Alors qu’elle a traversé la planète pour rejoindre le Japon, une femme franchit la cloison de verre de l’altérité et entre peu à peu dans l’agencement esthétique et spirituel des jardins et des temples de Kyôto. Jour après jour, guidée par celui qui fut l’assistant de son père disparu, ces promenades sont en elle autant de motifs à résonances, chambres d’échos, révélations minuscules puis essentielles de sa personnalité. Ce roman des origines est un voyage, une géographie secrète, en même temps qu’une transposition poétique de l’énigme du sentiment amoureux.

Une rose seule

Alors qu'elle a traversé la planète pour rejoindre le Japon, une femme franchit la cloison de verre de l'altérité et entre peu à peu dans l'agencement esthétique et spirituel des jardins et des temples de Kyôto. Jour après jour, guidée par celui qui fut l'assistant de son père disparu, ces promenades sont en elle autant de motifs à résonances, chambres d'échos, révélations minuscules puis essentielles de sa personnalité.Ce roman des origines est un voyage, une géographie secrète, en même temps qu'une transposition poétique de l'énigme du sentiment amoureux.

C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli. Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.

Une Gourmandise

C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure:aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le coeur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli. Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.

Une gourmandise

C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, il a fait et défait les plus grandes réputations. Il va bientôt mourir. Il le sait mais il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le coeur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli.   Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.

C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien que tous ses festins de gourmet accompli. Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative. Il se souvient – et il ne trouve pas. Pas encore. Joël Demarty incarne avec volupté et sensualité ce critique culinaire qui, au seuil de sa mort, est en quête d'une saveur oubliée. Il est relayé par neuf comédiens de grand talent qui nous font entendre d'autres facettes de son personnage. Un portrait à plusieurs voix pour une lecture toute en subtilité.

C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli.Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.

C'est un vieil homme qui s'éteint, péniblement alité. Pas n'importe quel homme, mais le plus grand critique gastronomique du monde, qui est parvenu à hausser un art mineur au rang des plus prestigieux, a fait et défait des réputations. Après quelques décennies de boustifailles, d'agapes, "des flots de vin, d'alcools en tout genre, après une vie dans le beurre, la crème, la sauce, la friture, l'excès à toute heure", le vieil homme tire sa révérence, rend son tablier, sa plume. Ce n'est rien, sinon qu'in extremis "une seule chose importe" : le souvenir d'une saveur, "vérité première et ultime de toute une vie". Quelque chose qui lui échappe. Quelque chose d'originel et de merveilleux. Une saveur oubliée, nichée au fond de la mémoire. Il cherche et il ne trouve pas. La quête de cette saveur, qui pourrait bien être une gourmandise, tout au bout de la vie, est l'occasion de retracer pour le vieil homme l'itinéraire d'une existence vouée à la gastronomie. Un itinéraire tantôt dessiné dans la complaisance ou l'humilité tardive, tantôt redessiné sans concession par les proches de ce pape de la cuisine, les uns après les autres, et toujours à la première personne. Roman à plusieurs voix donc, en une langue parfumée et savoureuse, brossant le portrait d'un homme et le bilan complexe d'une vie à la fois faite de générosité et d'égoïsme. Pour un premier roman, Muriel Barbery réussit là un coup de maître. --Céline Darner

Ou la première fois de ma vie, j'ai compris le sens du mot jamais. Et c'est vraiment horrible. Vous dites le mot cent fois par jour, mais vous ne savez pas vraiment ce que vous dites jusqu'à ce que vous soyez confronté à un vrai "plus jamais".

Nous n'oublions pas de personnes âgées avec leurs corps pourris, des personnes âgées si proches de la mort, quelque chose auquel les jeunes ne veulent pas penser. Nous n'oublions pas que notre corps refuse, les amis meurent, tout le monde oublie pour nous, et la fin est la solitude. Nous ne devons pas non plus oublier que ces personnes âgées étaient jeunes une fois, qu'une durée de vie est pathétiquement courte, qu'un jour vous avez vingt et le lendemain, vous êtes quatre-vingts.

Pour autant que je puisse voir, seule la psychanalyse peut rivaliser avec les chrétiens dans leur amour de la souffrance tirée.

Parce que l'art est la vie, jouer avec d'autres rythmes.

Un homme qui pétise au lit. . . est un homme qui aime la vie.

En fin de compte, je me demande si le véritable mouvement du monde pourrait ne pas être une voix élevée dans la chanson.

Oui, le monde peut aspirer à la vidélité, les âmes perdues pleurent la beauté, l'insignifiance nous entoure. Ensuite, buvons une tasse de thé. Le silence descend, on entend le vent à l'extérieur, les feuilles d'automne bruissent et prennent leur envol, le chat dort dans une piscine chaude de lumière. Et, à chaque avaler, le temps est sublimé.

La musique joue un rôle énorme dans ma vie. C'est de la musique qui m'aide à endurer ... eh bien ... tout ce qu'il y a à supporter.

Nous pensons que nous pouvons faire du miel sans partager le sort des abeilles, mais nous ne sommes en vérité que des abeilles pauvres, destinées à accomplir notre tâche puis à mourir.

Les gens visent les étoiles et ils finissent comme du poisson rouge dans un bol. Je me demande s'il ne serait pas plus simple juste pour enseigner aux enfants dès le début que la vie est absurde.

Si vous n'avez qu'un ami, assurez-vous de bien la choisir.

La dégustation est un acte de plaisir et d'écrire sur ce plaisir est un geste artistique, mais la seule véritable œuvre d'art, en fin de compte, est la fête d'une autre personne.

Je vais mourir, mais cela n'a aucune importance.

Certaines personnes sont incapables de percevoir dans l'objet de leur contemplation la chose même qui lui donne sa vie et son souffle intrinsèques, et ils passent toute leur vie à converser sur l'humanité comme s'ils étaient des robots, et des choses comme si elles n'avaient pas d'âme et ne doivent pas Soyez réduit à ce qui peut être dit à leur sujet - tous au gré de leur propre inspiration subjective.

Ne vous inquiétez pas Renee, je ne vais pas se suicider et je ne brûlerai rien. Parce qu'à partir de maintenant, pour vous, je rechercherai ces moments de toujours à l'intérieur. Beauté, dans ce monde.

Qu'est-ce que l'écriture, peu importe à quel point les pièces sont somptueuses, si elle ne dit rien de la vérité, se soucie peu du cœur et est simplement subalterne au plaisir de montrer son éclat.

Le seul but des chats est qu'ils constituent des objets décoratifs mobiles.

La vraie épreuve ne laisse pas ceux que vous aimez, mais apprenez à vivre sans ceux qui ne vous aiment pas.

Nous ne regardons jamais au-delà de nos hypothèses et ce qui est pire, nous avons renoncé à essayer de rencontrer les autres; Nous nous rencontrons simplement.

C'est peut-être ce que le fait d'être vivant est: afin que nous puissions retrouver les mouvements qui sont en train de mourir.

Tout comme les larmes, lorsqu'elles sont grandes et rondes et compatissantes, peuvent laisser un long brin lavé de discorde, la pluie d'été alors qu'elle lave la poussière immobile peut apporter à l'âme d'une personne quelque chose comme une respiration sans fin.

Oui, nos yeux peuvent percevoir, mais ils n'observent pas; Ils peuvent croire, mais ils ne remettent pas en question; Ils peuvent encore recevoir qu'ils ne recherchent pas: ils sont vidés de désir, sans faim ni passion.

... nous devons nous surpasser chaque jour, faire en sorte que chaque jour soit éternel. Gravissez notre propre Everest personnel et faites-le de telle sorte que chaque pas soit un peu d'éternité. C'est à ça que sert l'avenir : construire le présent, avec de vrais projets, faits par des vivants.

Je trouve cela un phénomène fascinant: la capacité que nous avons à nous manipuler afin que le fondement de nos croyances ne soit jamais ébranlé.

Les gens pensent que les enfants ne savent rien. Il suffit de vous faire vous demander si les adultes ont été des enfants une fois.

La mélancolie me submerge à une vitesse supersonique.

Savez-vous que c'est dans votre entreprise que j'ai eu mes meilleures pensées?

Je sais qu'ils sont tous mécontents parce que personne n'aime la bonne personne comme ils le devraient et parce qu'ils ne comprennent pas que c'est vraiment leur propre moi qu'ils sont en colère.

Pour les riches, par conséquent, il tombe sur le fardeau de la beauté. Et s'ils ne peuvent pas le supposer, alors ils méritent de mourir.

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