Neftali est amoureux des mots qu'il griffonne sur des papiers et conserve religieusement dans un tiroir. Enfant timide au point de begayer, il aime s'inventer des mondes oniriques. Tout ce qu'il voit et entend est pretexte a la reverie. Il collectionne les moindres petits objets trouves dans la nature ou sur le chemin de l'ecole: des bouts de bois, des fleurs tombees, des cailloux... Au grand desespoir de son pere, tyrannique qui voudrait que son fils soit medecin ou dentiste. Neftali, le solitaire, reussira-t-il a concilier son amour pour les mots et les exigences de ce pere autoritaire ? A travers une fiction pleine de poesie et de sensibilite, jalonnee d'evenements reels qui ont marque la vie du futur Pablo Neruda, Pam Munoz Ryan et Peter Sis entrainent le lecteur dans un voyage au pays de l'imagination.

Le Reveur

Orpheline, Maya vit comme une prisonnière dans la maison de sa grand-mère paternelle en Californie. Avec interdiction d'évoquer sa mère : les seuls souvenirs qu'elle en a sont une photographie et des petits chevaux en plastique usés, avec lesquels elle joue en cachette. La mort de l'aïeule va bouleverser sa vie : à onze ans, Maya est recueillie par sa famille maternelle - dont elle ignorait tout - dans un ranch du Wyoming. D'abord désarçonnée par cette vie rude de cow-boy au coeur de la nature, Maya est prise en charge par sa tante Vi qui lui apprend à monter. Maya se rapproche progressivement des chevaux galopant en liberté, surtout Artemisia, l'ancienne jument de sa mère revenue à l'état sauvage. Elle retrouve ses racines, les traces de sa mère cavalière intrépide et de son père peintre.

Un roman lumineux et généreux, sur fond d'aventures Wild West !

Peindre le vent

Maya abandonna les rênes et ouvrit les bras comme des ailes. Tout à coup, c'était comme si le sol s'était enfoncé et qu'elle ne galopait plus sur la terre mais entre des étoiles chamarrées, de plus en plus vite. Rien de ce qui était arrivé auparavant ou qui arriverait plus tard ne comptait. Elle tendit le visage vers le ciel. Elle était le cheval, les étoiles et le vent. A la mort de sa grand-mère qui l'a élevée comme une captive, une jeune orpheline se retrouve du jour au lendemain dans un ranch du Wyoming. Elle y découvre une vie rude et exaltante au contact des chevaux sauvages.

Peindre Le Vent

" J'avais toujours pensé que mon plus gros problème était mon nom, Naomi Soledad Léon Outlaw. Mais je ne savais pas encore que c'était vraiment le moindre , ni qu'un jour je serai fière de porter ce nom. " Naomi a onze ans et vit avec son arrière-grand-mère et son petit frère dans une caravane, en Californie. Très solitaire, elle se réfugie dans sa passion, la sculpture d'animaux dans du savon. Le retour brutal de sa mère, après des années d'absence, la pousse sur la route : celle du Sud et de ses racines mexicaines...

Les racines de Naomi

"Esperança a grandi dans une riche famille mexicaine, mais la mort de son père l'oblige à fuir en Californie et à s'installer dans un camp d'ouvriers agricoles. Là, elle est confrontée au dur labeur et aux difficultés économiques de la Grande Dépression.

Les Roses du Mexique

Au milieu du XIXe siècle, l'avenir d'une orpheline américaine semble tout tracé : elle sera domestique. A douze ans, Charlotte n'a qu'une passion : les chevaux. Déguisée en garçon, elle s'enfuit de l'orphelinat et devient Charlie, un conducteur de diligence réputé pour son habileté et sa bravoure.

Les éperons de la liberté

Nous sommes comme le Phoenix ", a déclaré Abuelita." Rising Again, avec une nouvelle vie devant nous.

Vous n'avez jamais à s'en remettre, vous n'avez qu'à continuer.

C'est ce que vous avez appris au collège ", vous dit le narrateur dès le début." Un homme désire la satisfaction de son désir; Une femme désire la condition de désir.

Une bibliothèque est un temple rempli de trésors inestimables. Les bibliothécaires sont les majestés qui prêtent les joyaux de la mesure. Ils accueillent dans le royaume les jeunes et les vieux faucheurs et règnent parmi les richesses en tant que merveilleux gardiens de la fortune.

Notre terre est vivante, Esperanza ... toute cette vallée respire et vit ... il a ramassé une poignée de terre et l'a étudiée. Saviez-vous que lorsque vous vous allongez sur la terre, vous pouvez le sentir respirer? Que vous pouvez sentir son cœur battre.

Je suis pauvre, mais je suis riche. J'ai mes enfants, j'ai un jardin avec des roses et j'ai ma foi et les souvenirs de ceux qui m'ont précédé. Qu'y a-t-il de plus?

Combien d'autres se promenaient et ne savaient même pas que quelqu'un de loin s'occupait d'eux? Imaginez tout cet amour flottant dans les airs, attendant d'atterrir sur la vie de quelqu'un!

Oh Esperanza! dit Isabel, sautant de haut en bas et applaudissant. "Je pense que mon cœur danse.

Je n'impose aucun comptage de mots ou quota de nombre d'heures à moi-même, ou je n'ai pas de règles, sauf une: persévérance. Rien de glamour. Pas d'épiphanies. Il suffit de revisiter et de réécrire. Pour moi, l'élan est bien plus important que l'inspiration.

L'aiguille a basculé maladroitement et à la fin de ses rangées de début, Isabel a tenu son travail pour montrer Esperanza. "Le mien est tout tordu!" Esperanza sourit et tendit la main et tira doucement le fil, démêlant les points inégaux. Puis elle a examiné les yeux de confiance d'Isabel et a dit: "N'ayez jamais peur de recommencer.

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