Nora Fatehi née le 6 février 1992 à Toronto au Canada,, est une danseuse, mannequin, actrice, chanteuse et productrice canado-marocaine connue pour son travail dans l'industrie cinématographique indienne.

Quand je n'auditionne ni ne rencontre des gens, je m'apprends à danser.

Tous les grands acteurs sont maintenant à la télévision, et tous les grands acteurs sont venus de la télévision. C'est une excellente plate-forme.

Si une émission vient et que le contenu est génial, je ne dirais jamais non à agir à la télévision.

Faire un remake d'une chanson emblématique est toujours époustouflant parce que vous ne savez jamais si vous pouvez réellement y rendre justice.

Je voulais vraiment emmener «Dilbar» en Afrique et au Moyen-Orient en arabe parce que c'était aussi un moyen parfait de me lancer.

Je tiens à travailler dans des histoires et des drames romantiques.

J'ai fait beaucoup de choses folles dans ma vie, et je ne regrette rien.

J'ai toujours aimé danser et je m'entraîne dedans. J'essaie de perfectionner mes compétences chaque fois que j'en ai l'occasion.

J'ai toujours voulu participer à quelque chose où je peux montrer mon talent, mes capacités et aussi atteindre un public de masse. Tout le monde regarde «Bigg Boss».

Je suis très fidèle à «Bigg Boss» car c'est une très grande plate-forme.

Delhi bourdonne, bourdonnant, bourdonnant. Il y a toujours quelque chose à faire.

La combinaison de moi et de Raftaar partageant un espace d'écran ensemble est en soi le feu!

La musique et la danse sont universelles, et je veux briser les frontières et représenter.

Je peux dire pour un fait, le football est définitivement mon sport, et j'ai hâte de montrer au monde ce que je peux faire.

L'Inde m'arrive par hasard. C'est dans mon destin. Dès que j'ai atterri ici, il ne m'a fallu que 4 mois pour savoir exactement pourquoi j'étais ici et ce qui avait destiné à faire ici.

Dans «Bigg Boss», le rétro-mordant est inévitable. Cela fait partie du jeu, et il n'y a rien de mal à ce sujet.

Jouer devant la caméra est une chose différente, et tourner un film entier en est une autre.

Étant sportif dans l'âme, je voulais apprendre le football depuis que je suis enfant. Mais je n'ai jamais eu l'occasion parce que, en grandissant, ma famille n'avait pas les finances des activités parascolaires.

C'est un moment passionnant de ma carrière pour faire partie d'un énorme projet comme «Bharat».

Quand on m'a dit que la fille que je joue dans la chanson «Kamariya» proviendrait de Bhopal et très rurale mais avec du foutre, j'étais prêt pour le défi et je me sentais vraiment extatique que je portais un look entièrement nouveau.

Mon premier amour agit, mais la danse me vient naturellement.

Si vous avez un point de vue concernant mon style de travail, gardez-le pour vous. Vous n'avez pas le droit d'exprimer votre opinion.

Je pense vraiment que 2018 est mon année.

Bien sûr, vous ne pouvez pas comparer mon hindi avec une personne de langue hindi, mais je suis assez confiant pour organiser une conversation en hindi-anglais mixte.

Il y a beaucoup de très bons films punjabi avec un grand contenu concernant le drame familial, la romance et l'histoire.

Pour moi, mon travail, ma famille et mes fans sont les plus importants; Le repos est juste là.

Je ne me suis jamais senti comme un étranger dans l'industrie.

Je crois que, dans notre industrie, la surexposition a tendance à créer des problèmes pour les artistes, donc heureusement, j'ai été exposé mais pas surexposé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nora_Fatehi

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