je suis gêné d'avoir eu, j'ai écrit.

Je pense que si vous êtes écrivain et femme, alors vous devez très bien prendre l'humiliation.

J'avais une maladie du foie. Je suis aujourd'hui complètement guéri, mais je me suis demandé à quoi ressemblerait ma vie si je mourais d'un cancer du foie. J'ai suivi ce souhait de devenir écrivain de fiction.

Je crois que j'étais un écrivain - un écrivain très travailleur - bien avant ma publication. Je me souciais de ce que les autres pensaient, et c'était embarrassant quand les gens m'ont demandé ce que j'avais publié, donc je n'ai pas beaucoup parlé de l'écriture; Au contraire, je n'arrêtais pas d'écrire.

J'avais pensé que Tokyo serait comme New York, mais ce n'était pas le cas. J'avais imaginé qu'ils seraient similaires dans leur agitation et leur niveau de bruit, mais, en fait, Tokyo est une métropole très calme. Les lumières vives et les images chargées de la vie nocturne si souvent trouvées dans les publicités et les médias occidentaux ne reflètent pas chaque jour le Japon.

Je pense que ce n'est pas un accident que vous n'avez pas autant d'écrivains d'origine asiatique américaine qui éclatent. Je ne pense pas que ce soit un accident que vous n'avez pas autant d'écrivains américains asiatiques, de femmes ou d'hommes. Je ne pense pas que les immigrants soient encouragés à devenir des artistes. C'est très sexué et racialisé et ethnicisé.

Je pense que ce qui est bizarre pour moi dans la vie, c'est que parfois vous devez tout avoir enlevé avant de vivre la grâce ou avant de reconnaître que la grâce peut vous arriver.

J'adore la plupart des villes de la Nouvelle-Angleterre.

Mon père est né le jour de Noël en 1934. Il a grandi dans ce qui fait maintenant partie de la Corée du Nord. Lorsque la guerre de Corée a commencé, mon père avait 16 ans et il a trouvé un passage sur un navire de réfugiés américain, pensant qu'il serait parti pendant quelques jours, mais il n'a plus jamais revu sa mère ou sa sœur.

Les thèmes ne changent pas beaucoup dans les histoires, et je pense que chaque écrivain a son propre territoire; Cependant, je pense que l'artisanat et le style prennent beaucoup de temps à se développer. Je ne pense pas qu'il y ait un autre moyen de développer votre propre style sans lire vos meilleurs.

Pour moi, écrire un roman historique était vraiment difficile. J'adore l'histoire en tant que sujet et je me suis spécialisé dans le collège. Je pense que, d'une certaine manière, ma formation a empiré la situation pour moi parce que je savais à quel point il était important de me concentrer sur l'analyse basée sur des documents, et je ne voulais vraiment pas se tromper.

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