Patricia Riggen, née le 2 juin 1970 à Guadalajara, dans l'État de Jalisco, au Mexique, est une réalisatrice et  scénariste mexicaine.

J'ai toujours vu des films en anglais avec des sous-titres espagnols. Pour le public du monde entier, la langue est moins importante que si c'est un bon film.

La seule chose que j'ai, c'est l'instinct et l'intuition et rester très, très connecté aux moments et essayer d'apporter ce que votre intestin vous dit.

Il y a beaucoup de réalisatrices en documentaire, très talentueuses. Mais c'est toujours un budget inférieur.

Le problème de travailler dans une mine, vous êtes à l'intérieur du ventre du monstre, et il vous contrôle. L'air que vous respirez, les pierres qui tombent sur votre tête, nous devions être sur les gardes.

Je pense que les trois réalisateurs mexicains - Alejandro Inarritu, Alfonso Cuaron, Guillermo del Toro - nous ont tous donné des réalisateurs étrangers, et en particulier les réalisateurs, une grande pause.

Je suis allé à New York à l'Université Columbia, et avec le premier exercice de réalisation, je savais que j'étais réalisateur.

J'ai des années à dire des idées qui ne sont pas écoutées. Puis, des semaines après, des producteurs ont découvert que j'avais raison quand un autre gars entre et le dit. Parfois, je dis juste mon idée à mon éditeur ou à un autre gars aux cheveux peut-être gris pour le partager, et puis c'est génial!

Je pense que les trois réalisateurs mexicains qui m'ont précédé ont fait du très bon travail à Hollywood parce qu'ils sont entrés et ont commencé à diriger des choses comme «Harry Potter».

Si votre film est en anglais, il est beaucoup plus facile d'obtenir une sortie large.

L'idée que les femmes se disputent ou ne s'aiment pas ou ne se saper ou se saboter ou saboter, c'est une grande radio. Cela ne veut pas du tout vrai. Du tout. Mes femmes se connectent instantanément et s'entraident.

Je suis fatigué de devoir faire mes preuves constamment, même après avoir été embauché. Chaque jour, chaque idée, je dois faire mes preuves. J'en ai assez!

J'aurais aimé avoir vu des femmes réaliser auparavant - cela m'aurait donné l'idée de qui j'étais.

Je trouve qu'il est plus facile d'obtenir des films sur le thème des latinos ... mais je ne pense plus qu'il y ait cette stigmatisation. Je pense que ce qui est plus difficile, c'est d'être une femme, de ne pas être une latina.

Pour obtenir une star de cinéma, vous devez leur donner deux heures d'écran.

Chaque ligne, chaque chose doit être battue. Il y a un peu comme un doute intrinsèque de tout le monde dans mon équipage, mon producteur, tout le monde. Ce n'est pas seulement l'industrie cinématographique - c'est une chose mondiale. C'est la culture du monde de douter des femmes.

Les réalisateurs n'ont que l'instinct de travailler, car il n'y a pas de formule. Les formules ne fonctionnent pas. En fait, si vous suivez une formule, vous vous retrouverez probablement avec un mauvais film.

J'adore l'exemple de Kathryn Bigelow: elle n'a pas simplement fait des films de guerre - elle les a fait mieux que les autres réalisateurs.

J'ai un handicap en ce que l'anglais n'est pas ma langue maternelle. Donc, même si je suis écrivain, je n'écris plus parce que c'est juste plus difficile en anglais.

Les mines du Chili sont très dangereuses; Le pays a beaucoup de tremblements de terre.

Enfin, vous savez, j'ai déménagé à Mexico, où se trouve l'industrie cinématographique. J'ai commencé à y travailler en tant que producteur, ce qui est une chose très, très valable pour les femmes, car nous produisons toujours pour les hommes, non?

Je suis reconnaissant de travailler, mais je dois aussi dire que j'ai travaillé vraiment, vraiment dur et que j'ai dû me battre beaucoup.

J'aime faire des films que les gens se sentent inspirés, un film auquel ils penseront quelques jours après l'avoir vu, et pas un divertissement qui est complètement oubliable au moment où vous sortez du théâtre.

J'ai travaillé régulièrement depuis que j'ai commencé, mais les choses sont très difficiles pour les femmes et doivent changer.

Quand j'étais à l'université, ma thèse de remise des diplômes s'appelait «réalisatrices». J'ai interviewé toutes les femmes réalisatrices importantes du Mexique. Il y en avait quatre. C'était ça.

Cela ne m'a jamais traversé l'esprit d'être réalisateur, et je vais vous dire pourquoi: parce que je suis une femme. Cela ne m'est pas venu à l'esprit, mais je savais que je devais être dans le cinéma.

C'est une relation très délicate, le directeur de la photographie et le réalisateur en tant que femme.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Patricia_Riggen

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