The Book of Tea describes all aspects of the Japanese tea ceremony and explains how its rituals blend seamlessly with traditional Japanese life. Part of the Macmillan Collector's Library; a series of stunning, clothbound, pocket-sized classics. These beautiful books make perfect gifts or a treat for any book lover. This edition has an afterword by Anna Sherman and delightful illustrations by Sayuri Romei. This short book, written in English by a Japanese scholar and artist, was first published in 1906 at a time when Japan was opening up to Western culture. In response to that, Okakura Kakuzo set out to explain the beauty and simplicity of Japanese daily life which was greatly inspired by teaism. He describes in detail the different aspects of the tea ceremony, how it was founded, the role of the tea masters, the architecture of the tea-room and the stages of making and serving the tea. He then goes on to explain the connection between Taoism and Zennism with tea and he also writes chapters on art appreciation and the art of flower arranging.

The Book of Tea

Le livre du thé

Okakura Kakuzō (岡倉覚三, né le 14 février 1862 et mort le 2 septembre 1913), également connu sous le nom Okakura Tenshin (岡倉天心), ou simplement Okakura, est un érudit japonais ayant contribué au développement des arts japonais en étant à l'initiative du mouvement nihonga. Il est l'auteur du célèbre livre Le Livre du thé.

La vraie beauté ne pouvait être découverte que par celle qui complète mentalement l'incomplet.

La philosophie du thé n'est pas une simple esthétisme ... car elle exprime conjointement à l'éthique et à la religion tout notre point de vue sur l'homme et la nature. C'est l'hygiène, car il applique la propreté; C'est l'économie, car cela montre le réconfort dans la simplicité plutôt que dans le complexe et le coût; C'est la géométrie morale, dans la mesure où elle définit notre sens de la proportion avec l'univers.

La perfection est partout si nous choisissons de le reconnaître.

Dans notre langage commun, nous parlons de l'homme "sans thé" en lui, quand il est insistable aux intérêts sério-comiques du drame personnel.

Le thé a commencé comme un médicament et est devenu une boisson.

La virilité d'une idée ne consiste pas moins dans sa puissance à créer un passage à travers la pensée contemporaine que dans sa capacité à dominer les mouvements futurs.

Dans le culte de Bacchus, nous avons sacrifié trop librement ... Pourquoi ne pas nous consacrer à la reine des camélias, et nous délecter du flux chaleureux de sympathie qui coule de son autel? Dans l'ambre liquide à l'intérieur de l'ivoire-porcelaine, les initiés peuvent toucher la douce réticence de Confucius.

Le thé avec nous est devenu plus qu'une idéalisation de la forme de consommation d'alcool; C'est une religion de l'art de la vie. La boisson est devenue une excuse pour le culte de la pureté et du raffinement, une fonction sacrée à laquelle l'hôte et l'invité se sont joints pour produire pour cette occasion la plus grande béatitude du banal.

Les anciens sages ne mettent jamais leurs enseignements sous une forme systématique. Ils ont parlé dans des paradoxes, car ils avaient peur de prononcer des demi-vérités. Ils ont commencé par parler comme des imbéciles et ont terminé par rendre leurs auditeurs sages.

Fain, nous resterons des barbares, si notre revendication de civilisation devait être basée sur la gloire horrible de la guerre.

L'art d'aujourd'hui est ce qui nous appartient vraiment: c'est notre propre réflexion. En le condamnant, nous nous condamnons, mais nous nous condamnons.

Le premier homme de la préhistoire qui composa un bouquet de fleurs fut le premier à quitter l'état animal ; il comprit l'utilité de l'inutile.

Les soucis fondaient lorsque vous vous agenouillez dans votre jardin.

Le théisme est un culte fondé sur l'adoration du beau parmi les faits sordides de l'existence quotidienne. Il inculque la pureté et l'harmonie, le mystère de la charité mutuelle, le romantisme de l'ordre social.

L'art de la vie réside dans un réajustement constant de notre environnement.

La toile sur laquelle l'artiste peint est l'esprit du spectateur.

Un jardin est un ami que vous pouvez visiter à tout moment.

La traduction est toujours une trahison, et comme l'observe un auteur Ming, ne peut être que le meilleur à l'arrière d'un brocart - tous les fils sont là, mais pas la subtilité de la couleur ou du design.

Le thé ... est une religion de l'art de la vie.

Rêvons l'évanescence et nous attardons dans la belle folie des choses.

Pendant ce temps, faisons une gorgée de thé. La lueur de l'après-midi éclaircit le bambou, les fontaines bouillonnent de joie, la cheville de pins est entendue dans notre bouilloire. Rêvons l'évanescence et nous attardons dans la belle folie des choses.

Ceux qui sont incapables de sentir en eux-mêmes la petitesse des grandes choses sont mal préparés à discerner la grandeur des petites choses chez les autres.

Qui cherche la perfection doit découvrir dans sa propre vie le reflet de sa lumière intérieure.

En joie ou en tristesse, les fleurs sont nos amis constants.

Nous nous réfugions avec fierté, car nous avons peur de nous dire la vérité.

Notre esprit est la toile sur laquelle les artistes posent leur couleur; Leurs pigments sont nos émotions; Leur chiaroscuro la lumière de la joie, l'ombre de la tristesse. Le chef-d'œuvre est de nous-mêmes, comme nous sommes du chef-d'œuvre.

Le thé est plus qu'une idéalisation de la forme de consommation d'alcool; C'est une religion de l'art de la vie.

Le thé est une œuvre d'art et a besoin d'une main maître pour faire ressortir ses qualités les plus nobles. Nous avons de bons et de mauvais thés, car nous avons de bonnes et de mauvaises peintures - généralement ce dernier.

Ceux qui ne peuvent pas ressentir la limite de grandes choses en soi sont susceptibles de négliger la grandeur des petites choses chez les autres.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Okakura_Kakuz%C5%8D

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