Larry is the secular son in a family of Orthodox Brooklyn Jews. When his father dies, it's his responsibility to recite the Kaddish, the Jewish prayer for the dead, every day for eleven months.
To the horror and dismay of his sister, Larry refuses - imperilling the fate of his father's soul. To appease her, Larry hatches an ingenious if cynical plan, hiring a stranger through a website called kaddish.com to recite the prayer and shepherd his father's soul safely to rest.
This is Nathan Englander's freshest and funniest work to date - a satire that touches, lightly and with unforgettable humour, on the conflict between religious and secular worlds, and the hypocrisies that run through both.

Kaddish.com

Salué par une critique unanime et l'ensemble des écrivains américains de sa génération, ce recueil de nouvelles charrie autant de pépites d'émotion, d'humour, de tragédies et de poésie que le précédent, la maturité en plus. Nathan Englander n'est plus un jeune écrivain, il est devenu l'un des grands noms de sa génération.

Parlez-moi d'Anne Frank

Toujours hautement symboliques, immédiatement prenantes, ces nouvelles déploient les talents multiples de Nathan Englander, ses traits d'humour, son sens de la situation et du drame, son intensité tragique, son goût pour la parabole et sa plume protéiforme, toujours juste et saisissante.
Deux couples se retrouvent pour un dîner. Les femmes, de vieilles amies d'enfance, ont pris des chemins très différents : l'une, juive hassidique, vit en Israël avec son mari et ses dix enfants ; l'autre a choisi la laïcité, elle n'a qu'un enfant, adolescent. Au fil de la conversation, les langues se délient et les masques tombent, dévoilant des visages inattendus. Alors le " mari laïque " lance le jeu " Anne Frank " inventé par sa femme. Le principe : " S'il le fallait, serais-tu prêt à me cacher au péril de ta vie ? " Ce jeu dangereux redouble d'intensité lorsque la femme hassidique lit dans les yeux de son mari qu'il la dénoncerait... Salué par une critique unanime et l'ensemble des écrivains américains de sa génération, Parlez-moi d'Anne Frank charrie autant de pépites d'émotion, d'humour, de tragédies et de poésie que le précédent, la maturité en plus. " Le livre le plus réfléchi, le plus drôle, le plus courageux et le plus beau de Nathan Englander. Il regorge de trouvailles et de joyaux. "  Jonathan Safran Foer " Il faut une exceptionnelle combinaison d'humilité et de confiance morale pour faire cohabiter la finesse de la comédie et la grande tragédie avec autant de talent que Nathan Englander. "  Jonathan Franzen " Ce sont là d'authentiques chef-d'oeuvres de l'art contemporain de la forme courte. "  Michael Chabon

Kaddish Poznan chips the names off gravestones for a living, removing traces of disreputable ancestors for their more respectable kin. His wife Lillian works in insurance, earning money when people live longer than they fear. As Argentina's Dirty War unfolds around them, their sometimes hilarious misadventures are soon replaced by something much darker. A visit to the dreaded Ministry of Special Cases is only the start of Englander's stunning vision of a nation in the hold of corruption and torture, a place where absurdity, despair and hope are the end products of a bureaucracy run out of control.

The Ministry of Special cases

Un écrivain inconnu est arrêté par la police de Staline. Il découvre une gloire éphémère auprès de ses pairs, avant d'être exécuté. Un groupe de Juifs s'enfuit du ghetto. Dans le train qui les emmène vers une mort certaine, ils se déguisent en saltimbanques pour échapper à ce destin. Un protestant new-yorkais découvre brutalement sa nouvelle identité : celle d'un juif orthodoxe. Son univers intime bascule au bord de la folie. Sa femme refusant obstinément ses ardeurs, Dov Binyalin obtient du rabbin une dispense afin de trouver un plaisir coupable auprès d'une prostituée. Avec ce recueil de neuf nouvelles composées sur une palette extrêmement diverse et inventive où se côtoient le tragique et le comique, le grotesque et l'absurde, le quotidien le plus prosaïque et les mythes les plus universels, Nathan Englander se place d'emblée dans le bel héritage d'Isaac Bashevis Singer et de Saul Bellow. Dans ces pages brèves et denses, il crée un univers d'une superbe humanité, à la fois intemporel et absolument contemporain.

Pour soulager d'irrésistibles appétits

Il est si facile d'appeler quelque chose d'une histoire juive ou d'une histoire gay ou d'une histoire de femme. Esthétiquement, si une histoire n'est pas universelle, elle a échoué. Votre obligation est envers l'histoire. Une règle de manière créative et émotionnelle est son universalité.

Tout est tellement plus clair une fois qu'un monde est encadré. Peut-être que cela semble fou, mais avec l'écriture, c'est l'infini qui est limitant et le limité qui permet les véritables infinis. Une fois que tous ces éléments sont en place dans une histoire, le cerveau est vraiment libéré pour imaginer sans fin.

Vous savez, et je ne dis pas cela, je dirai que quelqu'un qui a vécu en Israël depuis longtemps, laissez-moi m'appeler quelqu'un qui a passé six ou sept ans à Jérusalem, nous n'avons plus besoin d'Américains survolant Pour réparer les choses. Ils ont besoin de le réparer. Je suis quelqu'un qui est tombé amoureux de la ville et est tombé amoureux d'un endroit, et a de grands espoirs pour tout le monde là-bas, les bonnes personnes des deux côtés.

Lorsque vous voyez «éditeur» sur un livre, il y a de nombreuses permutations de ce que ce titre peut signifier.

Votre cerveau forme une histoire et, si vous avez de la chance, il y a une ligne où l'histoire prend le contrôle du cerveau. Vous ne savez même pas ce que vous avez.

Vous passez tellement de temps en tant qu'écrivain à raconter des histoires droites et linéaires.

En tant que personne qui a vécu de nombreuses années à Jérusalem, l'un des grands avantages est que lorsque vous revenez, et que vous entrez dans ces arguments israéliens dans votre clan juif américain, vous pouvez vraiment les faire taire en disant : " J'ai vécu là.' Nous l'avons donc utilisé comme un gourdin.

Il n'y a rien de tel qu'être juif culturel. Vous êtes religieux ou vous ne l'êtes pas.

Ma mère m'a élevé très clairement que si vous traversez la rue, vous mourrez. Si vous sortez, vous mourrez. Si vous faites du sport, vous mourrez probablement. C'est ce que je rentrais chez moi.

J'ai vécu à Jérusalem avec le mont Temple comme mon site sacré. Mes voisins palestiniens vivaient à Al-Quds avec le Haram al-Sharif.

Je dirais qu'à la place d'une terreur phobique singulière, je garde toute une collection de craintes de course, mais gérables.

Pour moi, quand on écrit parfois sur un sujet très spécifique avec des personnes très spécifiques, j'ai l'impression que si cette histoire ne se traverse pas, cela ne fonctionne pas. C'est très beau pour moi, pour être assis à Berlin et il y a un acteur qui lit mon livre en allemand. Je ne sais même pas ce qui se passe, sauf que je sais ressentir mes propres rythmes dans une autre langue et dire: "Si cela se passe bien, je pense que tout le monde devrait rire maintenant." Ensuite, il y a peut-être des rires, et pour moi, cela me rappelle comment l'histoire peut se déplacer dans le monde.

La Palestine Israël, il y a des côtés infinis de chaque côté, mais si nous nous en tenons aux équipes principales, tout le monde est dans le même bateau et c'est exaspérant pour moi que les gens ne comprennent pas ce qui est dans leur meilleur intérêt.

La raison pour laquelle les gens ont peur d'écrire un journalisme et une fiction réels et honnêtes, et la raison pour laquelle les gens et les démagogues corrompus ont peur du journalisme et de la fiction et de la poésie à travers le monde, c'est parce qu'il s'agit d'une forme subversive.

Oui, il y a un moyen de penser que c'est très adapté à l'écriture. Et, bien sûr, je suis reconnaissant d'avoir grandi dans un monde rempli d'histoires.

Pour qu'un livre fonctionne ... il doit être une réalité fonctionnelle. Le personnage doit être réel, et j'imagine que c'est exactement ce qui se passe pour un espion qui est en profondeur.

Chaque nation devrait lutter avec la question de ce que signifie se défendre, ce que signifie se venger.

J'ai déménagé à New York parce que je m'épanouis là-bas.

J'ai écrit un roman, alors maintenant ils peuvent m'appeler romancier. Je raconte des histoires; c'est ça.

Vous ne pouvez pas apprendre à maudire comme un Américain.

J'adore ces livres et ces films où quelqu'un se tourne parce qu'ils sont chanqués ou qu'ils sont passés pour la promotion.

Twitter est le meilleur art pour les écrivains. Je le trouve séduisant.

Donc, écrire des histoires n'est pas plus facile par rapport à l'écriture dramatique ou à la traduction; Les histoires sont plus faciles en ligue avec eux.

Lorsque vous êtes dans un monde et que vos parents sont un moyen, et on vous dit: «C'est comme ça que le monde entier est, et c'est comme ça que vous êtes censé être», et vous êtes terriblement malheureux dans monde, c'est une chose très effrayante.

Je suis un peu amoureux de mon agent de théâtre. Je suis un vrai naïf sur le théâtre, un total innocent.

Philip Roth a eu une énorme influence sur moi. Les premiers livres que j'ai lus dans mes adolescents et les vingt ans.

Chaque livre est vulnérable, et chaque livre est angoissant, mais je n'ai jamais été aussi excité et terrifié d'avoir un livre dans le monde. C'est un sujet expressément chargé, sur lequel vous ne pouvez pas gagner.

Je pense en rond; Je parle en rond. Je démêle mes pensées de cette façon.

J'avais choisi de consacrer ma vie à l'écriture, et je me suis demandé: "Si vous écrivez toute votre vie et que personne ne voit un mot, est-ce un écrivain que vous mourrez?"

Je suis un Américain de cinquième génération, mais dès mon jeune âge, je suis allé à Yeshiva. J'ai passé 12 heures par jour avec des rabbins, et je pense au yiddish. À ce jour, je dois revenir en arrière et démêler mon écriture et le polir pour que tout le monde ne ressemble pas à une vieille femme juive.

Ses oeuvres

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