From the bestselling and prize-winning author Paddy Ashdown, a revelatory new history of German opposition to Hitler from 1935 - 1944

 In his last days, Adolf Hitler raged in his bunker that he had been betrayed by his own people, defeated from the inside. In part, he was right. By 1945, his armies were being crushed on all fronts, his regime collapsing with many fleeing retribution for their crimes. Yet, even before the war started, there were Germans very high in Hitler's command committed to bringing about his death and defeat.

 Paddy Ashdown tells, for the first time, the story of those at the very top of Hitler's Germany who tried first to prevent the Second World War and then to deny Hitler victory. Based on newly released files, the repeated attempts of the plotters to warn the Allies about Hitler's plans are revealed. Key strands to the book's narrative lie with the actions of Abwehr head Admiral Wilhelm Canaris to frustrate Hitler's policies once the war had started; the plots to kill Hitler and, finally the systematic passage of key German military secrets to London, Washington and Moscow through MI6, the OSS (fore-runner to the CIA) and the "Lucy Ring" Russian spy network based in Switzerland. From 1943 onwards, concerted efforts were made to strike a separate peace with the West to shorten the war and prevent eastern Europe falling under the Soviet yoke.

 What is revealed is that the anti-Hitler bomb plots, which have received so much attention are, in fact only a small part of a much wider story; one in which those at the highest levels of the German state used every means possible - conspiracy, assassination, espionage - to ensure that, for the sake of the long-term reputation of their country and the survival of liberal and democratic values, Hitler could not be allowed to win the war. It is a matter of record that the European Union we have today and the nature and central position of Germany within it, is, in very large measure, the future envisaged by the plotters and for which they gave their lives.

Nein! - Standing up to Hitler 1935–1944

Début 1941 : des groupes de militaires, d'hommes politiques et d'intellectuels échafaudent chacun de leur côté des plans de résistance à grande échelle sur le plateau du Vercors. De tous horizons politiques et sociaux, ces hommes sont unis par des objectifs communs : vaincre l'occupant, restaurer la fierté de la France et faire du Vercors le lieu de naissance d'une nouvelle République. Grâce aux armes et aux agents parachutés par les Alliés, ils devront se soulever le jour du Débarquement afin de détourner les Allemands des plages de Normandie. Mais sitôt passés à l'action ils sont abandonnés et laissés seuls face à la puissance de l'armée allemande : quatre mille cinq cents jeunes maquisards mal équipés face à douze mille Allemands lourdement armés. Ce livre retrace le parcours héroïque de ces maquisards du Vercors, depuis l'idéalisme des débuts et les premières erreurs de jugement, jusqu'à la trahison des états-majors et au désespoir des combattants pour finir dans un des pires massacres de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, après une écrasante défaite initiale, les survivants, aussi inexpérimentés, mal dirigés, sous-armés et submergés par le nombre qu'ils soient, parviennent à se réfugier dans la forêt. Traqués par l'ennemi, affamés, ils trouvent les ressources pour riposter et transformer une défaite quasi certaine en une victoire finale. Cette histoire est celle de la plus grande bataille livrée par la Résistance durant toute la guerre et celle des représailles les plus brutales jamais infligées par les Allemands en Europe occidentale. C'est une histoire d'hommes aux proportions épiques.

La Bataille du Vercors - Une amère victoire

Jeremy John Durham Ashdown, plus connu sous le nom de Paddy Ashdown, né le 27 février 1941 à New Delhi et mort le 22 décembre 2018, baron Ashdown de Norton-sub-Hamdon, est un homme politique britannique.
Ancien « haut-représentant » des Nations unies en Bosnie-Herzégovine entre le 27 mai 2002 et le 31 janvier 2006, il était aussi haut-représentant spécial de l'Union européenne pour ce pays.
Lord Ashdown est un linguiste, il parle, entre autres, couramment mandarin.

On m'a dit qu'il y aurait des émeutes dans les rues, mais il n'y avait pas d'émeutes.

Lors des prochaines élections, il offrira au public britannique une alternative qui fournit du poids, de la substance et de la gravité dans un débat politique qui est, franchement, de plus en plus obsédé par la modishness et le flim-flam.

La façon généreuse de le dire est que nous n'étions pas prêts pour cela. La manière la moins généreuse est de dire: Comment était-il possible de revenir à la politique de l'apaisement des années 1930?

La coalition viendra tôt ou tard, j'en suis certain.

Mon deuxième emploi a été d'essayer d'utiliser mon pouvoir pour créer des institutions d'un État moderne qui pourraient entrer dans l'Union européenne, et il y avait très peu de temps. La porte se fermait et je voulais traverser la Bosnie avant de fermer.

À l'ère moderne où tout est lié à tout, la chose la plus importante de ce que vous pouvez faire est ce que vous pouvez faire avec les autres.

Cela fonctionne dans les deux sens: il y a des victimes de tragédie qui viennent à moi qui ont connu un chagrin d'une telle ampleur qu'ils ne peuvent pas réconcilier. De même, je ne peux pas changer la mentalité de ceux qui ont commis les crimes ou les imbéciles qui les ont suivis.

Nous avons inventé un nouvel humain ici - le droit de rentrer chez nous après une guerre.

Je ne pense pas que la Bosnie soit prête pour la réconciliation, mais je pense que c'est prêt pour la vérité.

La vérité et la réconciliation sont toujours combinées, mais je les diviserais: je ne pense pas que la Bosnie soit prête pour la réconciliation, mais je pense que c'est prêt pour la vérité.

L'avènement de l'interconnexion et des armes de destruction massive signifie que, de plus en plus, je partage un destin avec mon ennemi.

Le plus grand échec est que bien que nous ayons créé des institutions, nous n'avons pas créé de société civile.

Nous qui sommes venus ici avons vu ce qui se passait. C'était bien plus qu'une guerre dans un endroit lointain. C'était un impératif moral, une vision terrible de l'avenir.

Les sociétés multinationales développent désormais des budgets souvent plus grands que les pays de taille moyenne - ceux-ci vivent dans un espace mondial qui est largement non réglementé, non soumis à l'état de droit, et dans lequel les gens peuvent agir sans contrainte.

Les États-Unis resteront la nation la plus puissante sur Terre pour les 10, 15 prochaines années, mais le contexte dans lequel elle détient son pouvoir a maintenant radicalement modifié.

Les gens ne veulent pas que les politiciens qu'ils connaissent soient corrompus.

J'ai eu beaucoup de choses plus méchantes sur moi dans la presse britannique que dans la presse bosniaque.

Il ne peut y avoir de place dans un parlement du XXIe siècle pour les personnes avec des titres du XVe siècle pour maintenir les préjugés du XIXe siècle.

Je suis officiellement responsable devant la planche à direction de la photo, et je rencontre neuf ambassadeurs de la photo chaque semaine. Je dois avoir le large accord des Capitals avec ce que je fais.

Ce que mon avenir ne sera pas, c'est une politique active dans le parti libéral-démocrate.

C'est peut-être une critique légitime, bien que cela puisse être blessant. Peut-être que je n'ai pas accordé suffisamment d'attention aux personnes avec lesquelles j'aurais une affinité naturelle en tant que libéral, et ils se sentent déçus par cela.

La politique consiste à vous mettre dans un état de grâce.

Je peux établir l'attente de la justice rétributive. Avons-nous fait ça? Non.

Ce n'est pas mon travail d'être populaire. Je suis axé sur les objectifs; Mon travail consiste à obtenir des résultats.

Ce serait un représentant hic insensé qui a travaillé de cette façon.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paddy_Ashdown

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