La désobéissance

Et si les femmes prenaient enfin le pouvoir dans le monde entier ?Aux quatre coins du monde, les femmes découvrent qu'elles détiennent "le pouvoir".Du bout des doigts, elles peuvent soudain infliger une douleur fulgurante - et même la mort.Soudain, les hommes comprennent qu'ils deviennent le "sexe faible".Mais jusqu'où iront les femmes pour imposer ce nouvel ordre ?

Le Pouvoir

« Vous voulez plus de temps, n’est-ce pas ? Nous n’en avons jamais assez. Je vous propose un marché… »S’il y a bien une chose qui fait défaut à Andrew Brown, c’est le temps.Sa course contre la montre fait de sa vie un enfer. Tout serait tellement plus simple si on lui accordait un peu de délai. Messieurs Symington et Blenkinsop, les rois du sablier, ont justement la possibilité de lui prêter de quoi différer le compte à rebours – à un taux défiant toute concurrence – à ceci près que les emprunteurs risquent leur vie sans le savoir. Le Docteur et ses compagnons flairent le problème et s’infiltrent dans la banque. Mais ils doivent faire vite avant que les usuriers ne recouvrent leur dette.

Doctor Who: Temps d'Emprunt

A l'université d'Oxford, un groupe d'amis s'installe dans la maison du séduisant et manipulateur Mark Winters. Ensemble, ils vont connaître les premières rencontres amoureuses, les soirées inoubliables mais aussi le désenchantement et les bouleversements propres à la jeunesse. La perversité cachée derrière les façades prestigieuses d'Oxford se dévoile au fil des pages, révélant un monde faussement exemplaire qui prépare à tout sauf à la réalité.

Mauvais genre

Une éducation anglaiseAprès la communauté juive orthodoxe qui était au centre de La Désobéissance, Naomi Alderman s'intéresse dans Mauvais genre à un autre cercle très fermé : la prestigieuse université d'Oxford. Portrait d'un groupe d'amis réuni autour du séduisant (et manipulateur) Mark Winters, ce roman initiatique raconte les premières amours, les soirées inoubliables, mais aussi le désenchantement et les bouleversements intimes de cet âge de déraison qu'est la jeunesse. Dans la lignée du Maître des illusions de Donna Tartt, Mauvais genre révèle la perversité cachée derrière les façades impeccables d'Oxford, ce monde faussement exemplaire qui prépare à tout sauf à la réalité.

When a young photographer living in New York learns that her estranged father, a well-respected rabbi, has died, she can no longer run away from the truth, and soon sets out for the Orthodox Jewish community in London where she grew up.Back for the first time in years, Ronit can feel the disapproving eyes of the community. Especially those of her beloved cousin, Dovid, her father’s favorite student and now an admired rabbi himself, and Esti, who was once her only ally in youthful rebelliousness. Now Esti is married to Dovid, and Ronit is shocked by how different they both seem, and how much greater the gulf between them is.But when old flames reignite and the shocking truth about Ronit and Esti’s relationship is revealed, the past and present converge in this award-winning and critically acclaimed novel about the universality of love and faith, and the strength and sacrifice it takes to fight for what you believe in — even when it means disobedience.

Insolente, rebelle, Ronit a quitté l'Angleterre et la communauté juive orthodoxe à dix-huit ans, direction New York. Refusant de se plier au destin tout tracé de mère de famille et d'épouse, elle a désobéi à son père, le grand Rav Krushka. À la mort de ce dernier, quinze ans plus tard, Ronit est rappelée auprès de sa famille à Hendon. Elle retrouve Esti, qui fut sa petite amie, et son cousin Dovid. Eux n'ont pas désobéi. Dovid, choisi par Rav Krushka dès son adolescence pour être son successeur, est devenu rabbin presque malgré lui. Esti a nié son attirance pour les femmes et suivi les préceptes de la Torah : elle a épousé Dovid... sans cesser d'aimer Ronit. Le retour de l'enfant maudite dans ce monde replié sur lui-même va provoquer une onde de choc.

La désobéissance - Occasion

Naomi Alderman, née en 1974 à Londres, est une romancière et conceptrice de jeux vidéo britannique.

La politique de la peur est toujours la même. Ils sont facilement reconnaissables rétrospectivement. Ils sont faciles à acquiescer à l'époque.

Les utopies et les dystopies peuvent exister côte à côte, même au même moment. Le celui dans lequel vous vous trouvez dépend entièrement de votre point de vue.

L'un des défis les plus difficiles posés par le monde moderne est de savoir comment faire face à l'abondance. Il est encore plus difficile de confronter car admettre que c'est un problème semble gâté.

Si je travaille tous les jours, c'est comme pomper une pompe. Lorsque vous commencez, Rusty Water sort, puis il est clair. Je le fais même si je suis complètement coincé.

J'étais allé dans une école primaire juive orthodoxe où, chaque matin, les garçons ont dit: "Merci Dieu de ne pas avoir fait de moi une femme." Si vous mettez cela avec `` The Handmaid's Tale '' dans votre tête, quelque chose finira par devenir pétillant! Boom!

Il est difficile de décrire pourquoi une pièce et non une autre convient à l'écriture. Bien sûr, vous devez vous entraîner pour pouvoir écrire n'importe où, mais il est agréable de sentir que chaque livre a un endroit qui lui appartient, où il est à la maison.

Vous ne pouvez pas écrire une chose qui est hermétiquement scellée; Il doit y avoir un moyen pour le public de participer et de participer. Je pense que c'est une discipline massivement précieuse pour tout artiste.

J'ai toujours été un lecteur de la science-fiction et j'ai aimé beaucoup de science-fiction féministe.

J'ai obtenu ma première carte de bibliothèque, pour la bibliothèque Hendon dans le nord de Londres, à l'âge de deux ans.

Il est très facile pour un écrivain de passer beaucoup trop de temps dans sa tête.

C'est une sensation très différente d'être dans un corps gras qui se déplace beaucoup vers celui qui se déplace à peine. C'est comme l'amour. Aussi simple et aussi joyeux que ça.

J'espère vraiment que les hommes lisent «The Power» et regardent «The Handmaid's Tale» et lisent «The Handmaid's Tale».

La vérité a toujours été une marchandise plus complexe que le marché ne peut facilement emballer et vendre.

Je reçois des migraines. Je leur ai eu toute ma vie; Mon père aussi. Sa grand-mère aussi, bien qu'à l'époque, ils les ont appelés «maux de tête malades».

Les écrivains de la fiction dystopique féministe sont alertes aux réalités qui broyent la vie des femmes, qui rendent l'impensable soudainement pensable.

L'espèce continuera, quelle que soit l'apocalypse que nous parvenons à libérer. Ce ne sera tout simplement pas très amusant de vivre.

Si quelque chose est un problème, il est bon de l'admettre.

Lorsque nous apprenons à tolérer l'ennui, nous découvrons qui nous sommes vraiment.

J'aime les livres. Je veux les lire et je veux les posséder, donc ils sont toujours disponibles pour être reliés.

Je trouve la rigueur de la «culture selfie» assez ennuyeuse - je suis excité par les jeunes de prendre le contrôle de leurs propres images et de découvrir par eux-mêmes ce que Photoshop a fait pour les modèles.

Si le jeu était considéré comme un art, la question importante ne serait pas de savoir si les jeux sont bons pour nous, mais s'ils sont bons, complets.

Nous devons de toute urgence pour résoudre l'hypothèse liée à nos lois sur l'emploi et aux arrangements de garde que les femmes sont les «soignants naturels» et que les hommes ne veulent pas vraiment à faire avec leurs enfants.

Honnêtement, je ne peux pas penser à beaucoup de gestes plus romantiques qu'un accord prénuptial vraiment bien pensé.

J'ai le cerveau pour les systèmes et une tête pour les chiffres.

J'ai grandi un juif orthodoxe, et maintenant je ne suis pas un juif orthodoxe. J'ai donc de la sympathie pour les gens qui perdent leur foi.

Quelle est la liberté, en fin de compte, mais que personne ne se soucie plus d'essayer de nous retenir?

En tant que personne qui est allée à l'école dans les années 70 et 80, je ne peux pas dire que j'ai moi-même remarqué une grande partie des «médailles pour toutes».

J'ai un soupçon de verrouillage et de tout le monde qui regarde dans la même direction: c'est un trait de personnage clé en moi.

Je suis quelqu'un qui aimerait vraiment voir plus de femmes au gouvernement, mais Palin me fait grincer des dents chaque fois que j'entends parler d'elle.

Les arts sont utiles car ils augmentent notre sens de ce que signifie être humain, et non en raison de toute compétence ou capacité spécifique qu'ils confèrent.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Naomi_Alderman

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