Mira Nair, née le 15 octobre 1957 à Bhubaneshwar (Odisha), est une productrice et réalisatrice indo-américaine,. Sa société de production, Mirabai Films est spécialisée dans les films, réservé au public international, abordant la société indienne, que ce soit dans les domaines économiques, sociaux ou culturels. Parmi ses films les plus connus sont Mississippi Masala, Le Mariage des moussons, lauréat du Lion d'or à la Mostra de Venise et Salaam Bombay !, nommé pour l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.

Vous devez comprendre qu'à Bollywood, chaque acteur est un instrument, et pourtant un être humain. Ils viennent sur le plateau avec un agenda défini, croyant: «C'est qui je suis, c'est ce que je veux, et non, je ne vais pas devenir ce personnage que tu veux que je fasse.

Cela m'a donné beaucoup de plaisir et de fierté que 90% de l'équipage pour «Monsoon Wedding», et la plupart de mon film, sont des femmes. Nous faisons le travail, vous savez, un jeu d'ego beaucoup moindre ... et je crois vraiment à l'harmonie, je crois qu'il faut travailler dans un esprit d'espace et que le film est plus grand que nous tous.

La liberté créative est un impératif pour moi, mais elle n'existe pas vraiment dans un jeu hollywoodien.

Je pense qu'il y a un niveau d'ignorance, quand, dans la callowness de la jeunesse, vous imaginez que vous inventez le monde pour la première fois. Vous imaginez que vos parents ne savent pas ce que ça fait de tomber amoureux.

Si nous ne racontons pas nos propres histoires, personne d'autre ne le fera.

J'ai grandi dans une petite ville en Inde, mais à travers des livres, je connaissais le monde.

Ne prenez jamais non pour la réponse et essayez de faire des films qui vous excitent.

Pendant sept ans, j'ai fait des films dans la tradition du cinéma Verite - photographiant ce qui se passait sans le manipuler. Ensuite, j'ai réalisé que je voulais faire bouger les choses par moi-même, à travers des longs métrages.

Je pense que je suis en quelque sorte mis sur cette terre pour parler d'être entre les mondes dans mes films.

J'ai grandi dans une toute petite ville éloignée même selon les normes indiennes. J'ai toujours rêvé du monde.

Le mantra cinématographique est que si vous ne racontez pas vos propres histoires, personne ne le fera.

Les Américains n'ont pas l'habitude d'être bombardés dans leur lit, mais si vous venez de n'importe où en dehors des États-Unis, ce n'est pas très inhabituel.

Ma famille est vitale pour moi - juste le sentiment d'être entouré par aucune prétention.

La vérité est plus particulière que la fiction. La vie est vraiment un endroit surprenant.

Queen of Katwe" est une histoire absolument vraie. Et c'est merveilleux. Mais il ne s'agit pas de sauveurs. Votre seul sauveur, c'est vous-même - mais vous-même avec votre communauté. On n'est jamais seul. Vous devez avoir quelqu'un qui croit en vous.

Beaucoup d'entre nous sentent que nous sommes contre la guerre ; nous sommes contre le profilage et contre ce qui se passe. Nous sommes fatigués de la guerre dans chaque manifestation. Les Américains ne croient pas tous en ce que le gouvernement a fait.

Je rêve de vivre complètement de la terre - en vain, parce que les singes mangent tout.

Je suis un jardinier de paysage autodidacte; C'est une vraie passion à moi. C'est ce que je fais pendant mon temps libre parce que les arbres ne posent pas de questions!

Nous ne devons nous réaliser que dans la communication, dans une réelle connaissance, dans une réelle tendre la main, peut y avoir une compréhension qu'il y a de l'humanité partout, et c'est ce que j'essaie de faire.

Personne ne va au Pakistan pour faire des films. Vous sortez.

Je ne suis pas intéressé par la passion et l'amour pour leur propre bien - sans la lutte de la vie, ce ne sont que des peluches.

J'adore l'idée qu'il ne faut pas à une personne pour réaliser votre potentiel. Il faut un village, il faut une communauté, une rue, un enseignant, une mère.

Mes amis proches m'appellent le bulldozer qui ne dit jamais non. Je n'ai jamais fait de film.

Salaam Bombay" ne mettait pas une auréole sur les pauvres. Il disait plutôt qu'ils allaient nous apprendre à vivre.

Assis en Amérique, nous n'apprenons jamais à connaître l'autre côté de toute manière crédible. Nous avons tellement de films sur l'Irak, l'Afghanistan, et cela et cela, mais il n'y a jamais de personnage de ce côté.

L'Inde est en quelque sorte constamment rivelée et m'inspire, et je me sens très soulagé de provenir de ce pays qui a une approche très «life» pour vivre pleinement, peu importe ce que l'on a ou non.

Katwe est à quinze minutes de chez moi. Il s'agit entièrement de le savoir de l'intérieur. Par exemple, l'incroyable dynamisme du style. Kampala est le centre des vêtements d'occasion dans le monde. Tout le monde s'habille en vêtements d'occasion, mais ils ont l'air étonnant.

Je ne veux pas dire que nous sommes le monde en ce que nous ne sommes pas distincts les uns des autres. Je veux dire que l'humanité qui est notre fondation est courante, mais ma culture, mes croyances, mes valeurs, ce qui me fait chanter et ce qui me rend heureux et la langue que je parle et les relations que j'ai dans le monde sont distinctives.

Ses oeuvres