The Miracle Worker. The Patty Duke Show. Valley of the Dolls. Those perennial film and television titles still reverberate with audiences entranced with Academy Award-winning film actress and Broadway and television icon Patty Duke. Patty first gained national attention and praise playing Helen Keller in both the Broadway stage and film versions of The Miracle Worker. As identical cousins on The Patty Duke Show, her name became an American household word. Her later work in Valley of the Dolls, Me, Natalie, My Sweet Charlie, a later television remake of The Miracle Worker, and dozens of other productions established her as one of America's leading actresses. Patty's previous autobiographical works, Call Me Anna and A Brilliant Madness, achieved New York Times bestseller status. Now, her indelible show business legacy echoes enduringly with untold stories of her six-decade career and the legends of her time, including Richard Burton, Laurence Olivier, Helen Hayes, Fred Astaire, Anne Bancroft, Judy Garland, President John F. Kennedy, Helen Keller, Margaret Cho, Garth Brooks, Gloria Vanderbilt, Lucille Ball, Darren Criss, Richard Crenna, Patricia Neal, Liza Minnelli, and Helen Hunt. For the first time, Patty also talks openly of her friendship with actress Sharon Tate and her grisly murder at the hands of Charles Manson. Illustrated with over 70 rare photos from both Patty Duke's career and personal life, many never before published and from her personal collection. About William J. Jankowski: Since receiving his degree from Widener University, he has been interviewed for such publications as USA Today, and consulted on biographical television specials about Patty Duke's work for A&E, ABC, Lifetime, and E! This is his first book."Patty Duke was one of the most talented actresses I ever worked with. Her first hand account of anecdotes on her Hollywood career is a must read. This book is both fascinating and touching."- Tab Hunter

In the Presence of Greatness: My Sixty-Year Journey as an Actress

Anna Marie Duke, dite Patty Duke, née le 14 décembre 1946 à Elmhurst (État de New York) et morte le 29 mars 2016 à Coeur d'Alene (Idaho), est une actrice américaine.

La panique attaque - je les ai toujours. Ils ont commencé quand j'avais environ 8 ans. Ils ont toujours à voir avec ma mort.

J'avais été très proche d'Anne Bancroft lorsque nous avons travaillé ensemble dans le travailleur miracle

Je pense que mes vraies dépressions ont commencé quand j'avais environ 16 ans et que je fais le Patty Duke Show. J'allais me coucher vers 10 heures un vendredi soir et ne pas me lever avant 6h30 lundi matin

Je vis un fantasme d'enfance. Notre maison se trouve dans un quartier historique d'une petite ville dont je lisais dans des livres de contes.

J'étais une maman vraiment aimante, mais je n'avais pas les outils pour faire le travail.

Je suis venu à croire que qui que je sois ne commence pas le 14 décembre 1946 et ne finira pas à ce que cette date mystérieuse soit à l'avenir

Je vais avoir 58 ans et je suis une femme. Dans cette entreprise, cela semble être un crime plus important que d'être malade mental

Je vais avoir 58 ans et je suis une femme. Dans cette entreprise, cela semble être un crime plus important que d'être mentalement malade.

Les médecins doivent vous dire que l'un des risques de la chirurgie est que vous pourriez mourir. Ce pauvre médecin parlait à une actrice. C'était très dramatique pour moi. Pour lui, c'était juste une chose qu'il avait à dire.

Vous pouvez avoir une dépression maniaque sans avoir une once de créativité

Je ne me souviens même pas combien de fois j'ai essayé de me tuer.

Je n'ai jamais tout à fait adapté au mode glamour. C'est la vie avec mon mari et ma famille qui est mon haut maintenant.

Tout ce que je vous dirai, c'est que je joue un petit rôle dans quelqu'un qui est heureux pour toujours.

Le prix Eleanor Roosevelt que j'ai reçu pour les activités des droits des femmes est celui que je chéris.

Nous appelons le rôle de mon fils dans le petit film indépendant de la trilogie "Lord of the Rings".

Je sais que sans traitement, je n'aurais jamais pu exploiter ma créativité d'une manière aussi réussie.

J'aime un peu la position d'être le sauveur aux cheveux bostaux de ma mère.

J'étais en quelque sorte en quelque sorte à travers le temps.

Je ne peux pas vous dire ce que j'avais pour le petit déjeuner, mais je peux chanter chaque mot de rock and roll.

Je suis venu à croire que qui que je sois ne commence pas le 14 décembre 1946 et ne se terminera pas sur la date mystérieuse à l'avenir.

Sans le sens de l'humour, j'aurais été parti il y a longtemps.

Je survit à une maladie mortelle. Beaucoup ne le font pas, comme ceux sans célébrités et fortune qui doivent dépendre du système de santé public.

Les femmes qui mettent quelques livres après avoir commencé le lithium disent parfois que la guérison est pire que la maladie. Le gain de poids les tire directement dans la dépression.

Ce n'est pas un frisson géant d'entendre quelqu'un vous donner le label «maniaque-dépressif», mais pour moi, j'étais tellement soulagé. Ce que je souffrais avait un nom et pouvait être traité.

Si j'ai un message pour les autres, c'est de l'aide tôt et de ne pas être un patient résistant.

Je crois que toutes les personnes importantes de ma vie avant 1982 ont été victimes de ma maladie.

Je suis gâté pourri, comme mes enfants vous le diraient.

Les acteurs prennent des risques tout le temps. Nous nous sommes mis en ligne. Il est créatif de pouvoir interpréter les mots de quelqu'un et de leur insuffler de la vie.

Ses oeuvres