Le pape Gelasius dans sa neuvième lettre (chap. 26) aux évêques de Lucanie a condamné la mauvaise pratique qui avait été présentée des femmes au service du prêtre lors de la célébration de la messe. Étant donné que ces abus s'étaient répandus aux Grecs, innocents IV l'ont strictement interdit à Sa lettre à l'évêque de Tusculum: «Les femmes ne devraient pas oser servir à l'autel; Ils devraient être tout à fait refusés ce ministère. Nous avons également interdit cette pratique dans les mêmes mots.

Le respect du Carême est le très badge de la guerre chrétienne. Par là, nous protons-nous ne pas être des ennemis du Christ. Par elle, nous évitons les fléaux de la justice divine. Par elle, nous gagnons en force contre les princes de l'obscurité, car il nous protège avec une aide céleste. Si les hommes deviennent une négligence dans leur respect du Carême, ce serait un détriment pour la gloire de Dieu, une honte pour la religion catholique et un danger pour les âmes chrétiennes. On ne doute pas non plus qu'une telle négligence devienne la source de la misère pour le monde, de la calamité publique et du malheur privé.

Le Saint apostolique et le pontife romain ont une primauté dans le monde entier. Le pontife romain est le successeur de Pierre béni, le prince des apôtres, vrai vicaire du Christ, chef de l'Église entière, père et professeur de tous les chrétiens.

La première considération est que les cérémonies de la loi mosaïque ont été abrogées par la venue du Christ et qu'ils ne peuvent plus être observés sans péché après la promulgation de l'Évangile.

Nous déclarons qu'un grand nombre de ceux qui sont condamnés à une punition éternelle souffrent de cette calamité éternelle en raison de l'ignorance de ces mystères de la foi qui doivent être connus et croyaient que pour être numérotés parmi les élus.

Si quelqu'un a osé affirmer que le pontife avait commis une erreur dans cette canonisation, nous dirons qu'il est, sinon un hérétique, du moins Temerarious, un donneur de scandale à toute l'Église, un insulteur des Saints, un favori du favori de Ces hérétiques qui nient l'autorité de l'Église en canonisant les saints, savourant l'hérésie en donnant aux incroyants une occasion de se moquer des fidèles, l'affirmateur d'une opinion erronée et de sanctions très graves.

Ses oeuvres