Patrick Chan, né le 31 décembre 1990 à Ottawa, Canada, est un patineur artistique canadien.
Il est double vice-champion olympique aux jeux de Sotchi en 2014 (en individuel et par équipe) et champion olympique par équipe aux Jeux olympiques d'hiver de 2018, triple champion du monde (2011, 2012, 2013), triple champion des Quatre continents (2009, 2012, 2016) et décuple champion du Canada. Il est également double vice-champion du monde (2009 et 2010).
En avril 2018, il annonce mettre un terme à sa carrière sportive.

J'adore le patinage artistique et ce que je peux exprimer de manière créative. Je veux laisser un héritage dans le sport.

J'ai essayé toutes sortes de sports quand j'étais enfant, comme le football et le tennis et le golf, et, en fait, j'ai commencé à patiner pour pouvoir jouer au hockey.

Je peux faire tous mes sauts en pratique, trois de suite, cinq sur cinq, quatre sur cinq.

Mon patinage m'a amené à un niveau de bien connu au Canada, mais j'ai grandi après m'être entraîné aux États-Unis. Je fais et pour représenter le Canada dans la scène mondiale.

Même s'il est difficile certains jours de se lever une heure plus tôt pour s'entraîner au gymnase contrairement à d'autres patineurs qui se présentent à la patinoire, je sais que si je ne le fais pas, ma journée sera bien pire. Je ferais aussi bien de ne même pas patiner, en fait.

Je me fâche contre ma mère. Je souhaite vraiment qu'elle me mette au hockey. Je ne suis pas doué de taille, mais regardez Martin St-Louis. Il est incroyable. Il est petit, mais il est si rapide, si habile. Je pense que j'aurais pu être assez bon.

En patinage ou dans tout sport amateur, en tant qu'athlètes, nous partageons quelque chose en commun: le coût de l'entraînement est un fardeau pour nos parents ou pour les athlètes eux-mêmes essayant de trouver un moyen de payer leurs frais.

J'ai une bonne idée de la chance que nous avons de grandir au Canada.

Je sais que, au hockey, l'objet du jeu est simple en ce que vous devez mettre la rondelle dans le filet. Avec le patinage artistique, ce n'est pas aussi simple, et il y a une tonne de travail qui y va.

Je patine juste pour satisfaire mon propre désir et je ne me soucie pas du désir des autres pour moi de bien faire.

Si vous regardez tous les sports en Chine, le gouvernement est extrêmement impliqué et ils sont extrêmement fiers de leur athlète.

J'espère que les gens reviendront un jour sur mon patinage et ce que j'ai apporté à la table. «Tu te souviens quand Patrick a patiné comme ça? Ou rappelez-vous quand le patinage était comme ça? Ce serait un héritage cool à laisser derrière.

Tous les Jeux olympiques, nous finissons toujours par avoir quelqu'un sur le podium que nous n'en avions aucune idée, ou nous ne nous attendions pas à ce qu'ils soient.

Je vais m'en tenir à ce que je peux faire ... parce que si j'essaye et que je fais l'impossible, je serai trop frustré au point où je n'apprécierai plus le sport, soit je vais me blesser Et peut-être avoir à obtenir des remplaçants à la hanche à 30 ans.

Je suis fier d'être un patineur: il m'a appris à être émotionnel, plus lié à moi-même, plus mature, plus de compréhension de mes pensées et des conversations que j'ai eues avec moi-même.

Le patinage m'a donné tellement d'opportunités.

Tout ce que je peux dire, c'est que je suis fier d'être Canadien.

Le style de vie de Vancouver semble vraiment m'attirer vers là.

J'ai tellement de choses à donner au patinage au Canada.

Quand je vais aux compétitions, je n'ai pas tellement confiance que je ne m'inquiète pas ou que je ne suis pas nerveux à propos des autres patineurs qui se débrouillent bien.

Je suis né au Canada pour une raison. C'est parce que mes parents voulaient que j'avais les libertés que ce pays offre.

Je me rapporte très bien aux personnes qui ont une carrière et explorent d'autres aventures en dehors du patinage. Pour moi, c'est fascinant.

J'adore les jeux vidéo. Mais après un certain temps, vous avez l'impression que vous avez vraiment besoin de vous lever et de faire quelque chose.

Je suis en compétition contre les hommes qui font cinq quads entre le programme court et le programme long, et je suis à trois entre les deux programmes. Qui imaginerait jamais que trois ne suffisaient pas pour certaines personnes?

Même quand je gagne, de loin le meilleur, c'est une lutte. Je pense: «Oh, Dieu! Mettez-moi juste à travers ça. C'est comme une chirurgie.

Je suis extrêmement bien reconnu en Corée juste à cause de ce que je fais sur la glace, et il y en a un manque au Canada parce que le hockey est notre sport et ce sera pour l'éternité.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Chan

Ses oeuvres