This volume is the first book-length study devoted to gossip in early modern France. Whereas many works that focus on other countries and periods have concentrated on the relationship between gossip and women, none has explored the crucial link between gossip and same-sex desire. Using material that has never been published before and touching on different social spheres, from valets to the immediate circle of Louis XIV, the author reveals a world radically different from the traditional image of France under the reigns of Louis XIII and Louis XIV. An in-depth analysis of the theory and practice of gossip is followed by an examination of songs, poems, memoirs, letters and anecdotes from the time, bringing the milieu of what was known as ‘the Italian vice' vividly to life. The book concludes by bringing these insights on gossip to a refreshing new reading of one of the period's groundbreaking novels, Marie-Madeleine de Lafayette's La Princesse de Clèves.

Gossip, Sexuality and Scandal in France (1610-1715)

En quoi Alexandre a-t-il été " grand " ? Faire apparaître les nombreux domaines où il a mérité son surnom, voilà une tâche passionnante pour un historien, et le Professeur Nicholas Hammond s'y est attaché avec un enthousiasme solidement fondé sur son incomparable compétence de spécialiste. Ses vastes connaissances, minutieusement étayées, et ses talents d'analyste critique des auteurs anciens - Diodore, Justin, Quinte-Curce, Plutarque, Arrien... - l'autorisent à faire preuve d'une discrimination raisonnée (comme jamais auparavant) parmi les épisodes plus ou moins romancés qui émaillent les récits haut en couleur que l'épopée d'Alexandre a inspirés : quelles anecdotes lui paraissent-elles relever de l'hagiographie ou de la légende, et lesquelles pouvons-nous considérer comme fiables ? L'essentiel des raisons qui motivent les options retenues par l'auteur est ici exposé. Comme chef suprême d'une armée multiraciale, Alexandre a été et reste encore de nos jours d'une stature inégalée. Comme homme d'État, il a commencé à créer les conditions d'une première " mondialisation " où la paix et la prospérité profiteraient à chacun de ses sujets : c'est sur le dépassement du racisme et du nationalisme qu'il a voulu fonder un royaume qui, faute de regrouper tout l'oikoumenê (les terres habitées) de son époque, comme il en avait le projet, s'est étendu de sa Macédoine natale jusqu'aux frontières du Cachemire. Son intelligence et son charisme ont tellement fasciné ses ennemis que la plupart d'entre eux, après leur soumission, ont loyalement servis dans son armée ou son administration et lui ont façonné une légende. Nous avons encore aujourd'hui beaucoup à apprendre du génie de cet homme qui mourut à trente-deux ans en ayant déjà tant réalisé.

Le Genie D'Alexandre Le Grand

Nicholas Hammond est un acteur et scénariste américain, né le 15 mai 1950 à Washington D.C, District of Columbia, aux États-Unis.
Il est mondialement connu pour avoir été le premier acteur à incarner en chair et en os le super héros Peter Parker / Spider-Man à la télévision dans les années 70.

Il ne peut pas avoir d'amis et maintenir son identité secrète en tant que Spider-Man. Il ne peut même pas avoir une vie sexuelle normale. C'est un héros national, mais c'est un reclus. Il est instantanément reconnu par le public, mais il ne peut pas dire à quiconque il est.

Lorsque vous y pensez, un essai ne concerne pas vraiment la vérité, c'est ce que Barrister est mieux pour persuader ces 12 personnes de croire leur histoire.

Mon agent m'a conseillé de quitter l'entreprise. Il m'a dit que si je continuais à jouer, je faisais face à quelques mauvaises années et je ne fonctionnerais probablement pas beaucoup.

Si Spider-Man devait apparaître au 90e étage de l'Empire State Building, l'équipage prendrait l'ascenseur, ouvrait la fenêtre et disait: "Ok, Nicholas, vous allez!" Il n'y avait pas de trucs ni d'effets informatiques.

J'ai tout commencé, j'ai créé le rôle de Peter Parker.

Vous pouvez faire un spectacle avec beaucoup de scénarios. Vous pouvez l'emporter avec des problèmes. Les gens continueront.

L'Autriche a été le dernier pays d'Europe à avoir jamais mis le spectacle sur scène de «The Sound of Music».

J'avais le béguin pour Liesl - Charmian - elle était si belle. Dieu, ces merveilleux et beaux yeux bleus. J'étais tellement plus jeune qu'elle, j'avais 13 ans, elle avait 20 ans, une adulte. Je l'adorais.

J'ai vécu toute la révolution étudiante et la dernière chose que vous vouliez, c'est que les gens pensent que vous étiez Friedrich von Trapp.

C'est vraiment dur pour les pauvres clochards de dérapage. Ils reçoivent le choc de leur vie. Ils y sont, allongés paisiblement dans la gouttière, ne dérange personne, et ils levèrent et voient un homme dans un costume d'araignée rouge et bleu passer. Il suffit de les faire faire du wagon.

À l'époque, si vous vouliez que quelqu'un monte sur le côté d'un bâtiment, il devait mettre un harnais et un câble et vraiment grimper le bâtiment! Pour ce que c'était, il avait un certain charme.

Je n'avais aucune intention de devenir acteur.

Il y a un mythe sur Internet que j'ai peur des hauteurs. Je ne sais pas d'où cela vient, mais ce n'est pas vrai.

J'ai reçu un message que Quentin Tarantino aimerait me rencontrer, qu'il était un fan de Spider-Man et voulait parler de jouer à Peter Parker. Nous avons eu une conversation générale, une conversation ringarde sur Hollywood dans les années 1960 et 1970.

J'étais le tout premier Spider-Man, et c'était cool d'être lui.

C'est amusant, comme agir toujours. Où peut-on se livrer à ses fantasmes les plus fous dans le cadre du travail?

Je n'aime pas aller plus de deux ans sans apparaître sur scène.

Ce que j'aime le plus dans la série, c'est que les histoires traitent de 75% du temps avec les problèmes de Peter Parker, un jeune homme normal et banal lorsqu'il n'est pas sorti de la criminalité.

Quand je suis arrivé en Californie, les quatre premières parties que j'ai faites étaient des étudiants de Stanford. Je pense que je devrais obtenir un diplôme honorifique de leur part.

Je suis plus sûr d'être avec quelqu'un de plus célèbre que moi.

C'est très agréable lorsque vous vérifiez un vol et que la personne derrière le bureau améliore soudainement votre siège pour vous, puis vous remet en arrière le laissez-passer et dit: "C'est mon film préféré."

Je connais bien le von trapps. Je les connais depuis de nombreuses années et ils sont très réticents à laisser quelqu'un sur leur propriété ou à laisser quelqu'un les filmer. Ils obtiennent constamment des demandes du monde entier pour faire des émissions à leur sujet ou faire des reportages et ce sont des gens très privés.

Le génie de Rodgers et Hammerstein est que leurs chansons font partie de l'ADN du public.

Ted Danson était merveilleux, des années avant «Cheers».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Hammond

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