This beautiful Sonata for alto saxophone and piano by the ECHO Klassik Award winner Raaf Hekkema is a valuable addition to the saxophone repertoire. The piece is an arrangement of Niccolò Paganini's Quartet No. 15 in A minor (originally scored for violin, viola, violoncello and guitar). Instrumentation : alto saxophone in Eb and piano

Edition Schott

Raaf Hekkema, niederlÃ¤ndischer Saxophon-Virtuose, hat die berÃ¼hmten 24 Capricci op. 1 von Niccolï¿½ Paganini fÃ¼r Saxophon solo bearbeitet - je nach Lage fÃ¼r Sopran- oder Alt-Saxophon. FÃ¼r die CD-Einspielung der Bearbeitungen bei MDG bekam Hekkema 2007 den Echo Klassik Award in der Kategorie "Instrumentalist des Jahres" verliehen.Schwierigkeitsgrad: 5-6

Paganini for Saxophone - 24 Capricci. op. 1. soprano- or altosaxophone solo.

Le 12 décembre 1829, Paganini a écrit à son ami Germi: "Les variations que j'ai composées sur la grâce napolitaine gracieuse", oh maman, maman cara, "surpasse tout. Je ne peux pas le décrire!" Il écrivait de Karlsruhe, au milieu de sa tournée triomphale à travers l'Allemagne. Cette lettre marque la première mention connue des variations qui deviendraient célèbres comme «le carnaval de Venise». Au moment de sa lettre, Paganini avait déjà interprété la pièce dans au moins quatre concerts. À partir de ce moment, ce serait l'une de ses compositions les plus populaires.

Lorsque j'atteignis ma septième année, mon père, dont l'oreille n'était pas musicale mais qui aimait passionnément la musique, me donna mes leçons élémentaires de violon ; en quelques mois, j'étais capable de jouer à vue toutes sortes de compositions.

A Vienne, un des spectateurs affirma publiquement que ma prestation n'était pas surprenante, car il avait distinctement vu, pendant que je jouais mes variations, le diable à mon coude, dirigeant mon bras et guidant mon archet. Ma ressemblance avec le diable était une preuve de mon origine.

Les variations que j'ai composées sur la grâce napolitaine gracieuse, «Oh maman, maman cara», dépasse tout. Je ne peux pas le décrire

Pour en déplacer les autres, je dois être déplacé.

J'adore la guitare pour son harmonie; C'est mon compagnon constant dans tous mes voyages.

Je ne suis pas beau, mais quand les femmes m'entendent jouer, elles viennent ramper sur mes pieds.

Lors d'un grand service du soir dans une église, mon concerto a créé un tel tollé que les fidèles se sont précipités pour faire taire la foule à l'extérieur de l'église.

Le violon est ma maîtresse, mais la guitare est mon maître.

Maintenant, je suis un génie; Avant cela, j'étais un corde.

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