Die Steuer ist beinahe das einzige Gebiet, an das sich eine höhere Betrachtungsweise nie herangewagt hat. Es scheint, daß es sich hier um das Alltäglichste handelt, daß lediglich Geldeingänge eine Rolle spielen, die dem geschäftlichen Leben entzogen werden, gleichviel wie und wo. Die Finanzwissenschaft beschränkt sich auf den Vorgang selbst und seine Technik, und trotzdem gibt es eine Philosophie des Steuerwesens; man muß sie nur zu sehen wissen.

Das Problem hat eine sittliche und eine sachliche Seite. Solange man es ausschließlich als Aufgabe eines Amtes oder der parteipolitischen Taktik behandelt, also nur die Höhe des Bedarfs oder die Auswahl der Opfer ins Auge fasst, kommen beide zu kurz. Wirtschaftsleben und Pflichtbewusstsein werden gleichmäßig bedroht und damit endlich auch der praktische Zweck verfehlt. In allen Ländern der Welt steht heute der Reinertrag der Steuern in gar keinem Verhältnis zu den Erhebungskosten, der Erbitterung und der Schädigung des wirtschaftlichen und sozialen Lebens.

Gegen den Steuerbolschewismus

L'auteur du Déclin de l'Occident esquisse dans ce livre une évolution de l'espèce humaine depuis son origine et étudie les phases différentes de la technique jusqu'à l'avènement et la dissolution de la culture machiniste. Oswald Spengler tente de montrer que les privilèges dont jouissent les Blancs vont leur être ravis par les peuples du tiers monde qui se serviront de la technique comme d'une arme contre la civilisation occidentale. On peut toujours discuter les prophéties de Spengler, mais on reste frappé par la rigueur d'un raisonnement implacable et par la synthèse puissante de l'histoire de l'humanité qu'il propose.

L'homme et la technique

«Existe-t-il une logique de l'histoire ? Y a-t-il, par-delà tout le fortuit et tout l'imprévisible des événements particuliers, une structure pour ainsi dire métaphysique de l'humanité qui soit essentiellement indépendante de tous les phénomènes visibles, populaires, spirituels et politiques de la surface ? Qui soit au contraire la cause première de cette réalité de second ordre ? Est-ce que les grands traits de l'histoire universelle n'apparaissent pas toujours au regard du clairvoyant sous une forme qui autorise des déductions ? Et dans l'affirmative, à quoi se réduisent ces déductions ? Est-il possible dans la vie même - car l'histoire humaine est l'ensemble des immenses courants vitaux que l'usage linguistique, pensée ou action, assimile déjà sans le vouloir, comme en étant la personne et le moi, à des individus, d'ordre supérieur appelés antiquité, culture chinoise ou civilisation moderne - de trouver les degrés qu'il faut franchir et de les franchir dans un ordre qui ne souffre point d'exception ? Peut-être les concepts de naissance, de mort, de jeunesse, de vieillesse, de durée de la vie, qui sont à la base de tout organisme, ont-ils à cet endroit un sens strict que nul n'a encore pénétré ? En un mot, y a-t-il, au fond de tout ce qui est historique, des formes biographiques primaires et universelles ? Le déclin de l'Occident, phénomène d'abord limité dans l'espace et le temps, comme le déclin de l'antiquité qui lui correspond, est, on le voit, un thème philosophique qui, si on l'entend dans sa gravité, implique en soi tous les grands problèmes de l'être.» Oswald Spengler.

Le déclin de l'Occident I et II ; esquisse d'une morphologie de l'histoire universelle

Oswald Spengler, né le 29 mai 1880 à Blankenburg (Harz) en Saxe-Anhalt et mort le 8 mai 1936 à Munich (Bavière), est un philosophe allemand. Après des débuts comme professeur de lycée à Hambourg, il se consacra exclusivement à son travail d'essayiste. Son œuvre majeure, Le Déclin de l'Occident, rédigée avant la Première Guerre mondiale mais dont la première partie ne fut publiée qu'en 1918, lui valut une célébrité mondiale. En Allemagne, il devint l'un des auteurs phares de la « révolution conservatrice » qui s'opposa à la république de Weimar.

Le secret de toute victoire réside dans l'organisation des non-évidents.

Tension sans pulsation cosmique pour l'animer est la transition vers le néant

C'est la fin de la ville qui défie d'abord la terre, contredit la nature dans les lignes de sa silhouette, nie toute la nature. Il veut être quelque chose de différent et supérieur à la nature. Ces pignons aigus, ces coupoles baroques, les flèches et les pinacles, ni le désir d'être, liés à quoi que ce soit dans la nature. Et puis commence la gigantesque Megalopolis, la ville en tant que monde, qui ne souffre rien de côté et se lie sur l'annihilation de l'image du pays.

Lorsque la pensée ordinaire d'un peuple très cultivé commence à considérer «avoir des enfants» comme une question de pro et de con, le grand tournant est venu.

L'histoire de l'Europe occidentale est un destin voulu, celle de l'Inde un destin fortuit.

Un chef résolu qui rassemble autour de lui dix mille aventuriers peut faire ce qu'il veut. Si le monde entier n'était qu'un seul Imperium, il deviendrait ainsi simplement le champ maximal imaginable pour les exploits de ces héros conquérants.

Le génie politique d'une foule n'est que la confiance dans le commandement.

Nous avons appris que l'histoire est quelque chose qui ne fait pas remarquer quelles que soient nos attentes.

À la place d'un monde, il y a une ville, un point, dans lequel toute la vie des régions générales se rassemble pendant que le reste sèche. À la place d'un peuple de type, né et cultivé sur le sol, il y a une nouvelle sorte de nomade, cohérente instable dans les masses fluides, le citadin parasite, sans tradition, tout à fait fact , profondément méprisant envers le compatriote et surtout cette forme la plus élevée de compatriote, le gentleman du pays.

Et les nationaux socialistes croient qu'ils peuvent se permettre d'ignorer le monde ou de s'y opposer, et de construire leurs châteaux en l'air sans créer une réaction probablement silencieuse mais très palpable de l'étranger.

L'homme cultivé a son énergie dirigée en dedans, le civilisé en dehors.

Nous n'avons pas choisi cette fois. Nous ne pouvons pas l'aider si nous sommes nés en tant qu'hommes du début de l'hiver de la civilisation complète, plutôt que sur le sommet d'or d'une culture mûre, dans un phidias ou un mozart. Tout dépend de notre vue de notre propre position, de notre destin, clairement, de notre réalisation que bien que nous puissions nous mentir à ce sujet, nous ne pouvons pas l'échapper. Celui qui ne reconnaît pas cela dans son cœur, cesse d'être compté parmi les hommes de sa génération, et reste soit un simplet, un charlatan ou un pédante.

Il y a très longtemps, le pays a porté la ville de campagne et l'a nourri avec son meilleur sang. Maintenant, la ville géante suce le pays à sec, insatiablement et sans cesse exigeant et dévorant de nouveaux flux d'hommes, jusqu'à ce qu'il se lasse et meurt au milieu d'un gaspillage de pays presque inhabité.

Si vous êtes assez intelligent pour comprendre ce que les hommes veulent, vous êtes soit trop sage pour les épouser ou trop intimidant pour qu'ils vous épousent.

Je maintiens qu'aujourd'hui beaucoup d'inventeur, beaucoup de diplomate, de nombreux financiers sont un philosophe plus solitaire que tous ceux qui pratiquent le métier terne de la psychologie expérimentale.

Chaque culture traverse les phases évolutives de l'homme en particulier. Chacune a son enfance, sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse.

Si peu peuvent supporter une longue guerre sans détérioration de l'âme, aucune ne peut supporter une longue paix.

On ne peut pas apprendre à être créatif en lisant Marx. Soit un est créatif, soit un ne l'est pas.

La théologie chrétienne est la grand-mère du bolchevisme.

Chaque épidémie socialiste n'allume que de nouvelles voies pour le capitalisme.

Je maintiens que beaucoup d'inventeur, beaucoup de diplomate, beaucoup de financiers sont un philosophe plus solitaire que tous ceux qui pratiquent le métier terne de la psychologie expérimentale.

Enfin, à l'aube grise de la Civilisation, le feu de l'Âme s'éteint. Les pouvoirs décroissants s'élèvent à un autre effort de création, à moitié réussi, et produisent le classicisme qui est commun à toutes les cultures mourantes. L'âme repense, et dans le romantisme revient pitoyablement sur son enfance ; puis enfin, fatiguée, réticente, froide, elle perd son désir d'être et, comme dans la Rome impériale, se souhaite hors de la lumière du jour trop longue et retourne dans les ténèbres du protomysticisme dans le ventre de la mère dans la tombe.

La philosophie, l'amour de la sagesse, est en tout en bas de la défense contre l'incompréhensible.

Chaque action modifie l'âme de l'office.

Lorsque l'Anglais parle de richesse nationale, il signifie le nombre de millionnaires dans le pays.

L'histoire est cette forme que son imagination cherche à comprendre l'existence vivante du monde par rapport à sa propre vie, qu'il investit ainsi avec une réalité plus profonde.

On ne réfléchit pas à un point d'honneur - c'est déjà déshonore. Soumettre à l'insulte, oublier une humiliation, à caler devant un ennemi - tous les signes d'une vie deviennent sans valeur et superflus.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Oswald_Spengler

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