Mes enfants téléchargent 10 jeux. Ils les jouent tous pendant deux minutes. Ils jettent les huit qu'ils n'aiment pas. Ensuite, ils jouent ces deux derniers derniers temps pendant un mois. C'est étranger à ceux d'entre nous qui achètent un jeu de 60 $ et le jouent pendant 40 ou 50 heures. Le mécanisme de découverte est complètement social, et je ne pense pas que vous récupériez ce génie dans la bouteille.

Les entreprises ayant des aspirations à être de plus grands éditeurs - Kabam, Kixeye, même Zynga - se déplacent agressivement hors de la plate-forme Facebook vers Mobile et le Web ouvert. Les éditeurs ne sont pas convaincus que les coûts d'être sur Facebook en valent la peine.

Le distributeur avait l'habitude d'obtenir 10, 12, 14% dans la plupart des cas, mais l'App Store ou la vapeur - ils prennent 30 points. Donc, clairement, ils regardent ce qu'ils apportent à la table dans l'environnement numérique pour être plus précieux que la distribution.

Nous sommes à un moment de l'industrie du jeu vidéo que l'industrie est creusée. Il est déconnecté du Zeitgeist, créant des suites et des jeux de formule encore et encore. L'énergie vient des Indes.

Tout le monde parle de Discovery, mais je crois vraiment que le contenu excellent trouve son public.

Il y a un mythe selon lequel un jeu gratuit est moins cher qu'un jeu de 60 $. C'est juste élastique. Pour certains utilisateurs, il finit par être beaucoup plus cher. J'aurais payé 150 $ par an pour obtenir une meilleure version de la FIFA.

Les ambitions pour cette composition sont très excitantes pour moi.

J'ai regardé ce qui se passe lorsqu'un jeu comme «Dragonvale» atteint le numéro un sur iOS. Soudain, il y a dix autres versions qui ont frappé le magasin. En tant que joueur, cela me dérange. Je n'aime pas ces entreprises.

Free-to-play n'est pas un modèle commercial. Free-to-play est une stratégie marketing. C'est un moyen de faire passer les gens au-dessus de la bosse d'essayer votre jeu. Il se débarrasse de la friction qui se produit lorsque vous facturez des frais initiaux.

J'ai commencé à entendre Snapchat dans le même contexte que Twitter, Instagram et Facebook. Cela m'a fait curieux.

J'ai été témoin de première main l'impact que l'équipe de référence a eu sur de nouvelles entreprises, et je pense que leur engagement envers l'entrepreneur et le dévouement à la construction de sociétés d'une valeur durable ont vraiment distingué l'entreprise.

La rampe de Snapchat nous a rappelé un autre benchmark de l'application mobile a eu la chance de revenir à un stade précoce: Instagram.

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