Norman Alexander MacCaig est un poète écossais né à Édimbourg le 14 novembre 1910 et mort à Édimbourg le 23 janvier 1996.

Et certains poètes sont bien mieux lus sur la page parce qu'ils sont de très mauvais orateurs. Je pense à un en particulier que je ne nommerai pas, un bon poète, et il lit d'une manière si sèche, si ennuyeuse, qu'on a les yeux qui tombent.

Je trouve qu'il m'est impossible de lire Proust.

J'ai appris des mots, j'ai appris des mots; Mais la moitié des personnes par manque d'exercice. Et ceux que j'utilise regardent Mewith un regard qui murmure, menteur.

Tous ces auteurs là, dont la plupart bien sûr je n'ai jamais rencontré. C'est le côté poésie, c'est le côté prose, c'est la pêche et le divers derrière moi. Vous obtenez une affection pour les livres que vous avez appréciés.

Cependant, j'ai appris quelque chose. Je pensais que si le jeune, l'étudiant, a de la poésie en lui, leur offrir de l'aide, c'est comme offrir une hélice à un oiseau.

J'avais un grand amour pour Dostoyevsky et Tolstoï, les grands garçons du siècle dernier.

Ce qui est terrible quand on vieillit, c'est que vos amis commencent à mourir, et au cours des dix dernières années, j'ai perdu sept ou huit de mes proches.

Quiconque écrit n'aime pas être mal compris.

Et s'ils n'ont pas de poésie en eux, vous ne pouvez rien faire qui le produira.

Et il m'est impossible de lire Henry James.

Et d'une certaine manière, cela m'a aidé, parce que je prends de grandes passions pour un poète en particulier - parfois cela dure de nombreuses années, parfois seulement pendant un certain temps. Cela arrive à tout le monde.

Je ne pense jamais à la poésie, sauf quand je l'écris. Je veux dire ma poésie.

Le paysage est ma religion. ... Dieu dans une légende verte, je me penche sur la piscine dans un témoignage des feuilles. Je suscite mon humeur scintillante devant moi dans une grotte fraîche couverte avec des branches et étouffée avec une peau d'eau.

Je suis très grégaire, mais j'aime être dans les collines par moi-même.

Quand je parle d'entendre la voix d'un poète, je pense toujours comme en présence de l'homme.

Mais je m'accroche aux livres. Je les aime. Je pense même que ce sont un très beau décor dans une pièce - bien mieux que les peintures ... ce n'est pas tout à fait vrai!

Tout ce que j'écris, c'est ce qui m'est arrivé, ainsi qu'aux personnes que je connais, et mieux je les connais, plus il y a de chances qu'elles fassent l'objet d'un article.

Mais vous auriez un travail pour trouver bon nombre de mes poèmes qui sembleraient être très influencés par une personne en particulier.

Je ne garde que des livres que j'aime beaucoup. Sinon, je les jetterais.

C'est comme insuffler et sortir pour moi. C'est comme avoir une conversation avec quelqu'un qui n'est pas là. Parce qu'il doit être adressé à quelqu'un - pas une personne en particulier, ou très rarement.

Eh bien, j'adore la pêche. Je ne tuerais pas moi-même une mouche mais je n'hésite pas à tuer un poisson. Beaucoup d'hommes sont comme ça. Pas la peine. Vous venez. Cogner. Et ce n'est pas la seule raison.

Quand on m'a demandé d'être écrivain en résidence à Édimbourg, je pensais, vous ne pouvez pas enseigner la poésie. C'est ridicule.

Je me fiche de savoir si un livre est une première édition ou non. Je ne suis pas un bibliophile dans le sens naturel de ce mot.

En fait, beaucoup d'entre eux, je pense, sont des balises absolues. Ces Charles Olsens et des gens comme ça. Au début, j'étais intéressé à voir ce qu'ils faisaient, ce qu'ils faisaient, pourquoi ils le faisaient. Ils ne m'ont jamais ému de la manière dont l'on est ému par la vraie poésie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Norman_MacCaig

Ses oeuvres